samedi, août 25, 2007

Libération d’un détenu politique sahraoui et des deux jeunes sahraouis, Moahmed HALI et Hassanna ALIA


Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Vendredi 24 août 2007

Libération d’un détenu politique sahraoui et des deux jeunes sahraouis, Moahmed HALI et Hassanna ALIA

Le détenu politique sahraoui, Mr. Abdessalama LOUMADI, incarcéré à la prison noir, a été libéré, aujourd’hui, vendredi 24 août 2007, après avoir purgé une peine d’un an de prison ferme. Mr. LOUMADI a été agressé à sa sortie lors de sa réception par sa famille devant la porte de la prison noire.
Nous rappelons que Mr. LOUMADI avait été condamné par la cour de deuxième degré à un an et demi le 20 mars 2007. Cette peine a été réduite à un an par la cour de d’appel le 15 mai 2007.
De même, les deux jeunes sahraouis, Mr. Mohamed HALI, arrêté depuis le 18 août 2007, et Mr. Hassanna ALIA, arrêté depuis le 20 août 2007, ont été libérés également aujourd’hui, vendredi 24 août 2007. Les deux jeunes sahraouis, qui ont été détenu dans un lieu inconnu, affirment avoir subit différentes formes de torture et avoir passé toute la période de leur détention dans des conditions inhumaines. Ils ont aussi affirmé qu’ils ont subit des interrogatoires musclés sur leurs activité et leurs relations avec les défenseurs sahraouis des droits humains.
En outre, Mr. Hassanna DOUIHI, qui avait été arrêté le 22 août et libéré, après avoir été sauvagement torturé et maltraité, le 23 août affirme que la police judicaire continue de persécuter de surveiller sa maison jour et nuit. La police marocaine qui avait confisqué la voiture de Mr. DOUIHI, refuse toujours de la lui rendre.

English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter
El-Ayoune - the Western Sahara
Friday August 24, 2007
Release of a Sahrawi political prisoner and the two young Sahrawis, Moahmed HALI and Hassanna ALIA

The Sahrawi political prisoner, Mr. Abdessalama LOUMADI, imprisoned at the prison black, was released, today, Friday August 24, 2007, after the sentence of one year of firm prison ended. Mr. LOUMADI was attacked at his exit at the time of his reception by his family in front of the door of the black prison.
We point out that Mr. LOUMADI had been condemned by the court of second degree to one year and half on March 20, 2007. This sentence was reduced to one year by the court of appeal on May 15, 2007.
In the same way, the two young Sahrawis, Mr. Mohamed HALI, detained since August 18, 2007, and Mr. Hassanna ALIA, detained since August 20, 2007, were released also today, Friday August 24, 2007. The two young Sahrawis, who were held in an unknown place, affirm to have undergone various forms of torture and to have spent all the period of their detention under inhuman conditions. They also affirmed being subjected to muscular interrogatories on their activity and their relations with the Sahrawi human rights defenders.
Moreover, Mr. Hassanna DOUIHI, who had been arrested on August 22 and released, after being savagely tortured and maltreated, on August 23 affirms that the judicial police continue to persecute him and to supervise his house day and night. The Moroccan police force which had confiscated the car of Mr. DOUIHI, always refuses to return it to him.

Español:

Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos Cometidas por el Estado Marroquí (ASVDH)

OLEADA DE DETENCIONES EN EL AAIUN
Liberación de un preso político saharaui y de los dos jóvenes saharauis, Moahmed HALI y Hassanna ALIA el 24 de agosto de 2007

El Aaiun– Sahara Occidental
Viernes 24 de agosto de 2007

El preso político saharaui, Abdesalama LOUMADI, encarcelado en la Cárcel Negra, ha sido liberado el viernes 24 de agosto de 2007, después de haber cumplido la pena de un año de prisión. Abdesalama LOUMADI fue agredido a la salida de la cárcel, en el momento en que le recibía su familia ante la puerta de la Cárcel Negra.

Hay que recordar que Abdesalama LOUMADI fue condenado por un tribunal de segundo grado a un año y medio, el pasado 20 de marzo de 2007. Esta pena había sido reducida a un año por el tribunal de apelación el 15 de mayo de 2007.

Del mismo modo, los dos jóvenes saharauis, Mohamed HALI, detenido desde el 18 de agosto de 2007, y Hasana ALIA, detenido desde el 20 de agosto, también han sido liberados el viernes 24 de agosto. Los dos jóvenes saharauis, que estuvieron detenidos en un lugar desconocido, afirman haber sufrido diferentes formas de tortura y haber pasado su detención en condiciones inhumanas. También afirman haber sufrido duros interrogatorios sobre sus actividades y sus relaciones con los activistas saharauis de los derechos humanos.

Por otra parte, Hasana DOUIHI, que había sido detenido el 22 de agosto la avenida Tan Tan y liberado al día siguiente, tras haber sido salvajemente torturado y maltratado, afirma que la policía judicial continúa vigilando su casa día y noche. La policía marroquí que había confiscado su coche se niega a devolvérselo.

Esta detención es la tercera de Hasana DOUIHI en lo que va de año. Hay que recordar que Hasana fue detenido anteriormente los pasados 20 de mayo y 3 de agosto. En esta ocasión los agentes de policía le obligaron a pasar la noche de pie y con los ojos vendados. Hasana DOUIHI asegura que las razones de su detención son su activismo, sus relaciones con los defensores saharauis de derechos humanos y también con los extranjeros que visitan el territorio. Hasana también ha sido acusado de llamar a boicotear las elecciones legislativas que tendrán lugar en Marruecos el próximo 7 de septiembre.


Libération de Mr. Hassanna après l’avoir torturé

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -
Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Jeudi 23 août 2007
Libération de Mr. Hassanna après l’avoir torturé

La police marocaine vient de libérer le citoyen sahraoui, aujourd’hui jeudi 23 août 2007, Mr. Hassanna DOUIHI, qui a été détenu hier à 14 :00 GMT. Mr. Hassanna DOUIHI affirme avoir été torturé et maltraité dans le centre de la police judicaire par différents agent et responsables sécuritaire. Mr. Hassanna, qui a été obligé de passer la nuit entière debout, affirme également que les agents de la police lui ont bandé ses yeux durant sa détention. Il affirme également que les raisons de sa détention son activisme, ses relations avec les défenseurs sahraouis des droits humains et aussi les étrangers qui visite le territoire. Mr. Hassanna a été également accusé d’appeler au boycotte des élection législative que le Maroc organise le 07 septembre prochain.
Dans ce même contexte, les forces policières marocaines continue de détenir illégalement deux jeunes sahraouis, Mr. Mohamed HALI, détenu depuis le samedi 18 août, et Mr. Hassanna ALIA, détenu depuis le lundi 20 août.
Par ailleurs, l’étudiant sahraoui et détenu politique, incarcéré à la prison locale de Salé (Maroc), Mr. Abdati EDDEYA, continu de souffrir suite à de nombreuses maladies résultant des conditions inhumaines de sa détention et de la grève de la faim qu’il avait mené avec ses camarades. Mr. Abdati souffre troubles psychiques et mentales, infection au niveau de son appareil génitale et au niveau du gros intestin. Sa famille affirme confronter de nombreux obstacles imposés par les autorités marocaines au moment où leur enfant a plus besoin de leur présence et d’une assistance spéciale.

English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -
Newsletter
El-Ayoune - the Western Sahara
Thursday August 23, 2007
Release of Mr. Hassanna after being tortured
The Moroccan police force has just released the Sahrawi citizen, today Thursday August 23, 2007, Mr. Hassanna DOUIHI, who was arrested yesterday at 14: 00 GMT. Mr. Hassanna DOUIHI affirms to be tortured and maltreated in the judicial police station by different security agents and officers. Mr. Hassanna, who was obliged to spend the whole night upright, also affirms that the policemen bandaged his eyes during his detention. He also affirms that his activism and his relations with the Sahrawi human rights defenders and also foreigners who visit the territory are the real reasons of his detention. Mr. Hassanna was also accused to call for the boycott of the legislative election that Morocco organizes next on September 7.
In this same context, the Moroccan police forces continue to illegally detain two young Sahrawis, Mr. Mohamed HALI, detained since Saturday August 18, and Mr. Hassanna ALIA, detained since Monday August 20.In addition, the Sahrawi student and political prisoner, imprisoned at the local prison of Slé (Morocco), Mr. Abdati EDDEYA, continuous to suffer following many diseases resulting from the inhuman conditions of his detention and the hunger strike which he had carried out with his comrades. Mr. Abdati suffers psychic and mental disorders, infection on the level of his genital apparatus and the large intestine. Its family affirms to confront many obstacles imposed by the Moroccan authorities with the moment when their child needs more their presence and a special assistance

Nouvelles arrestations à El-Ayoune

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 22 août 2007

Nouvelles arrestations à El-Ayoune

Les forces policières marocaines viennent d’arrêter pour la troisième fois, Mr. Hassanna DOUIHI. L’arrestation de Mr. Hassanna a eu lieu à l’avenue Tan Tan à 14 :00 GMT. Les raisons de l’arrestation de Mr. Hassanna sont encore inconnues. A cet égard nous rappelons que Mr. Hassanna a été arrêté le 20 mai et 03 août dernier.
Dans contexte, les autorités marocaines ont aussi arrêté, avant-hier lundi 20 août 2007, l’ex-détenu politique sahraoui, Mr. Sidi Mohamed ALOUATE, et le jeune sahraoui, Hassanna ALIA (âgé de 19 ans). Mr. ALOUATE a été arrêté devant sa maison et se trouve encore en état d’arrestation sans aucun motif apparent, alors que Mr. Hassanna a été arrêté à la sortie sud de la ville d’El-Ayoune, à un point de contrôle. La famille de se dernier affirme que leur enfant a été soumis à la torture.
Nous rappelons que ces trois nouvelles arrestations augmentent le nombre des détenus sahraouis, depuis samedi dernier, à quatres personnes. Le premier est je jeune sahraoui, Mohamed HALI, qui se trouve en détention depuis samedi 18 août 2007, et n’a pas été ni présenté devant le procureur général, ni libéré, au moment où le période de la garde à vue, telle que déterminée par la loi en vigueur, a expiré.


English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter
El-Ayoune - the Western Sahara
Wednesday August 22, 2007
New arrests in El-Ayoune
The Moroccan police forces have just arrested for the third time, Mr. Hassanna DOUIHI. The arrest of Mr. Hassanna took place at Tan Tan avenue at 14: 00 GMT. The reasons of the arrest of Mr. Hassanna are still unknown. In this respect we point out that Mr. Hassanna was arrested on last May 20 and August 3.
In context, the Moroccan authorities also arrested, the day before yesterday Monday August 20, 2007, the Sahrawi ex-political prisoner, Mr. Sidi Mohamed ALOUATE, and the young Sahrawi, Mr. Hassanna ALIA (19 years old). Mr. ALOUATE was arrested in front of his house and is still under arrest without any apparent reason, whereas Mr. Hassanna was arrested at the southern exit of El-Ayoune, at a check point. The family of the latter affirms that their child was subjected to torture.
We recall that these three new arrests increase the number of the Sahrawi detainees, since last Saturday, to four people. The first is the young Sahrawi, Mohamed HALI, who is in detention since Saturday August 18, 2007, and neither was presented in front of the prosecutor general, nor released, at the moment when the period of the police custody, as determined by the law in force, has expired.

mardi, août 21, 2007

Arrestation d’un jeune sahraoui à El-Ayoune

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Lundi 20 août 2007

Arrestation d’un jeune sahraoui à El-Ayoune

La police marocaine a arrêté, avant-hier, samedi 18 août 2007, le jeune sahraoui, Mr. Mohamed HALI, à un point de contrôle à la sortie sud d’El-Ayoune. Les responsables sécuritaires n’ont reconnu l’arrestation de ce jeune sahraoui qu’hier dimanche 19 août 2007 et refuse à sa famille de lui rendre visite. Et jusqu’à ce moment la famille de ce jeune ignore les accusations dressées contre leur fils.
Nous rappelons que Mr. Mohamed HALI, étudiant à l’université de Marrakech, est connu pour son militantisme et sa participation aux manifestations des étudiants sahraouis.
D’autre part, les forces policières marocaines continuent de surveiller la maison du défenseur des droits humains et président du Comité Sahraoui pour le Soutien du Plan Onusien et pour la protection des Ressources Naturelle au Sahara occidental, Mr. Sid Ahmed LEMJEYID, et ce depuis jeudi 16 août 2007. nous rappelons qu’un groupe d’agent de police sous commandement de l’officier Aboulhassan ICHI, étaient venu, jeudi dernier, à la maison de la famille de Mr. Sid Ahmed LEMJEYID, dans le but de l’arrêter sans aucun ordre d’arrestation. Quand ces agents n’ont pas pu l’arrêter, ils ont alors soumis la maison à une surveillance en attente d’une occasion pour arrêter ce défenseur des droits humains. Nous rappelons aussi que Mr. LEMJEYID avait fais l’objet d’agression sauvage et intimidation à plusieurs occasions par l’officier Aboulhassan ICHI et un nombre d’agent de police marocaine.
English
Sahrawi Association
Of victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter
El-Ayoune - the Western Sahara
Monday August 20, 2007
Arrest of a young Sahrawi in El-Ayoune
The Moroccan police force arrested, the day before yesterday, Saturday August 18, 2007, the young Sahrawi, Mr. Mohamed HALI, at a check point at the southern exit of El-Ayoune. The security officers haven’t recognized the arrest of this young Sahrawi until yesterday Sunday August 19, 2007 and refuse to hid family to visit him. And until this moment the family of this young Sahrawi do not know charges drawn up against their son.
We point out that Mr. Mohamed HALI, studying at the University of Marrakech, is known for his militancy and his participation in the manifestations of the Sahrawi students.
In addition, the Moroccan police forces continue to supervise the house of the human rights defender and president of the Sahrawi Committee for the Support of the UN Plan and Protection of the Natural Resources in Western Sahara, Mr. Sid Ahmed LEMJEYID, and this since Thursday August 16, 2007. We point out that a group of policeman under command of the officer Aboulhassan ICHI, had come, last Thursday, at the house of the family of Mr. Sid Ahmed LEMJEYID, with an aim of arresting him without any order of arrest. When these agents could not arrest him, they then subjected the house to a monitoring on standby of an occasion to arrest this human rights defender. We also point out that Mr. LEMJEYID had been subjected to savage aggression and intimidation on several occasions by the officer Aboulhassan ICHI and a number of Moroccan policeman.

jeudi, août 16, 2007

Réduction des peines prononcées contre les étudiants sahraouis à Marrakech


Lettre d'information ASVDH

El-Ayoune – Sahara OccidentalJeudi 09 août 2007


Réduction des peines prononcées contre les étudiants sahraouis à Marrakech
La cour d’appel à Marrakech (Maroc), vient de prononcer de réduire les peines que la cour de première instance avait prononcées contre les étudiants sahraouis le vendredi 25 mai 2007. Ainsi, la cour avait décidé de condamner :Mlle. Sultana KHAYA, élève au centre culturel américain, en liberté conditionnelle, qui a un œil éclaté, à trois mois de prison avec surisMr. Abdelfatah ELYADASSIA, étudiant en 2ème année sciences sociales, N° d’écrou, 88351, à quatre mois de prison fermeMr. Embeirik DAH, élève en 6ème année sciences, N° d’écrou, 88355, à quatre mois de prison fermeMr. Mohamed ELARBAWI, N° d’écrou, 88353, à quatre ans de prison fermeMr. Hassan FATEH, étudiant en 1ère année droit, N° d’écrou, 88356, à quatre mois de prison fermeMr. Rachid BENOU, étudiant en 1ère année droit, N° d’écrou, 88354, à quatre mois de prison fermeMr. Mahmoud ELQUEITI, étudiants en 1ère année droit, N° d’écrou, 88352, à quatre mois de prison fermeNous rappelons que ces étudiants sahraouis avaient été arrêtés le 09 mai 2007, à la Cité universitaire de Marrakech, incarcérés à la prison locale de Marrakech et avaient été condamnés, vendredi 25 mai 2007, par la cour de première instance de Marrakech à des peines lourdes et injustes allant de six mois à un an de prison ferme.


Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

English Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Thursday August 9, 2007

Reduction of the sorrows pronounced against the students sahraouis in Marrakech

The Court of Appeal in Marrakech (Morocco), has just reduce the sentences which the court of first authority had pronounced against the Sahrawi students on Friday May 25, 2007. Thus, the court had decided to condemn:
Miss. Sultana KHAYA, pupil at the American arts centre, on conditional release with serious eye injury: three with deferment
Mr. Abdelfatah ELYADASSIA, studying in 2nd year social sciences, Case N° 88351: four months
Mr. Embeirik DAH, pupil in 6th year sciences, Case N° 88355: four months
Mr. Mohamed ELARBAWI, Case N° 88353: four months
Mr. Hassan FATEH, studying in 1st year Law, Case N° 88356 four months
Mr. Rachid BENOU, studying in 1st year Law, Case N° 88354: four months
Mr. Mahmoud ELQUEITI, students in 1st year Law, Case N° 88352: four months
We recall that these Sahrawi students had been arrested on May 9, 2007, at the university City of Marrakech, imprisoned in the local prison of Marrakech and had been condemned, on Friday May 25, 2007, by the court of first authority of Marrakech to heavy and unjust sentences going from six months to one year of firm prison.

Español
Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos Cometidas por el Estado Marroquí (ASVDH)
Comunicado
El Aaiun - Sahara Occidental. Jueves, 9 de agosto de 2007
Reducción de las penas contra los estudiantes saharauis en Marrakech
El Tribunal de apelación en Marrakech (Marruecos), ha reducido las sentencias que el tribunal de primera instancia había pronunciado contra los estudiantes saharauis el pasado viernes, 25 de mayo de 2007. Así, finalmente el tribunal ha dictado las siguientes condenas:
Sultana JAYA, alumna del centro de arte americano, en libertad condicional, perdió un ojo por los golpes de los policías marroquíes; tres meses con aplazamiento
Abdelfatah ELYADASIA, estudiante de 2º año ciencias sociales, N° de expediente 88351: cuatro meses
Embeirik DAH, alumno en 6º año de ciencias, N° de expendiente 88355: cuatro meses
Mohamed ELARBAWI, N° de expediente 88353: cuatro meses
Hassan FATEH, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88356: cuatro meses
Rachid BENU, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88354: cuatro meses
Mahmud ELQUEITI, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88352: cuatro meses
Recordamos que estos estudiantes saharauis habían sido detenidos el 9 de mayo de 2007, en la universidad la ciudad de Marrakech, encarcelados en la prisión local de Marrakech y habían sido condenado, el viernes, 25 de mayo de 2007, por el tribunal de primera instancia de Marrakech a duras e injustas condenas que iban de seis meses a un año de prisión firme.

Nouvelles persécutions contre le citoyen sahraoui Mr. Hassanna DOUIHI

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 08 août 2007

Nouvelles persécutions contre le citoyen sahraoui Mr. Hassanna DOUIHI

Mr. Hassana DOUIHI, à qui la police marocaine avait confisqué sa voiture et ses papiers, le vendredi 03 août 2007, a une fois encore fait l’objet de nouvelles persécutions. Ainsi, Mr. DOUIHI est allé lundi 06 août 2007 déposé une plainte auprès du procureur général près la cour de deuxième degré pour réclamer l’ouverture d’une enquête sur la confiscation de sa voiture et ses papiers. Mais ce dernier a refusé de recevoir la plainte de Mr. DOUIHI sous prétexte qu’elle doit être adressée au procureur du roi près la cour de première instance. Mr. DOUIHI est alors allé, aujourd’hui mercredi 08 août 2007 déposer sa plainte au près du procureur du roi près la cour de première instance à El-Ayoune. Mais ce dernier a également refusé de recevoir la plainte sous prétexte qu’elle doit être adressée au chef de la police judicaire à El-Ayoune.
Cependant, quand Mr. DOUIHI est allé au commissariat de police pour réclamer sa voiture, il a été surpris d’apprendre que le procureur du roi, qui refusait de recevoir sa plainte, a écrit au chef de la police au sujet de la plainte. Ce dernier a répondu que la voiture de Mr. DOUIHI avait été confisquée parce que ce dernier est accusé d’atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc. Le chef de la police a considéré que Mr. DOUIHI a atteint à l’intégrité territorial parce qu’il avait accompagné le juge Italien, Mr. QUATRANO, au tribunal d’El-Ayoune. Ainsi, il suffit d’accompagner un étranger à El-Ayoune pour être accusé d’atteinte à l’intégrité territorial du royaume du Maroc.
Plus tard la voiture confisquée a été rendue à son propriétaire qui a été surpris de trouver ses papiers dans la boîte à gants alors qu’il les avait donné au policier qu’il avait arrêté le 03 août dernier.


.English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Morccan State
- A S V D H -

Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Wednesday August 8, 2007

New persecutions against the Sahrawi citizen, Mr. Hassanna DOUIHI

Mr. Hassana DOUIHI, to whom the Moroccan police had confiscated his car and papers, on Friday August 3, 2007, was once again subjected to new persecutions. Thus, Mr. DOUIHI went Monday August 6, 2007 to deposit a complaint in front of the prosecutor general near the court of second degree to claim an investigation on the confiscation of his car and his papers. But the latter refused to receive the complaint of Mr. DOUIHI under pretext that it must be addressed to the prosecutor of the king near the court of first authority. Mr. DOUIHI then went, today Wednesday August 8, 2007 to deposit his complaint in front of the prosecutor of the king near the court of first authority in El-Ayoune. But the letter also refused to receive the complaint under pretext that it must be addressed to the chief of the judicial police in El-Ayoune.
However, when Mr. DOUIHI went to the police station to claim his car, he was surprised to learn that the prosecutor of the king, who refused to receive his complaint, wrote to the chief of the police force about the complaint. The letter answered that the car of Mr. DOUIHI had been confiscated because he is charged of attack to the territorial integrity of Morocco. The chief of the police force considered that Mr. DOUIHI has attcked the territorial integrity because he had accompanied the Italian judge, Mr. QUATRANO, to the court of El-Ayoune. Thus, it is enough to accompany a foreigner in El-Ayoune to be charged of attack to the territorial integrity of the kingdom of Morocco.
Later the confiscated car was returned to its owner who was surprised to find his papers in the gloves box whereas he had given them to the police officer who had arrested his last on August 3.

Appel urgent des Familles des étudiants sahraouis

Familles des étudiants sahraouis le 18/07/2007
Prisonniers à la prison civile de salé


Appel urgent à :

v Monsieur PAN KEE MON, le secrétaire général de l’ONU.
v Le président du parlement européen.
v Amnistie international.
v Organisation « human rights watch ».
v Le croix rouge international.
v Organisation « médecins sans frontières ».
v Toutes les organisations nationales et internationales.
v Toutes les consciences vives défendant les droits de l’homme.


37 jours se sont écoulés et les neuf étudiants sahraouis poursuivent encore leur lutte de veines vides en vue de réaliser leur libération parfaite et inconditionnée et dans l’espoir de concrétiser l’autodétermination du peuple sahraoui et finissant par la nécessité de répondre à leurs exigences légales. Or, les autorités marocaines s’obstinent encore de s’incliner devant tous les appels et tous les pactes. Surtout que l’état de santé des étudiants sahraouis s’aiguise jour après jour. Et l’exemple le plus flagrant, on peut citer le cas de MOHAMED ALI ANDOUR qui souffre au niveau de la gorge et des crises cardiaques jusqu’ à l’inaptitude totale et aussi le cas de ABDATI EDDIA qui souffre au niveau de la colonne vertébrale, des cuisses à cause de la maltraitance et enfin la cas de JANHAOUI LAKHLIFA qui est en coma total depuis des jours à cause des maladies et de la maltraitance.
Rappelons que ces étudiants sahraouis n’ont pas pu encore passer leurs examens à cause de leurs états de santé y compris l’état d’âme très languissent.
En outre, les familles des étudiants sahraouis souffrent aussi de la même maltraitance (humiliation - indifférence – embêtements…) de la part de la direction des prisons et des responsables de l’université ESSOUISSI 1.
Sur ce, en tante que familles des étudiants sahraouis prisonniers à salé, nous demandons ce qui suit :
ü Inciter le gouvernement marocain à animer un débat sérieux et constructif avec les prisonniers politiques qui sont en grève en vue de réaliser leurs exigences.
ü Déclarer notre solidarité inconditionnée avec tous les prisonniers politiques sahraouis et en premier lieu l’héroïne SOULTANA KHAYA qui a perdu son œil droit.
ü Responsabiliser les autorités marocaines sur tous les effets négatifs de la santé de nos fils suite à leur grève.
ü Implorer le gouvernement espagnol pour assumer toutes ses responsabilités historiques envers le peuple sahraoui qui est abandonné par les espagnols.
ü Invoquer les autorités espagnoles pour intervenir et aider le peuple sahraoui à s’autodéterminer.
ü Demander à la communauté internationale d’intervenir immédiatement en vue de libérer nos fils et tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines.


Nom et états de santé des étudiants sahraouis capturés à salé

Nom/prénom
Etat de santé

Mohamed ali ndour
- difficultés reinales.
- vomir une substance noire.
- Paralysie totale.

Moulay ahmed aaylal
- souffrance au niveau des poumons.
- une toux aiguë.
- paralysie totale.
- crises cardiaques redondantes.


Abdati eddia
- des maux au niveau de la tête.
- hypertension.
- Paralysie totale.
- grave diminution au niveau du poids.
- substances bactériennes au niveau des cuisses.
Lekhlifa jenhaoui
- vomissement permanent du sang.
- difficultés reinales.
- ulcères dermatologiques.
- paralysie totale.
Houssaine eddalaa
- des maux au niveau du ventre et du dos.
- vertige.
Louali ezaz
- des maux au larynx.
- vertige et coma.
- des maux au ventre et à la tête.
Najem esseghir
- des maux aux épaules et à la tête.
- sécheresse du larynx.
Brahim el gharrabi
- des maux à la tête et au niveau des veines.
- paralysie totale.
Mohamed el aalaoui
- des maux à la tête et au dos.
- des comas successifs.

Familles des étudiants sahraouisEmprisonnés à Salé

dimanche, août 12, 2007

Lettre ouverte au secrétaire général de l’ONU

TRADUCTION OFFICIEUSE[ original : arabe]
EL-Ayoune - Sahara Occidental
6 août 2007
A :
M. Ban Ki-moonSécrétaire général des Nations UniesLes Nations UniesNew York, Etats-Unis
Estimé M. le secrétaire général des Nations Unies,
Avec tout notre respect et admiration,
Comme vous le savez, le Conseil de sécurité a publié, 30 avril 1997, sa dernière résolution 1754 concernant la question du Sahara Occidental, qui a invité les parties au conflit, le Front populaire pour la libération de Saguia el-Hamra et Río de Oro (F. Polisario), en tant que représentant légitime et unique des Sahraouis, et le royaume du Maroc, comme pays qui occupe le territoire, à entreprendre des négociations directes sous les auspices des Nations Unies, afin d’atteindre une solution globale pour mettre un terme au conflit, qui a duré pendant plus de trois décennies, et de garantir au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination . Sur la base de cette résolution, elles ont tenu le premier round de négociations à Manhasset, Etats-Unis, les 18-19 juin 2007.
Nous, associations sahraouies et membres de la société civile dans les villes du Sahara Occidental sous occupation marocaine saluons vos efforts personnels pour mettre un terme à la tragédie du peuple sahraoui , qui nous a affectée pendant plus de trente années.
Pourtant nous soulignons également la nécessité de respecter la substance de la résolution 1754 qui stipule le respect pour le peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination par un référendum libre, juste et impartial pour choisir l’une des option dans ce conflit conformément à la charte de l’ONU, les résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies concernant les territoires de Non-autonomes , l’avis consultatif de la Cour de Justice internationale concernant le Sahara Occidental (16 octobre 1975), aussi bien que l’article un des engagements internationaux pour des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels.
Estimé Secrétaire général ,
Toute solution pour le Sahara Occidental qui ne permet pas au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination, comme base de souveraineté et de contrôle, restera une solution inachevée et antidémocratique, et ne peut d’aucune façon être une solution globale ni mener à la stabilité, à la sécurité et à la paix dans le territoire et la région du Maghreb dans son ensemble. Nous voulons également attirer votre attention sur la détérioration de la situation des droits de l’homme dans ce territoire, où sont perpétrés quotidiennement des violations et des abus graves, dégradant pour la dignité humaine, en dépit de la présence de la mission des Nations Unies dans le secteur.
De 1975 à ce jour, l’Etat de Marocain a sans interruption commis de nombreuses de violations graves des droits de l’homme, qui tombent dans la catégorie des crimes contre l’humanité : les séquestrations, les meurtres multiples, la torture systématique, le déplacement forcé, en plus des arrestations des individus, des familles et des groupes, les saccages de maisons, destructions de propriétés, abattage de bétail, toute la ceci en violation des droits des civils sahraouis innocents et désarmés, en plus du déni de leurs droits politiques et civiques, la suppression des libertés et l’interdiction du droit d’association et de réunion pacifique, et d’autres droits économiques, sociaux et culturels.
M. Le Sécrétaire général,
Rappelons que l’existence du territoire du Sahara Occidental figure dans la résolution 1514 de l’Assemblée générale des Nations Unies, publiée le 14 décembre 1960, qui comporte la responsabilité directe, en termes légaux, d’assurer la protection des citoyens sahraouis sans armes contre des violations quotidiennes commises par l’Etat marocain, de mettre en place des voies légales pour protéger les richesses de cette région contre l’exploitation, et pour régler instamment le statut final du territoire.
Sur la base de ce qui précède, nous vous invitons, M. le secrétaire général, à faire ce qui suit :
1. invitez l’Etat marocain à libérer tous les détenus politiques sahraouis, comme geste de bonne volonté, comme cela a été le cas pour les prisonniers marocains libérés par le Font Polisario récemment.
2. garantissez les droits du peuple sahraoui l’autodétermination par un plébiscite libre, juste et impartial sous les auspices des Nations Unies en conformité avec la charte des Nations Unies et les résolutions de l’Assemblée générale.
3. élargissez les compétences de la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara Occidental pour y inclure l’observation des droits de l’homme et la surveillance de la situation de la province.
4. faites pression sur l’Etat marocain afin de lever le blocus sécuritaire et médiatique imposé au territoire et de permettre à des médias et à des délégations des droits de l’homme de visiter la région.
5. oeuvrez à stopper le pillage des ressources de la province et placez-la sous le contrôle de l’ONU, conformément à l’avis consultatif du jurisconsulte, M. Hans Corell, du département des affaires juridiques des Nations Unies déposé le 29 janvier 2002.
6. publiez le rapport du Haut commissaire de l’ONU pour des droits de l’homme sur le Sahara Occidental et mettez en application ses recommandations.
7. faites pression sur l’Etat marocain pour permettre à des associations et à des comités sahraouis d’exercer leur droit de travailler en public et légalement, ainsi que pour lever le harcèlement et les détentions des défenseurs de droits de l’homme sahraouis, d’assurer le droit des citoyens sahraouis de manifester pacifiquement, et de garantir la liberté d’opinion et d’expression.
8. invitez les organismes internationaux de déminage compétents de superviser le nettoyage du territoire, en particulier le long du mur militaire marocain de séparation ; ces mines approfondissent les souffrances du peuple sahraoui et sont devenues une véritable menace pour la vie des civils sahraouis.
9. invitez l’Etat marocain révéler la vérité au sujet du destin des centaines de civils sahraouis enlevés depuis 1975, aussi bien que des douzaines de prisonniers sahraouis.
En conclusion, M. le secrétaire général, soyez assuré svp de notre plus haute considération.
Sincèrement,

[signé ]
1 -Association des victimes des violations graves de droits de l’homme commises par l’état marocain (ASVDH), Sahara Occidental
2 -Comité sahraoui de soutien du droit à l’autodétermination au Sahara Occidental, Sahara Occidental
3-Commission pour la protection des prisonniers sahraouis dans les prisons marocaines, Sahara Occidental
4- Comité sahraouis des familles des martyres morts dans les prisons secrètes marocaines, Sahara Occidental
5- Comité sahraoui des familles disparus, Sahara Occidental
6- Comité contre la torture de Dakhla, Sahara Occidental
7- Comité de sahraoui pour la défense des droits de l’homme de Samara, Sahara Occidental
8- Comité de soutien au plan de règlement de l’ONU et la protection des richesses naturelles du Sahara Occidental
English
-UNOFFICIAL TRANSLATION-
El-Ayoune - Western Sahara
6 August 2007
To:
Mr Ban Ki-moon
Secretary-General of the United Nations
United Nations
New York, USA
The esteemed Mr. Secretary-General of the United Nations,
With Respect and Admiration,
As you know, the Security Council issued, on 30 April 1997, its last resolution on the issue of Western Sahara, Number 1754, which called on the parties to the conflict, the Popular Front for the Liberation of Saguia el-Hamra and Río de Oro (Polisario Front), as the legitimate and sole representative of the Sahrawi people, and the Kingdom of Morocco, as the country which occupies the territory, to initiate direct negotiations under the auspices of the United Nations, and in order to reach a comprehensive solution to put an end to the dispute, which lasted for more than three decades, and to ensure the right of the Sahrawi people to self-determination. On the basis of this resolution, they held the first round of such negotiations in Manhasset, USA, on 18-19 June 2007.
We the Sahrawi associations and members of civil society in the cities of Western Sahara under Moroccan occupation pay our tribute to your personal efforts to put an end to the tragedy of the Sahrawi people, which has affected us for more than thirty years.
Yet we also stress the need to respect the substance of resolution 1754 which stipulates respect for the Sahrawi people to exercise their right to self-determination through a free, fair and impartial would be an arbiter categorically all options on this conflict and that is consistent with the UN Charter, the resolutions of the General Assembly of the United Nations regarding Non-Self-Governing Territories, the advisory opinion of the International Court of Justice on Western Sahara (16 October 1975), as well as Article One of the international covenants for Civil and Political Rights and Economic, Social and Cultural Rights.
Esteemed Secretary-General,
Any solution to the Western Sahara issue that does not enable the Sahrawi people to exercise their right to self-determination, as the source of sovereignty and control, remain an incomplete solution and an undemocratic one, and can not in any way be a comprehensive solution or lead to stability, security and peace in the Territory and the Maghreb region as a whole. We also want to raise your attention to the deteriorating human rights situation also this Territory, where there is daily serious violations and abuses, degrading to human dignity, despite the presence of United Nations mission in the area.
From 1975 until now, the Moroccan state has continuously committed many serious violations of human rights, which falls in the category of crimes against humanity: abductions, mass murder, systematic torture, forced displacement, in addition to the arrest of individuals, families and groups, ransacked homes, properties destroyed, cattle slaughtered, all of this exercised against the rights of unarmed innocent Sahrawi civilians, in addition to the denial of political and civil rights, suppression of freedoms and the prevention of association and peaceful assembly, and other economic, social and cultural rights.
Mr. Secretary-General,
A reminder that the existence of the territory of Western Sahara is within the resolution 1514 of the General Assembly of the United Nations, issued on 14 December 1960, which bears direct responsibility, in legal terms, to provide protection for the unarmed Sahrawi citizens against daily violations committed by the Moroccan State, to create legal mechanisms to protect the wealth of this region against exploitation, and to urgently settle the final status of the Territory.
On the basis of the above, we urge you, Mr Secretary-General, to do the following:
1- Call on the Moroccan state to release of all Sahrawi political detainees, as a gesture of goodwill, as is the case with the Moroccan prisoners released by the Polisario Front recently.
2- Ensure the right of the Sahrawi people to self-determination through a free, fair and impartial plebiscite under the auspices of the United Nations in line with the United Nations Charter and the resolutions of the General Assembly
3- Expand the powers of the United Nations Mission for the Referendum in Western Sahara to include the observation of human rights and the monitoring of the status of the province.
4- Pressure the Moroccan state to lift the security and media blockade imposed on the territory and allow media and human rights delegations to enter the region.
5- Work to stop the depletion of the wealth of the province and place under the supervision of head of the United Nations, consistent with the advisory opinion of the legal expert, Mr. Hans Corell, Department of Legal Affairs of the United Nations on January 29, 2002.
6- Publish the report of the UN High Commissioner for Human Rights on Western Sahara and implement its recommendations.
7- Press on the Moroccan state to allow Sahrawi associations and committees to exercise their right to work in public and legally, as well as the lifting of all harassment and detentions of Sahrawi human rights defenders, to ensure the right of Sahrawi citizens legally and peacefully demonstrate, and to maintain freedom of opinion and expression.
8- Invite competent international de-mining bodies in to oversee the clean up the Territory, particularly along the Moroccan military separation wall; these mines deepens the suffering of the Sahrawi people and have become a real threat to the lives of Sahrawi civilians.
9- Call on the Moroccan state to uncove the truth about the fate of hundreds of Sahrawi civilians abducted since 1975, as well as dozens of Sahrawi prisoners.
Finally, Mr. Secretary-General, please be assured of our highest regard.
Sincerely,

1- Association of Victims of Grave Human Rights Violations Committed by the Moroccan State, Western Sahara
2- Sahrawi Support for the Right of Self-Determination in Western Sahara, Western Sahara
3-Commission for the Protection of Sahrawi Prisoners in Moroccan Prisons, Western Sahara
4-Saharan Committee of Families of Martyrs who Died in Moroccan Secret Prisons, Western Sahara
5- Saharan Committee of Families of Disappeared Sahrawis, Western Sahara
6- Committee Against Torture in Dakhla, Western Sahara
7- Sahrawi Committee for the Defence of Human Rights in Samara, Western Sahara
8- Committee for the Support UN Settlement Plan and the Protection of Natural Wealth of Western Sahara


Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Lundi 06 août 2007

La répression contre l’ASVDH continue

Contrairement à ce que le discours de l’Etat Marocain prétend, en ce qui concerne le respect des Droits Humains au Sahara Occidental, l’ASVDH continu de faire l’objet de persécutions des autorités marocaines. Ainsi, après la condamnation de Mr. Brahim SABBAR et Ahemd SBAI, l’incarcération de Mr. Mohamed TAHLIL et l’arrestation de Mr . Sadik BOULLAHI, Mr. Daha ERRAHMOUNI, vient d’être, une nouvelle fois, victime de l’oppression des services sécuritaires marocains. Ainsi, Mr. Daha ERRAHMONI, membre du bureau exécutif, victime de al disparition forcée entre 1987 et 1991 et l’un des fondateurs du mouvement des droits humains au Sahara Occidental, vient d’être arrêté devant sa maison, aujourd’hui lundi 06 août 2007 vers 17 :45 GMT. La police marocaine a confisqué la voiture de Mr. ERRHMOUNI.
Nous rappelons que la police marocaine a confisqué les voitures de Mr. Nicola QUATRANO, juge Italien, et Mr. Hassanna DOUHI, le vendredi 03 août 2006. Ces pratiques répressives contre les citoyens sahraouis, les étrangers et les membres de l’ASVDH, démontre en toute clarté la détermination de l’Etat Marocain à continuer sa politique répressive au Sahara Occidental et à dénier à l’ASVDH son droit de travailler en tant qu’association des droits humains. De même que la police marocaine a mis la maison de Mr. ERRAHMOUNI a été soumise à une surveillance depuis trois jours.
Mr. ERRAHMOUNI a été libéré vers 20 :00 GMT après avoir été interrogé et pris en photo sans qu’aucune accusation lui soit adressée. Mr. ERRAHMOUNI affirme que la police marocaine s’enquête également sur Mr. Mustapha DAH, victime de la disparition forcée, membre de l’ASVDH.
Devant cette escalade, l’ASVDH dénonce vivement l’arrestation de Mr. Daha ERRAHMOUNI et appel la communauté internationale, surtout l’ONU, à prendre des mesures urgente pour imposer le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental. De même, l’ASVDH appelle à la libération de tous les détenus politiques sahraouis. La communauté internationale devrait imposer cette libération comme l’une des mesures de bonne foie du coté du Maroc qui participera au deuxième round des négociations avec le front POLISARIO le 10 et 11 août 2007 à New York

Sahrawi Association
Of Victms of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -
English Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Monday August 6, 2007

Repression against the ASVDH continues

As opposed to what the State Marocain pretends, with regard to the respect of the Human Rights in Western Sahara, the ASVDH continues to be subject of persecutions of the Moroccan authorities. Thus, after the judgment of Mr. Brahim SABBAR and Ahemd SBAI, the imprisonment of Mr. Mohamed TAHLIL and the arrest of Mr. Sadik BOULLAHI, Mr. Daha ERRAHMOUNI, has been, once again, victim of the oppression of the Moroccan security forces. Thus, Mr. Daha ERRAHMONI, member of the executive committee, victim of forced disappearance between 1987 and 1991 and one of the founders of the movement of the human rights in the Western Sahara, was arrested in front of his house, today Monday August 6, 2007 towards 17: 45 GMT. The Moroccan police force confiscated his car.
We point out that the Moroccan police force confiscated the cars of Mr. Nicola QUATRANO, Italian judge, and Mr. Hassanna DOUHI, on Friday August 3, 2006. These repressive practices against the Sahrawi citizens, foreigners and the members of the ASVDH, shows in all clearness the determination of the Moroccan State to continue its repressive policy in Westren Sahara and to deny to the ASVDH its right to work as an association of the human rights. Also, the house of Mr. ERRAHMOUNI was subjected to a monitoring by the Moroccan police force for three days.
Mr. ERRAHMOUNI was released towards 20: 00 GMT after being questioned and taken in photograph without no charge being addressed to him. Mr. ERRAHMOUNI affirms that the Moroccan police force is also inquiring into Mr. Mustapha DAH, victim of forced disappearance and member of the ASVDH.
In front of this escalation, the ASVDH highly denounces the arrest of Mr. Daha ERRAHMOUNI and calls the international community, especially the UNO, to take urgent measures to impose the respect of the human rights in Western Sahara. In the same way, the ASVDH calls to the release of all Sahrawi political prisoners. The international community should impose this release as one of measures of good will of Morocco which will take part in the second round of the negotiations with front POLISARIO on August 10, 2007 in New York.

Hostigamiento a un juez italiano y a su familia en El Aaiun, Sáhara Occidental, por las autoridades marroquíes


El Secretariado de CODESA,
El Aaiun, Sahara Occidental, 4 de agosto de 2007

El 3 de agosto de 2007 la policía marroquí paró al juez italiano, Nicolas Quatrano, de 55 años, que habían alquilado un bungalow junto con su familia en la playa Fum Eluad, a 25 kilómetros al oeste de El Aaiun, Sáhara Occidental.
El juez fue parado por la policía en un control, aproximadamente a 8 kilómetros de El Aaiun, y su coche "Dacia Logan" fue confiscado. El coche había sido alquilado en una agencia en Agadir, sur de Marruecos de manera totalmente legal.
El juez, Nicolas Quatrano, su esposa, Annamaria, sus dos hijos, Valerio y Daniele, y una amiga de familia, Giulia Lippi, fueron dejados abandonados en el control.
Desde ese momento, el juez italiano, Nicolas Quatrano todavía busca su coche y esclarecer los motivos de este trato por parte de la policía marroquí. Hasta ahora, y a pesar de la intervención de la embajada italiana en Rabat, y sus frecuentes visitas al centro principal de policía en El Aaiun, aún no ha podido recuperar su coche y sus documentos.
En el camino de Agadir a El Aaiun, aproximadamente a 650 kilómetros no habían tenido ningún problema con sus documentos en ningún punto de control.
La secretaría de CODESA teme que la verdadera razón tras este hostigamiento sea su presencia en el juicio a los estudiantes saharauis en Marrakech, Marruecos, el 2 de agosto de 2007, y su interés por las violaciones de derechos humanos cometidas por las autoridades marroquíes en el Sáhara Occidental.
El CODESA también notifica que esta no es la primera vez que las autoridades marroquíes maltratan a visitantes europeos en el Sáhara Occidental, como ha ocurrido con delegaciones, activistas de derechos humanos, periodistas, etc.
El 4 de julio de 2005, la policía marroquí forzó al presidente de la Fundación noruega para los erechos humanos Rafto y al portavoz del Comité de Apoyo noruego para el Sáhara Occidental y otros miembros de sindicatos a abandonar el Sáhara Occidental.
El señor Nicolas Quatrano nació en 1952, y es juez en Nápoles, Italia.
English
The CODESA Secretariat,
El Aaiun, Western Saahara,
August 04, 2007.

The harassment of an Italian judge in company with his family in El Aaiun, Western Sahara by the Moroccan authorities.
On August 3, 2007, at about 20:30 the Moroccan police stopped the Italian judge, Nicolas Quatrano, 55 years old, who had rented a bungalow for his family in Foum Eloued beach, 25 kilometers west of El Aaiun, Western Sahara. The judge was stopped by the police in a check-point, about 8 kilometers far from El Aaiun, where his car "Dacia Logan" was confiscated. The car had been rented from an agency in Agadir, south of Morocco in a legal way. The judge, Nicolas Quatrano, his wife, Annamaria, his two sons, Valerio and Daniele, and the family friend, Giulia Lippi, were all left in the check-point in complete fear and anger. Since the confiscation of his car, the Italian judge, Nicolas Quatrano is still looking for his car and for logical reasons for this treatment. Up to now, and despite the intervention of the Italian embassy in Rabat, and his frequent go and come to the principal police center in El Aaiun, he could not yet get his car and its documents.In a telephone call with the CODESA, Mr. Nicolas Quatrano expressed his astonishment to the way the Moroccan police are treating him. He is also unconvinced by the evidence they give concerning the confiscation of his car and the documents. On the way from Agadir to El Aaiun, about 650 kilometers no single checkpoint mentioned the illegality of these papers. The CODESA secretariat fears that the real reason behind this harassment is his attendance to the trial of the Sahrawi students in Marrakech, Morocco on August 02, 2007, and his interest in the violations of human rights perpetrated by the Moroccan authorities in the Western Sahara. The CODESA also notifies that this is not the first time the Moroccan authorities ill-treats European visitors to the Western Sahara, delegations, human rights activists, journalists, etc. On July 04, 2005, the Moroccan police forced the president of the Norwegian Rafto Foundation for human rights and the spokesman of the Norwegian Support Committee for the Western Sahara and other trade union members to leave the Western Sahara towards their countries.Mr. Nicolas Quatrano was born in 1952, an is still practicing his job as a judge in Napoli, Italy.

Communiqué CSPRON


Sahara occidental, le 04-08-2007

Comité de Soutien
au Plan de Résolution Onusien et pour la Protection des Ressources Naturelles au Sahara Occidental

Avec Toute douleur nous avons reçue la nouvelle d’arrestation par Les forces répressives marocaines du juge italien, Mr. Nicola QUATRANO, qui venait d’assister au procès des étudiants sahraoui à Marrakech,. cet acte entre dans le contexte de la politique d’intimidation que pratique les autorités marocaines contre les sahraouis et étrangers qui visitent le territoire du Sahara occidental.

Le Comité de Soutien au Plan de Résolution Onusien et pour la Protection des Ressources Naturelles au Sahara Occidental exprime son inquiétude vis-à-vis de ses intimidations et appelle les autorités marocaines à mettre fin à cette politique restrictive et met l’ONU devant sa responsabilité politique et légale et l’appel à agir en urgence pour instaurer une instance qui veillera sur le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental. A cet égard, le CSPRON lance un appel urgent à la communauté internationale et aux organisations internationales des droits de l’homme pour agir en toute urgence dans le but de libérer les étudiants et les prisonniers politiques sahraouies sahraouie


Secrétaire générale le président
Jaim mohammed LEMJAID SIDI AHMED


Comité de Soutien au Plan de Résolution Onusien et pour la Protection des Ressources Naturelles au Sahara Occidental

Les intimidations continuent à El-Ayoune


Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -
Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Samedi 04 août 2007

Les intimidations continuent à El-Ayoune

Les forces répressives marocaines continuent la politique d’intimidations des citoyens sahraouis et des étrangers. Ainsi, le juge italien, Mr. Nicola QUATRANO, qui venait d’assister au procès des étudiants sahraoui à Marrakech, a été arrêté, hier vendredi 03 août 2007, à El-Ayoune, à 21 :00 GMT. La police marocaine a confisqué la voiture que conduisait Mr. QUATRANO ainsi que ses papiers pour le contraindre à venir au poste de la police judicaire. Vue que Mr. QUATRANO n’avait commis aucune infraction, ce dernier croit que cet acte entre dans le contexte de la politique d’intimidation que pratique les autorités marocaines contre les sahraouis et étrangers qui visitent le territoire.
Nous rappelons que le citoyen sahraoui, Mr. Hassanna DOUIHI avait été, lui aussi, intimidé hier, vendredi 03 août 2007, par des agents de la police marocaine qui lui ont confisqué ses papiers pour l’obliger à les suivre au poste de police sous prétexte que le chef de la police judicaire veut lui parler. Mr. DOUIHI qui était convaincu de n’avoir commis aucune infraction refuse de céder à cette pratique.
L’asvdh exprime son inquiétude vis-à-vis de ses intimidations et appelle les autorités marocaines à mettre fin à cette politique restrictive et met l’ONU devant sa responsabilité politique et légale et l’appel à agir en urgence pour instaurer une instance qui veillera sur le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental.

Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

English Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Saturday August 4, 2007

The intimidations continue in El-Ayoune

The Moroccan repressive forces continue its policy of intimidation against the Sahrawi citizens and foreigners. Thus, the Italian judge, Mr. Nicola QUATRANO, who had just attended the lawsuit of the Sahrawi students in Marrakech, was stopped, yesterday Friday August 3, 2007, in El-Ayoune, at 21: 00 GMT. The Moroccan police force confiscated the car which Mr. QUATRANO was driving as well as his papers to force him to come to the judicial police station. Since that Mr. QUATRANO had not committed any offence; this latter believes that this act is a part of the policy of intimidation which the Moroccan authorities practise against Sahrawis and foreigners who visit the territory.
We point out that the Sahrawi citizen, Mr. Hassanna DOUIHI, was also intimidated yesterday, Friday August 3, 2007, by Moroccan policemen who confiscated his papers to oblige him to follow them to the police station under pretext that the chief of the judicial police wants to speak to him. Mr. DOUIHI who was convinced not to have made any infringement refuses to surrender to this practice.
The asvdh expresses its concern with respect to these intimidations and invites the Moroccan authorities to put an end to this restrictive policy and puts UNO in front of its political and legal responsibility and the calls this organisation to act urgently to found an authority which will take in charge the respect of the human rights in Western Sahara.

Intimidation d’un citoyen sahraoui et arrestation et jugement d’un autre

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information
El-Ayoune – Sahara Occidental
Vendredi 03 août 2007

Intimidation d’un citoyen sahraoui et arrestation et jugement d’un autre

Le citoyen sahraoui, Mr. Hassanna DOUIHI, vient d’être, aujourd’hui vendredi 03 août 2007, à 14 :00 GMT, victime d’une nouvelle intimidation. Mr. DOUIHI, qui a déjà été détenu plus 7 heures le 20 mai dernier, a été retenu aujourd’hui par des policiers de la circulation qui lui ont confisqué ses papiers pour le contraindre à les suivre au poste de police. Mr. DOUIHI qui est convaincu qu’il n’a commis aucune infraction a refusé de suivre les policiers qui étaient dans deux voitures. Jusqu’à présent Mr. DOUIHI ignore les raisons de cet acte illégal.
D’autre part, la gendarmerie royale marocaine a arrêté Mr. Boujamaa TOUALI, à Daoura au nord d’El-Ayoune le 31 juillet 2007. Mr. TOUBALI vient d’être incarcéré à la prison noire le 1er août 2007. Un procès a été instruit contre Mr. TOUBALI qui a comparu devant la cour de première instance hier jeudi 02 août 2007. ce procès a été ajourné au 07 août 2007.

Sahrawi Association
Of Victis of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

English Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Friday August 3, 2007

Intimidation, arrest and judgement of Sahrawi citizens

Mr. Hassanna DOUIHI, has just been, today Friday August 3, 2007, at 14: 00 GMT, victim of a new intimidation. Mr. DOUIHI, who was already held for more 7 hours on last May 20, was retained today by police officers of the circulation who confiscated his papers to force him to follow them to the police station. Mr. DOUIHI who is convinced that he did not commit any offence refused to follow the police officers who were in two cars. Until now Mr. DOUIHI doesn’t know the reasons of this illegal act.
In addition, the Moroccan royal gendarmerie arrested Mr. Boujamaa TOUBALI, in Daoura in the north of El-Ayoune on July 31, 2007. Mr. TOUBALI has been just imprisoned at the black prison on August 1, 2007. A lawsuit was informed against Mr. TOUBALI who appeared before the court of first authority yesterday Thursday August 2, 2007. This lawsuit was deferred at August 7, 2007.

Español
Intimidación de un ciudadano saharaui y detención y juicio de otro
Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos Cometidas por el Estado Marroquí (ASVDH)
El Aaiun – Sahara Occidental. 3 de agosto de 2007
El ciudadano saharaui, Hasana DOUIHI, fue retenido el viernes 3 de agosto de 2007. DOUIHI, ha sido víctima de diferentes intimidaciones, siendo retenido anteriormente durante más de 7 horas el pasado 20 de mayo. En esta última retención del 3 de agosto, policías de tráfico le confiscaron sus papeles y le forazaron a seguirles al puesto de policía.
Hasana DOUIHI que asegura que no cometió ninguna infracción, se negó a seguir a los policías que estaban en dos coches. Por ahora se ignoran las razones de este acto ilegal.
Por otra parte, la gendarmería real marroquí detuvo a Buyema TOUBALI, en Daora, al norte de El Aaiun el pasado 31 de julio de 2007. Buyema TOUBALI ha sido posteriormente encarcelado en la Cárcel Negra 1 de agosto de 2007. Se ha instruido un proceso contra Buyema TOUBALI, que compareció ante el tribunal de primera instancia el jueves, 2 de agosto de 2007. El proceso ha sido aplazado hasta el 07 de agosto de 2007.

Arrestation d'un citoyen sahraoui

El Ayoune : 02 août 2007 Secrétariat du Collectif Défenseurs Sahraouis des droits de l'homme
El Aaiun / Sahara Occidental
CODESA
Arrestation d'un citoyen sahraoui
Les autorités marocaine ont arrêté à Daura (40 km au nord d'El Ayoune) le 31 juillet 2007 le citoyen sahraoui Elidrissi Taoubali Buyemaa âgé de 42 ans.Ce citoyen qui travaillait comme ouvrier pour l'agence de Promotion nationale, a été arrêté à 11h par des agents de la gendarmerie et le chef du district de Daura, qui l'ont transféré à la Police Judiciaire de la gendarmerie à El Ayoune où il a été interrogé durant 24 heures et torturé selon un membre de sa famille. Par la suite il a été présenté au procureur du roi auprès du tribunal de première instance à El Ayoune qui a décrété la détention préventive à partir du 1er août à la Prison noire. Le 2 août il a été présenté au tribunal de première instance mais le jugement a été reporté au 7 août sur demande de la défense.Jusqu'à présent le CODESA n'a pas connaissance des motifs qui ont amené les autorités à cette incarcération. ( trad. p. arso)

The CODESA Secretariat,
El Aaiun, Western Sahara,
August 02, 2007.

The Arrest of a Sahrawi citizen in Dawra, 40 kilometres far from El Aaiun
On July 31, 2007, the Moroccan authorities arrested the Sahrawi citizen, Elidrissi Toubali Boujemaa, aged 42 years old in Dawra, about 40 kilometres north of El Aaiun, Western Sahara.Mr. Elidrissi, who is a simple worker in what is known in the Western Sahara as "the National Promotion", was detained at 11 a.m. by the gendarmerie agents and the chief of Dawra village.Mr. Elidrissi was transferred to the Judicial Police center in El Aaiun where he was interrogated for 24 hours and was tortured according to one of his family members.Then, he was presented to the king prosecutor at the court of first instance in El Aaiun, who ordered that he should be put under preventive custody on August 01, 2007 in the Black Prison.On August 02, 2007, Mr. Elidrissi was presented before the court of first instance, but the trial was delayed to August 07, 2007 in response to the defence plea.Up to the present, the CODESA has no idea concerning the real reasons behind Mr. Elidrissi's detention

Ajournement du procès des étudiants sahraouis à Marrakech

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Jeudi 02 août 2007

Ajournement du procès des étudiants sahraouis à Marrakech

La cour d’appel, à Marrakech, a reporté le procès des étudiants sahraouis au 09 août 2007. Les étudiants sahraouis, arrêtés le 09 mai 2007, à la Cité universitaire de Marrakech et incarcérés à la prison locale de Marrakech, avaient été condamnés, vendredi 25 mai 2007, par la cour de première instance de Marrakech à des peines lourdes et injustes. Ainsi, la cour avait décidé de condamner
Mlle. Sultana KHAYA, élève au centre culturel américain, en liberté conditionnelle, qui a un œil éclaté, à huit mois de prison ferme (poursuite à liberté provisoire)
Mr. Abdelfatah ELYADASSIA, étudiant en 2ème année sciences sociales, N° d’écrou, 88351, à un an de prison ferme
Mr. Embeirik DAH, élève en 6ème année sciences, N° d’écrou, 88355, à un an de prison ferme
Mr. Mohamed ELARBAWI, N° d’écrou, 88353, à un an de prison ferme
Mr. Hassan FATEH, étudiant en 1ère année droit, N° d’écrou, 88356, à un an de prison ferme
Mr. Rachid BENOU, étudiant en 1ère année droit, N° d’écrou, 88354, à un an de prison ferme
Mr. Mahmoud ELQUEITI, étudiants en 1ère année droit, N° d’écrou, 88352, à un an de prison ferme.
Ces étudiants ont tous rejetés les accusations et ont confirmé qu’ils étaient arrêté lors d’un sit-in pacifique qu’ils avaient organisé pour soutenir les étudiants sahraouis à Agadir qui avaient étaient sauvagement réprimés par les forces sécuritaires marocaines. Ils ont aussi réitéré leur soutien inconditionnel au droit, inaliénable, du peuple sahraoui à l’autodétermination.
Nous rappelons que Maître Said OULZAZ et le Juge Italien Nicola QUATRANO ont assisté à ce procès de même que Sidi Mohamed DADACH, président du Comité Sahraoui pour le Soutien à l’Autodétermination au Sahara Occidental, Brahim DAHANE, président de l’ASVDH, et Sid Ahmed LEMJEYID, président du Comité Sahraoui pour le Soutien au Plan de Résolution Onusien et pour la Protection des Ressources Naturelles au Sahara Occidental

English
Sahrawi Association
Of the Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Thursday August 2, 2007

Adjournment of the lawsuit of the Sahrawi students in Marrakech

The Court of Appeal, in Marrakech, deferred the lawsuit of the Sahrawi students to August 9, 2007. The Sahrawi students, arrestd on May 9, 2007, at the university campus of Marrakech and imprisoned in the local prison of the same city, had been condemned, on Friday May 25, 2007, by the court of first authority. The latter pronounced heavy and unjust sentences against these students. Thus, the court decided to condemn:
Miss. Sultana KHAYA, pupil at the American arts centre, on conditional release with serious eye injury: eight months prison
Mr. Abdelfatah ELYADASSIA, studying in 2nd year social sciences, Case N° 88351: one year of firm prison
Mr. Embeirik DAH, pupil in 6th year sciences, Case N° 88355: one year prison
Mr. Mohamed ELARBAWI, Case N° 88353: one year prison
Mr. Hassan FATEH, studying in 1st year Law, Case N° 88356
Mr. Rachid BENOU, studying in 1st year Law, Case N° 88354: one year prison
Mr. Mahmoud ELQUEITI, students in 1st year Law, Case N° 88352: one year prison
These students rejected all the charges and confirmed that they were arrested at the time of a peaceful sit-in which they had organized to support the Sahrawi students in Agadir who had been savagely repressed by the Moroccan security forces. They also reiterated their unconditional support for the inalienable right of the Sahrawi people to self-determination.
We point out that the Lawyer Said OULZAZ and the Italian Judge Nicola QUATRANO attended this lawsuit just as Sidi Mohamed DADACH, president of the Sahrawi Committee for the Support for Self-determination in the Western Sahara, Brahim DAHANE, president of the ASVDH, and Sid Ahmed LEMJEYID, president of the Sahrawi Committee for the Support for the U.N. Plan of Resolution and for Protection of the Natural Resources in Western Sahara.
Español
Aplazamiento del juicio de los estudiantes saharauis en Marrakech
Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos Cometidas por el Estado Marroquí (ASVDH)
El Aaiun– Sahara Occidental. 2 de agosto de 2007
El Tribunal de Apelación, en Marrakech, ha aplazado el proceso de los estudiantes saharauis al 9 de agosto de 2007. Los estudiantes saharauis, detenidos el 9 de mayo de 2007, en la Ciudad universitaria de Marrakech y encarcelados a la prisión local de Marrakech, habían sido condenados, el viernes 25 de mayo de 2007, por el tribunal de primera instancia de Marrakech a duras e injustas penas. Así, el tribunal había decidido condenar:
Sultana JAYA, alumna del centro de arte americano, en libertad condicional, perdió un ojo por los golpes de los policías marroquíes; condenada a ocho meses de prisión firme.
Abdelfatah ELYADASIA, estudiante de 2º año ciencias sociales, N ° de expediente 88351; condenado a un año de prisión firme.
Embeirik DAH, alumno en 6º año de ciencias, N ° de expendiente 88355; condenado a un año de prisión firme.
Mohamed ELARBAWI, N ° de expediente 88353; condenado a un año de prisión firme.
Hassan FATEH, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88356; condenado a un año de prisión firme.
Rachid BENU, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88354; condenado a un año de prisión firme.
Mahmoud ELQUEITI, estudiante de 1º de derecho, N ° de expediente 88352; condenado a un año de prisión firme.
Todos ellos rechazaron las acusaciones y confirmaron que habían sido detenidos en el curso de una sentada pacífica que habían organizado para apoyar a los estudiantes saharauis en Añadir, que habían sido salvajemente reprimidos por las fuerzas de seguridad marroquíes. También reiteraron su apoyo incondicional al derecho, inalienable, del pueblo saharaui a la autodeterminación. Hay que destacar que el letrado Said OULZAZ y el juez italiano Nicola QUATRANO asistieron a este proceso, al igual que Sidi Mohamed DADACH, presidente del Comité Saharaui para el Apoyo de la Autodeterminación en Sáhara Occidental, Brahim DAHANE, presidente del ASVDH, y Sid Ahmed LEMJEYID, presidente del Comité Saharaui para el Apoyo del Plan de la ONU para la Protección de los Recursos Naturales en el Sáhara Occidental

Des citoyens sahraouis et des défenseurs des droits humains condamnés à un totalk de 36 années de prison à El Ayoune, Sahara Occidental


Collectif des Défenseurs Sahraouis des droits de l'hommeEl Aaiun / Sahara Occidental
El Ayoune, Sahara Occidental

31 juillet 2007,

Secrétariat du CODESA
Des citoyens sahraouis et des défenseurs des droits humains condamnés à un totalk de 36 années de prison à El Ayoune, Sahara Occidental


Le 31 juillet le tribunal de première instance d'El Ayoune a prononcé des sentences de 10 ans de prison ferme pour Khatra Chekrad et Mohamed Tamek et 8 ans pour Moustapha Tamek et Ali Banga.La salle du tribunal avait été placée sous contrôle policier et d'agents de sécurité.La police marocaine avait arrêté les 4 Sahraouis, parmi lesquels les activistes des droits humains Moustafa Tamek et Ali Banga qui furent surpris par les fausses accusations avancées: trafic de cocaïne. Ils avaient été arrêtés à l'entrée de El Ayoune à bord d'une voiture Renault 9.Les deux activistes ont toujours nié toute relation avec cette accusation, que ce soit à la Police judiciaire, devant le procureur du roi ou lors de la session du tribunal.Les deux détenus Khatra Chekrad et Mohamed Tamek, ont subi des tortures durant les 96 heures de détention au commisariat de la Police judiciaire.Le secrétariat du CODESA considère que le procès contre Moustapha Tamek et Banga Ali est injuste. La procédure ne respecte pas les moindres conditions d'équité. Le secrétariat du CODESA ne comprend pour quelle raison la cour n'a pas tenu compte des procès verbaux de la police judiciaire qui correspondent aux déclarations des détenus.Le secrétariat du CODESA est très préoccupé par le fait que ces sentences représentent probablement une forme de vengeance et de racisme à l'encontre des noms de familles connues pour leur activisme en faveur des droits humians au Sahara Occidental et au Sud Maroc et leur engagement en faveur de l'autodétermintion du peuple sahraoui.


Español:


Penas de 36 años de cárcel contra ciudadanos y activistas saharauis de derechos humanos en El Aaiun, Sáhara Occidental
CODESA. 31/07/2007
El 31 de julio de 2007, el tribunal de primera instancia en El Aaiun, Sáhara Occidental, condenó a cuatro presos saharauis a penas de 10 años de prisión para Jatri Chekrad y Mohamed Tamek y de 8 años para Mustafa Tamek y Ali Banga.
La sala de tribunal estaba bajo estricto control policial y con una fuerte presencia de agentes de seguridad.
La policía marroquí había detenido a los cuatro ciudadanos saharauis, dos de ellos activistas de derechos humanos, Mustafa Tamek y Ali Banga, bajo falsa acusación de tráfico de drogas.
Les detuvieron cuando circulaban en coche a la entrada de en Renault 9 en la entrada de El Aaiun, Sáhara Occidental.
Ambos activistas negaron su relación con este caso en el centro de policía judicial, ante el fiscal y durante la sesión del juicio el 31 de julio de 2007.
INFORMACION SOBRE LA DETENCION DE LOS ACTIVISTAS EL PASADO 20 DE JULIO DE 2007
22/07/2007
Las autoridades marroquíes coloniales en El Aaiun, capital ocupada del Sáhara Occidental, detuvieron a tres activistas saharauis de derechos humanos y un cuarto ciudadano saharaui a la entrada de la ciudad ocupada, cuando circulaban con su coche desde Guleimim (sur Marruecos).
Se trata de Mustafa Tamek, miembro del Colectivo de Defensores de Derechos humanos saharauis (CODESA) y Secretario General de la Asociación de Derechos humanos marroquí en Assa-Zag (AMDH-Assa. Zag); Mohamed Tamek, activista de Derechos humanos en varias organizaciones no gubernamentales y sindicalista; Ali Banga, miembro del AMDH- Assa. Zag, y Jatri Chekrad, un ciudadano saharaui que acompañaba a los tres hombres. Los cuatro fueron detenidos por la policía marroquí en un control al norte de El Aaiun.
Según un comunicado de prensa emitido por CODESA, los cuatro detenidos fueron detenidos y transferidos al centro de la Policía Criminal marroquí en El Aaiun, mientras sus familias no tenían ninguna información sobre los motivos de esta detención.
Las familias de las víctimas, emitieron un comunicado de prensa, preguntando a las organizaciones internacionales de derechos humanos, Naciones Unidas, la Unión Europea y a todos los organismos internacionales a que exijan a Marruecos la liberación de los cuatro ciudadanos inocentes, y pedir su protección ante cualquier clase de tortura o abuso de sus derechos fundamentales

English

The CODESA Secretariat,
El Aaiun, Western Saahara
July 27, 2007.
El Aaiun, Western Sahara,July 31, 2007,The CODESA Secretariat.
36 years imprisonment against Sahrawi citizens and human rights activists in El Aaiun, Western SaharaOn July 31, 2007, the court of First Instance in El Aaiun, Western Sahara, sentenced four Sahrawi prisoners for verdicts ranging from 10 years imprisonment against Khatra Chekrad and Mohamed Tamek and 08 years imprisonment against Moustapha Tamek and Ali Banga.The courtroom was under complete police control and heavy security agents' presence.The Moroccan police had arrested the four Sahrawi citizens, among them two human rights activists, Moustapha Tamek and Ali Banga, who were surprised by their false accusation : to deal in cocaine. They were stopped in a Renault 09 at the entrance of El Aaiun, Western Sahara. Both activists denied their relationship to this case at the Judicial Police center, before the King prosecutor and during the open trial session on July 31, 2007.Both Sahrawi detainees Khatra Chekrad and Mohamed Tamek, were subjected to torture during the 96 hours custody at the Judicial Police Center.The CODESA secretariat considers the trail against the Sahrawi activists, Mustapha Tamek and Banga Ali as unjust. Their trial lacks the least fair conditions. The CODESA does not see any reason why the court body did not take into account the judicial police proceedings which are in compatibility with what the detainees had declared.The CODESA secretariat is also very worried about the fact that these verdicts are probably a kind of revenge and racism against famous family names that are renowned for their human rights activism in the Western Sahara and south of Morocco and their call for the Sahrawi people's right to self-determination.For these reasons, the CODESA will continue to give much importance to this case.

Detencion de un activista de derechos humanos


Detencion de un activista de derechos humanos.
Las autoridades de Marruecos detienen a un activista saharaui de derechos humanos , miembro de la ASVDH en la ciudad de Gulmim hoy 27 de julio de 2007 . Y segun nuestras fuentes que el activista Balahi Sadigh, de 48 años y padre de familia, ex-desaparecido desde el 1981 hasta junio del 1991 y uno de los que estuvieron en la mazmorra de Galaat Magouna .Las autoridades de Marruecos lo detuvieron bajo el pretexto de que esta imlicado en la Intifada en el año 2005 .

The CODESA Secretariat,
El Aaiun, Western Saahara
July 27, 2007.
The arrest of a Sahrawi human rights activist in Guelmim, south of MorocoOn July 27, 2007 at 10:00 the Moroccan authorities arrested the Sahrawi human rights activist and member of the Executive Office of the ASVDH, Essaddik Bellahi, 48 years old, in Guelmim, a city in the south of Morocco.According to his family, his arrest is associated with the demonstrations that took place in El Aaiun, Western Sahara since May 2005.Essaddik was born in Lagssabi, 10 kilometers away from Guelmim. He is married and has two children. He was subjected to forced abduction from 1981 to 1991 among a group of dozens of Sahrawis. He was also arrested in 2001 at a sit-in in Rabat with the prominent members of the Moroccan Association for Human Rights
.

Libération de Mr. Sadik BOULAHI

- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Lundi 30 juillet 2007

Libération de Mr. Sadik BOULAHI

Les autorités marocaines ont libéré, hier dimanche 29 juillet 2007, Mr. Sadik BOULLAHI. Ce dernier, qui a été arrêté le vendredi 27 juillet, à Guelmim, a été transféré à El-Ayoune, le même jour, où il a été détenu, au centre de la police judicaire, jusqu’au dimanche 29 juillet vers 13 :00 GMT. Mr. BOULLAHI a comparu devant je juge d’instruction qui a décidé de d’instruire un procès contre lui pour création d’une association non autorisée et a désigné le 11 octobre prochain comme date du procès.
Ce nouveau procès contre un autre membre d’asvdh, confirme l’intention des autorités marocaines à continuer de refuser à cette association son droit à travailler conformément à loi en vigueur.

English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Monday July 30, 2007

Release of Mr. Sadik BOULAHI

The Moroccan authorities released, yesterday Sunday July 29, 2007, Mr. Sadik BOULLAHI. The latter who was arrested on Friday July 27, in Guelmim, was transferred to El-Ayoune, the same day, where he was held, in the judicial police force centre, until Sunday July 29 towards 13: 00 GMT. Mr. BOULLAHI appeared before the examining magistrate who decided to inform a lawsuit against him for creation of an association not authorized which will take place on October 11.
This new lawsuit against another member of asvdh, confirms the intention of the Moroccan authorities to continue to refuse to this association its right to work in accordance with law in force.

Appel urgent


Association Sahraouie
Des Victimes des Violations graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

El-Ayoune – Sahara Occidental
Vendredi 27 juillet 2007

Appel urgent


Les autorités marocaines, à Guelmime (sud du Maroc), viennent d’arrêter, aujourd’hui vendredi 27 juillet 2007, Mr. Sadik BOULLAHI, né en 1958 et père de deux enfants, membre du bureau exécutif de l’ASVDH, et rescapé du bagne secret Kalaat M’Gounat où il a passé 10 ans en compagnie de Mr. Brahim SABBAR. Mr. BOULLAHI s’est engagé à défendre les droits de l’homme et dévoilé la vérité sur les crimes contre l’humanité que l’Etat Marocain commis au Sahara Occidental, depuis sa libération en 1991, comme il est l’un de premiers fondateurs du mouvement des droits humains dans les territoires sous l’administration du Maroc, qui a fait ses premiers pas en 1994.
Mr. BOULLAHI qui se trouvait au commissariat de la police à Guelmime pour déposer une déclaration de perte de ses papiers a été surpris par son arrestation sous prétexte qu’il était recherché par la police. A cet égard nous rappelons que les autorités marocaines avaient lancé des avis de recherche contre un ensemble des membres de l’ASVDH, le dernier était Mr. Mohamed TAHLIL qui a été arrêté à la frontière à son retour de la Mauritanienne le 16 juillet dernier.
Cette arrestation vient pour renforcer la politique de resserrement que pratique l’Etat marocain contre l’ASVDH. En ce moment plusieurs membres de l’association sont emprisonnés dans la prison noire à El-Ayoune pour de fausses charges. De même, l’ASVDH n’arrive toujours pas à travailler conformément à la loi en vigueur à cause de la persistance des autorités marocaines à lui refuser le droit d’être enregistrée.
A cet égard, l’ASVDH lance un appel urgent à la communauté internationale et aux organisations internationales des droits de l’homme pour agir en toute urgence dans le but de libérer Mr. Sadik BOULLAHI et faire pression sur l’Etat marocain pour mettre fin aux poursuites, intimidations, harcèlement et arrestations contre les membres l’association.


English
Sahrawi Association
Of Victims of Human Rights Grave Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H-

El-Ayoune – Western Sahara
Friday July 27, 2007


Urgent call


The Moroccan authorities, in Guelmime (southern of Morocco), arrested, today Friday July 27, 2007, Mr. Sadik BOULLAHI, born in 1958 and father of two children, member of the executive committee of the ASVDH, and survivor of the secret prison of Kalaat Me Gounat where he spent 10 years in company of Mr. Brahim SABBAR. Mr. BOULLAHI committed himself, since his release in 1991,to defend human rights and to reveal the truth on the crimes against humanity that the Moroccan State committed in Western Sahara, as he is one of first founders of the movement of the human rights in the territories under the administration of Morocco, which made its first steps in 1994.
Mr. BOULLAHI who was at the police station in Guelmime to deposit a declaration of loss of his papers was surprised by his arrest under pretext that he was sought by the police force. In this respect we point out that the Moroccan authorities had launched opinions of research against a group of the members of the ASVDH, the last case was Mr. Mohamed TAHLIL who was arrested at the border on his return from Mauritanian last on July 16.
This arrest comes to reinforce the policy of tightening which the Moroccan State practises against the ASVDH. At this moment several members of the association are imprisoned in the black prison in El-Ayoune for false charges. In the same way, the ASVDH still could not manage to work in accordance with the law in force because of the persistence of the Moroccan authorities to refuse to recognise its right to be recorded.
In this respect, the ASVDH launches an urgent call at the international community and the international organizations of the human rights to act in urgence with an aim of releasing Mr. Sadik BOULLAHI and making pressure on the Moroccan State to put an end to the continuations, intimidations, harassments and arrests against the members association
.

Nouvelle arrestation à la frontière et ajournement d’un nouveau procès

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 25 juillet 2007

Nouvelle arrestation à la frontière et ajournement d’un nouveau procès

L’ex-détenu politique sahraoui, Mr. Bachir YAYA, a été arrêté, hier mardi 24 juillet 2007, à 18 :00 GMT, à la frontière Mauritanie – Sahara Occidental, lors de son retour de la Mauritanie. La famille de Mr. YAYA affirme que son fils été arrêté en compagnie d’un groupe de voyageurs mauritaniens. Ces derniers sont toujours détenu au centre de la police marocaine à Dakhla, alors que le sort de Mr. YAYA est inconnu puisque les services policière refuse de reconnaître sa détention.
Nous rappelons que Mr. YAYA avait été arrêté l’an dernier à la même frontière et avait été sauvagement torturé ainsi que des membres de sa famille.
A cet égard, Mr. Mohamed TAHLI, président du comité local de l’ASVDH, à Boujdour et ex-détenu politique sahraoui, qui avait été arrêté le lundi 16 juillet 2007 sur la frontière, a comparu, aujourd’hui, 25 juillet 2007, devant la cour de première instance à El-Ayoune. Le procès de Mr. TAHLIL a été ajourné au 12 septembre 2007.

English
Sahrawi Association
Of the Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Wednesday July 25, 2007

New arrest at the border and deferment of a new lawsuit

The Sahrawi ex-political prisoner, Mr. Bachir YAYA, was arrested, yesterday Tuesday July 24, 2007, at 18: 00 GMT, at the border Mauritania - Western Sahara, while he was travelling back from Mauritania. The family of Mr. YAYA affirms that her son was arrested in company of a group of Mauritanian travellers. The latter are always held in the centre of the Moroccan police force in Dakhla, whereas the fate of Mr. YAYA is sill unknown since the police services refuse to recognize his detention.
We point out that Mr. YAYA had been arrested last year at the same border and had been savagely tortured as well as members of his family.
In this respect, Mr. Mohamed TAHLI, president of the local committee of the ASVDH, in Boujdour and Sahrawi ex- political prisoner, who had been arrested on Monday July 16, 2007 on the border, appeared, today, July 25, 2007, before the court of first authority
in El-Ayoune. The lawsuit of Mr. TAHLIL was deferred at September 12, 2007.

Communiqué CODESA

Communiqué

Monsieur Craig KARP, conseiller des affaires politiques à l’ambassade des Etats Unis d’Amérique à Rabat au Maroc,a entretenu un contact avec des membres du secrétariat du Collectif des Défenseurs Sahraouis des Droits de l’Homme (CODESA) le Jeudi 19 juillet 2007 à Laâyoune au Sahara Occidental.
Dans cette rencontre, qui s’est tenue sans ordre du jour defini et qui a duré plus de trois heures, les deux parties ont exprime leurs points de vue a propos de la situation des Droits de l’Homme au Sahara Occidental, ainsi que les atteintes aux droits humains touchant les citoyens sahraouis sur le territoire marocain.
Ce contact a été aussi une occasion pour les membres representant le CODESA d'émettre leurs opinions sur différents sujets d’intérêt exprimés par le conseiller et qui concernent la situation au Sahara Occidental.

Secrétariat du CODESA
Laâyoune / Sahara Occidental
Le : 23 juillet 2007

Incarcération de Mr. Mohamed TAHLIL à la prison noire d’El-Ayoune

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara occidental
Dimanche 22 juillet 2007

Incarcération de Mr. Mohamed TAHLIL à la prison noire d’El-Ayoune

L’ex-détenu politique sahraoui, président du Comité local de la section de l’asvdh à Boujdour, a été incarcéré, hier samedi 21 juillet 2007, à la Prison Noire, à El-Ayoune, après avoir passé une semaine en garde à vue sous torture sauvage. Nous rappelons que Mr. TAHLIL avait été arrêté, lundi 16 juillet 2007 à son retour de la Mauritanie, au poste de control sur la frontière Mauritanie – Sahara Occidental, et a avait été conduit au poste de police à Dakhla, après l’avoir tabassé et menotté devant le public sans aucun délit.
Nous rappelons aussi que Mr. TAHLIL avait été arrêté mardi 17 avril 2007, à un point de control, à l’entrée de la ville d’El-Ayoune, par un groupe d’agent de police marocain, dont, Mr. Aziz (surnommé Touhima, officier de la police judicaire) et Mr. ELKAMOURI (officier de la police judicaire) avant de l’expulsé de la ville le 18 du même moi. Mr. TAHLI avait été Condamné, le 13 août 2005, condamné à 3 ans de prison ferme, cette peine qui avait été confirmé en appel le 25 janvier 2006, et libéré le 22 avril 2006. Il a également été détenus, torturé et abandonné dans le désert, à 50 kms de la ville de Boujdour, le 30 avril 2006. Le 11 août 2006, les autorités marocaines, à Boujdoour, avaient refusé de lui octroyer son passeport. Le 11 octobre 2006, Mr. TAHLIL a été retenu et interrogé durant 4 heures à la frontière mauritanienne lors de son retour de Nouadhibou, puis arrêté une deuxième fois à 40 km de Dakhla. Il a été retenu au commissariat de police durant 24 heures, insulté et battu. Ses affaires personnelles, inclus un téléphone portable et 2000 dirhams ont été confisqués

English
Sahrawi Association
Of Victims of Grave Human Rights Violations
Committed by Moroccan State
- A S V D H -

Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Sunday July 22, 2007

Imprisonment of Mr. Mohamed TAHLIL at the black prison of El-Ayoune

The Sahrawi ex- political prisoner, president of the local Committee of the section of the asvdh in Boujdour, was imprisoned, yesterday Saturday July 21, 2007, at the Black Prison, El-Ayoune, after a week in custody under savage torture. We point out that Mr. TAHLIL had been arrested on Monday July 16, 2007, while travelling back from Mauritania, at the post control on the border Mauritania-Western Sahara, and was led to the police station in Dakhla, after having beaten him and cuffed his hands in public without any offence.
We also recall that Mr. TAHLIL had been arrested on Tuesday April 17, 2007, was detained at a check-point into El-Ayoune by a group of Moroccan policeman, among them, a Mr. AZIZ (called Touhima, a senior police officer) and Mr. ELKAMOURI (another senior police officer) before being expelled from the city on 18 of the same month. Mr. TAHLIL was also arrested on 13 August 2005, condemned to 3 years of prison. This sentence was confirmed in appeal on 25 January 2006; he was released on 22 April 2006. He was again arrested, tortured and abandoned in the desert, 50 kms far from the town of Boujdour, on 30 April 2006. On 11 August 2006, the Moroccan authorities in Boujdoour had refused to grant him his passport. On 11 October 2006, Mr. TAHLIL was arrested and questioned for 4 hours at the Mauritanian border at the time of his return from Nouadhibou; he was then arrested a second time at 40 km far from Dakhla. He was detained in the station police for 24 hours, and was insulted and beaten. His personal effects included a mobile phone and 2000 dirhams, which were confiscated.

Arrestation de l’ex-détenu politique sahraoui et membre du Comité locale de l’asvdh à Boujdour, Mr. Mohamed TAHLIL

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 18 juillet 2007

Arrestation de l’ex-détenu politique sahraoui et membre du Comité locale de l’asvdh à Boujdour, Mr. Mohamed TAHLIL

Les autorités marocaines, ont arrêté, avant-hier lundi 16 juillet 2007, Mr. Mohamed TAHLIL, ex-détenu politique et membre du Comité Locale de l’ASVDH à Boujdour, qui était de retour de la Mauritanie, au poste de control sur la frontière Mauritanie – Sahara Occidental, et a été conduit au poste de police à Dakhla, après l’avoir tabassé et menotté devant le public sans aucun délit.
Nous rappelons que Mr. TAHLIL avait été arrêté mardi 17 avril 2007, à un point de control, à l’entrée de la ville d’El-Ayoune, par un groupe d’agent de police marocain, dont, Mr. Aziz (surnommé Touhima, officier de la police judicaire) et Mr. ELKAMOURI (officier de la police judicaire) avant de l’expulsé de la ville le 18 du même moi. Mr. TAHLI avait été Condamné, le 13 août 2005, condamné à 3 ans de prison ferme, cette peine qui avait été confirmé en appel le 25 janvier 2006, et libéré le 22 avril 2006. Il a également été détenus, torturé et abandonné dans le désert, à 50 kms de la ville de Boujdour, le 30 avril 2006. Le 11 août 2006, les autorités marocaines, à Boujdoour, avaient refusé de lui octroyer son passeport. Le 11 octobre 2006, Mr. TAHLIL a été retenu et interrogé durant 4 heures à la frontière mauritanienne lors de son retour de Nouadhibou, puis arrêté une deuxième fois à 40 km de Dakhla. Il a été retenu au commissariat de police durant 24 heures, insulté et battu. Ses affaires personnelles, inclus un téléphone portable et 2000 dirhams ont été confisqués.
L’ASVDH, qui dénonce vivement cette arrestation arbitraire et revendique la libération immédiate de Mr. TAHLIL, considère cette détention illégale et une atteinte au droit de dernier au déplacement, sur la base de ces positions politiques et son activité en tant que défenseur des droits humains.
Par ailleurs, la citoyenne sahraouie, Mme. Aghleina Ment Barhah arrêtée, avant-hier lundi 16 juillet 2007 à 21 :00 GMT, à partir de son domicile situé au quartier Linaache, à El-Ayoune, a été libérée, aujourd’hui mercredi 18 juillet 2007, à 13 :30 GMT, après avoir passé 41 heures sous détention au centre de la police judiciaire.
En outre, le procès des détenus politiques sahraouis, Mr. Ahmed Mohamed Ahmed BARKOUH, Mr. Mouloud Mohamed Ahmed BARKUH et Mr. Khellihenna Cheikh Ali DLEIMI, arrêtés à Smara, le 26 juin 2007, qui ont comparu, aujourd’hui 18 juillet 2007, devant la cour de première instance à El-Ayoune, a été reporté au 05 septembre 2007.

English
Sahrawi Association
Of the Victims of the Grave of Human Rights Violations
Committed by the Moroccan State
- A S V D H –


Newsletter

El-Ayoune - Western Sahara
Wednesday July 18, 2007

Arrest of the Sahrawi ex- political prisoner and member of the Committee local of the asvdh in Boujdour, Mr. Mohamed TAHLIL

The Moroccan authorities, arrested, the day before yesterday Monday July 16, 2007, Mr. Mohamed TAHLIL, an ex- political prisoner and member of the Local Committee of the ASVDH in Boujdour, who was travelling back from Mauritania, at the post control on the border Mauritania – Western Sahara, and was led to the police station in Dakhla, after having beaten him and attached his hands in front of the public without any offence.
We recall that Mr. TAHLIL had been stopped Tuesday April 17, 2007, was detained at a check-point into El-Ayoune by a group of Moroccan policeman, among them, a Mr. AZIZ (called Touhima, a senior police officer) and Mr. ELKAMOURI (another senior police officer) before being expelled from the city on 18 of the same month. Mr. TAHLIL was also arrested on 13 August 2005, condemned to 3 years of prison. This sentence was confirmed in appeal on 25 January 2006; he was released on 22 April 2006. He was again arrested, tortured and abandoned in the desert, 50 kms far from the town of Boujdour, on 30 April 2006. On 11 August 2006, the Moroccan authorities in Boujdoour had refused to grant him his passport. On 11 October 2006, Mr. TAHLIL was arrested and questioned for 4 hours at the Mauritanian border at the time of his return from Nouadhibou; he was then arrested a second time at 40 km far from Dakhla. He was detained in the station police for 24 hours, and was insulted and beaten. His personal effects included a mobile phone and 2000 dirhams, which were confiscated.
The ASVDH, which highly denounces this arbitrary arrest and asserts the immediate release of Mr. TAHLIL, considers this illegal detention as an infringement of the right of the latter to movement, on the basis of his political position and his activity as a defender of the human rights.
In addition, the citizen sahraouie, Mrs. Aghleina Ment Barhah arrested, the day before yesterday Monday July 16, 2007 at 21: 00 GMT, from her residence located at the Linaache district, in El-Ayoune, was released, today Wednesday July 18, 2007, at 13: 30 GMT, after having spent 41 hours under detention in the centre of judicial police.
Moreover, the lawsuit of the Sahrawi political prisoners, Mr. Ahmed Mohamed Ahmed BARKOUH, Mr. Mouloud Mohamed Ahmed BARKOUH and Mr. Khellihenna Sheik Ali DLEIMI, arrested in Smara, on June 26, 2007, have appeared, today July 18, 2007, before the court of first authority in El-Ayoune, was deferred to September 5, 2007.