lundi, octobre 30, 2006

Communiqué du CODESA

COMUNIQUE


Le CODESA poursuivit avec une grande attention la
situatuion tres dangereuse des droits de l'home au
Sahara Occidental et au sud du Maroc,situation
caractérisée;aujourd'hui par l'interdiction
systématique et la réprission sauvage des des sit in
et manifestations pacifiques proclamant le droit du
peuple Sahraoui à l'autodtermination et ce depuis le
21 mai 2005.
Malgre que le HCDH a envoyé une commission ad-hoc au
territoire qui avisité Laayoune au sahara
occientalpendant le 17 et le 19 Mai;et qui a redige un
rapport dans lequel elle endosse,et d'une maniere
claire,la responsabilte des violations graves des
droits d l'home au Sahara Occidental à l'etat
marocain;et a souligné dans ce meme rapport que toutes
les violations sont le resultat de la confiscation du
droit du Peuple Sahraoui à l'autodetermination;lequel
droit qui doit etre guaranti et appliqué sans
delai.Ladite commission a appele dans son rapport
présnté au SG des Nations Unis à "La prise des mesures
urgentes pour garantir l'application complete des
engagements internationaux relatif au droits de
l'home"
Malgre les appels du HCDH,nous constatons au CODESA
que l'Etat Marocain continue encore,et d'une façon
flagrante sa repression contre les protestations
pacifiques des Sahraouis proclamant leur droit à
l'autodtermination, et ce par les campagnes
d'enlèvement et d'arrestation qui ont touché les
activistes des droits de l'home,les ex-detenus
politiques et les citoyens civils Sahraouis dont le
nombre a depassé les dizaines drant les derniers mois.
Ces victimes ont fait l'objet de diverse sortes de
torture phsychique et physique execées par les
appreils de reprissionde l'Etat du
Maroc:déshabillement,tabassage sur les differntes
parties du corps,menace mort et de viol,et l'abandon
des victimes dans les allentours des villes tard dans
la nuit...
L'Etat Marocain a poursuivit également son ancienne
politique de punition collective contre les habitants
Sahraouis et ce atravers:
-Le saccagement des maisons et destruction de leurs
meubles
-L'agression contre les femmes et ls personnes agées
-Le siege des rues,des boulevards,des quaartiers
residentiels,et ds etablissements scolaires exercé par
les éléments des differnts appareils des
renseignements marocains appuiés par la
gendarmerie,les Foces Auxillaires,l'armée et la
police.
En plus de ça l'Etat Marocain a adopté une nouvelle
politique qui vient s'ajouter au dispositif des
violations du droit de la liberté de circuler dont
fait l'objet les activistes Sahraouis des droits de
l'home et les ex-detenus politiques,laquelle politique
consiste à leur interdire l'acces au territoire du
Sahara Occidental ou encore confisquer leurs
passeports pour leur interdire de le quitter.En mème
temps il procède à l'encouragement des enfants et des
jeunes à l'immigration clandistine et à emprunter les
"pateras" de la mort pour se debarrasser d'eux vu la
situatin tres tendu et l'envergure qu'ont pris les
manifs pacifique dans la region.
Aussi,et en comdamant la poursuite par l'Etat Marocain
de sa répressioncontre les citoyens Sahraouis et les
defenseurs des droits de l'home,le CODESA faità la
communaute intrnationale pour qu'elle agisse en vu de:
#Preconiser une solution pour l'affaire du Sahara
Occidental sur la base des resolutions des UN et du
Cconseil de Securité visantl'organisation d'un
referendum libre,juste et honete pour
l'autodetermination du Peule Sahraou.
#Elargir le mandat de la MUNORSO pour qu'il englobe le
controle de la situation des droits de l'home,et la
designation d'un rapoteur international special pour
le Sahara Occidental aupres du Conseil Internatonal
des droits de l'Home
#L'ouverture du territoire aux visites des delégations
des droits de l'home,des parlementaires,des
journalistes et des syndicats ainsi que la levée de
l'embargo securitaire,militaire,et mediatique impose
sur le territoire.
#Devoiler le sort des disparus Sahraouis et liberer
tous ls détenus politiques et les activistes des
droits de l'home dans les prisons marocaines
#Lancer les libertés publics et garantir les
conditions d'un procés équitable.Interdir la
torture,l'enlèvement et la punition collective exercés
par l'Etat Marocain contres les Sahraouis desarmés.
#L'ouverture d'une enquette urgente au sujet ds
plaintes déposées par les victimes de la toture
systematique exerccée par les autoritées marocaines.
#Le jugement des tortinnaires responsable des
violations graves des droits de l'home comises par
l'Etat Marocain au Sahara Occidental,au sud du Maroc
et aux universités.
Fait à Laayoune/Sahara Occidental
Le :24/10/2006
Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'homme
CO.DE.SA.

Arrestation et torture de TAHLIL Mohamed

Lettre d’Information


El-Ayoune – Sahara Occidental
Vendredi 20 octobre 2006


Arrestation et torture de TAHLIL Mohamed


L’ex-détenu politique sahraoui et président du comité local de la section de l’ASVDH de Boujdour, TAHLIL Mohamed, a été arrêté hier, jeudi 19 octobre 2006, à 20h GMT par les forces répressives marocaine, qui l’on conduit vers leur locaux.
TAHLIL a été victime de torture atroces et a été obligé de boire un liquide de nature inconnu qui dangereusement affecté sont état d’esprit. Une personne proche de TAHLI, qui a pu le voire, affirme que ce dernier a l’air d’être drogué. D’autres sources ont affirmé que TAHLI a été transféré, aujourd’hui, vers la ville d’El-Ayoune.
Nous rappelons que toutes les villes du Sahara occidental, subissent, depuis quelques jours, une forte pression exercée par les forces répressives marocaine et une vague d’arrestation a été menée par ces forces. Plusieurs maisons ont été violées et saccagées, des dizaines de citoyens sahraouis ont été victimes de torture, d’intimidation, de provocation et d’arrestation arbitraire.

Newsletter


El-Ayoune - the Western Sahara
Friday October 20, 2006


Arrest and torture of TAHLIL Mohamed


The sahrawi political ex-prisoner and president of the local committee of the section of the ASVDH of Boujdour, TAHLIL Mohamed, was arrested yesterday, Thursday October 19, 2006, at 20h GMT by the Moroccan repressive forces, who leaded him towards their buildings.
TAHLIL was victim of atrocious torture and was obliged to drink a liquid of an unknown nature which dangerously affected his state of mind. A person close to TAHLI, who has visited him, affirmed that the latter seems to be doped. Other sources affirmed that TAHLI was transferred, today, towards El-Ayoune.
We point out that all the cities of the Western Sahara, have undergone, during the last few days, a strong pressure exerted by the Moroccan repressive forces and a wave of arrest was carried out by these forces. Several houses were violated and ransacked, tens of sahrawi citizens were victims of torture, intimidation, provocation and arbitrary arrest.

RESUMEN DE LOS ÚLTIMOS ACONTECIMIENTOS

CIUDAD OCUPADA DE EL AAIUN
El día 15 de octubre, alrededor de las once de la mañana, los agentes de las unidades de represión marroquíes, detuvieron al joven Ahmedi Mohamed Ali Hmada que fue conducido a la comisaría de la policía judicial en la que también se encontraban detenidos los siguientes jóvenes manifestantes:
· Sidi Mohamed Mahmudi
· Abdelgani Cabdana
· otros sin identificar aún.
En la tarde del mismo día, un destacamento del GUS (Grupo Urbano de Seguridad), expulsó a patadas y palos a un grupo de familiares saharauis que se encontraban frente al Tribunal Penal de El Aaiún. Este desalojo se produjo como preparativo a la presentación ante el juez de Instrucción de los presos políticos Uali Amidan y Cheij Banga. Los dos han sido presentados ante el tribunal con las manos y los pies atados a gruesas cadenas, después de haber sido torturados e interrogados durante 72 horas en el cuartel de la Gendarmería Real marroquí.
El Uali Amidan fue un ex –preso político enjuiciado de forma abusiva y condenado a un año de cárcel firme y liberado, junto a otros activistas de Derechos Humanos y militantes de la Intifada de la Independencia, el día 25 de marzo del 2006. Banga Cheij, que ha estado durante cinco meses en la cárcel de Inzegan, fue liberado a finales de septiembre por ser declarado inocente.

CIUDAD OCUPADA DE SMARA

Después de la agresión sufrida tras los graves acontecimientos ocurridos en la ciudad ocupada de Smara y, ante el despliegue policial, los militantes de la Intifada han respondido en toda ocasión con manifestaciones en los barrios Signa, Maarat y Tan Tan, en las que se han portado banderas nacionales saharauis. A raíz de estas intervenciones policiales han sido detenidos los siguientes ciudadanos saharauis:
- Amin Ali
- Saber Sidahmed
- Moumen Hamoudi
- Saadi Cheikh
En la mañana de hoy, la administración colonial marroquí, representada en la persona del Pachá, el presidente de la Sección de AG (Departamento de Asuntos Generales), el sanguinario Asousi y el Kaid Wafi, reunidos con los jefes de los distintos cuerpos de seguridad, han evaluado la explosiva situación que vive la ciudad y han determinado ajustar un plan disuasorio y amenazante contra todos los ciudadanos saharauis residentes en los barrios de la ciudad.
Alrededor de las 14 horas, se produjo una manifestación de ciudadanos saharauis en el barrio Salam, que llevaban consigo banderas nacionales saharauis y en la que, según confirman testigos oculares, se procedió a la detención de un grupo de jóvenes de los que aún no se ha logrado recibir detalles de sus nombres.
Patrullas de agentes de la policía secreta y policía urbana antidisturbios marroquí, amenazan a los transeúntes, a los dueños de los bazares y tiendas de combustible, llevando a cabo una fuerte campaña intimidatoria.

CIUDAD OCUPADA DE DAJLA
El movimiento estudiantil en la ciudad de Dajla, continuando con las celebraciones de la conmemoración del 31º aniversario de la Unidad Nacional del Pueblo Saharaui, comenzaron a destruir banderas y pintadas contra la ocupación marroquí, sobre todo en la calle Tiris, el zoco mauritano y en los barrios Akseikisat y Um Tumsi, además de la plaza Karama. El joven saharaui Hay Alal, sufrió una agresión con arma blanca por parte de unos colonos marroquíes, que le causó heridas de grave consideración.
Este mismo movimiento de estudiantes, ha enviado una carta al Frente POLISARIO, único representante del Pueblo Saharaui, felicitando al pueblo saharaui por los éxitos obtenidos en la resolución de la Cuarta Comisión de Naciones Unidas y por el favorable informe del Alto Comisionado de Derechos Humanos de naciones unidas.

TANTAN

En la misma dinámica represiva , un grupo de agentes del GUS (policía Urbana de Seguridad), detuvieron en la medianoche de ayer, a los ciudadanos siguientes:
· Bouregaa Omar (ex – preso político)
· Suliman ouaban
· Otman swueiki ( Alias Chiaijna )
Que fueron conducidos a la comisaría judicial donde se les trató de forma vejatoria durante varias horas para luego ser expulsado a la calle.

GOULIMIN

En el día de hoy, 16 de octubre de 2006, se ha celebrado el juicio a la activista Khadija Moutik, en la ciudad de Goulimin, que fue acusada, a raíz de las manifestaciones organizadas en la ciudad, por su participación en ellas y por ondear banderas nacionales saharauis.
El presidente del Tribunal leyó ante la acusada Khadija Moutik, que fue convocada a las 9.30 a.m. ante la sala del Tribunal de Primera Instancia, un informe realizado con hechos falsos fabricados por la policía marroquí, ante los cuales, la militante tomó la palabra denunciando tales acusaciones y confirmando su participación en las manifestaciones políticas, en las que exigía la libre autodeterminación del pueblo saharaui y en la que le acompañada de una bandera nacional saharaui como símbolo de rechazo a la ocupación.
Negó rotundamente el haber insultado a unos agentes del orden público, ni el haber concurrido en actos violentos. En ese intercambio verbal de acusaciones falsas, Khadija Moutik sacó una bandera escondida en su ropa y comenzó a corear eslóganes como: "Viva el Frente POLISARIO, autodeterminación ya...". En solidaridad con ella, algunos de los asistentes en la sala comenzaron a repetir sus palabras y a protestar antes de ser expulsados. Entre esos ciudadanos se encuentran:
- Touil Moustafa
- Ahrouch Mohamed
- Abdelmajid el Jarjouh
- Jamal Kreidach
- Gali Naji
Ante estos hechos, el presidente del tribunal, ordeno la suspension del juicio y señalando la próxima sesión para el día 23 de octubre.
La policía entro en un forcejeo y para arrebatar la bandera de las manos de la

ARRESTATION ET TORTURE D’UN EX-DETENU POLITIQUE

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mardi 10 octobre 2006



ARRESTATION ET TORTURE D’UN EX-DETENU POLITIQUE


Pour la sixième fois, depuis sa libération en Avril dernier, l’ex-détenu politique sahraoui, ANDOUR Lhoucine, a été arrêté, hier soir, Lundi 09 octobre 2006, devant la maison de sa famille sise au boulevard Boukraa. Il a été transporté dans un véhicule de la police, interrogé et sauvagement torturé jusqu’à une heure du martin du mardi 10 octobre 2006.
Nous rappelons que l’ex-détenu politique sahraoui, ANDOUR Lahoucine, est continuellement poursuivis de très près par la police et la maison de sa famille est quotidiennement surveillée.

Appel de détresse

Suite à la grève de la faim illimitée qu’entament les détenus politiques sahraouis, parmi eux SABBAR Brahim, depuis le 04 septembre 2006, qui a causé de nombreuses maladies détruisant, petit à petit, les corps affaiblit de ces détenus, nous, fille et fils de SABBAR Brahim, détenu d’opinion sahraoui à la terrible prison noire à El-Ayoune, ex-disparu et l’un des rescapés de l’enfer de Kalaat M’Gouna, SABBAR Afaf (12ans), SABBAR Afan (8 ans) et SABBAR Salah Eddine (4 ans), lançons un appel urgent et pressant à toutes les organisations de des droits humain et à tous les esprits vifs à agir pour sauver la vie de notre père et ses camarades et faire pression sur l’Etat du Maroc à fin de l’obliger à répondre à leurs revendications justes.
Notre père souffre d’une dégradation dangereuse de son état de santé, au niveau physique aussi bien qu’au niveau psychologique, suite à la grève de la faim et les retombées d’une dizaine d’années passée dans le pénitencier secret de Kalaat M’gouna.
La famille de SABBAR a vécu, lors de sa disparition forcée, des moments terribles. Ses parents, Hamoudi et Mahjouba, étaient victime de la torture psychologique, puisqu’ils étaient interdis de voir leur fils et d’avoir de ses nouvelles. De même, ses sœurs, Fatimatou et Aicha avaient été victime d’une chute nerveuse durant une longue période. Sa mère, durant cette triste et douloureuse expérience avaient perdu la parole et n’a repris de parler qu’à la libération de son fils en 1991.
Notre père a été aussi victime d’intimidation, de torture et d’arrestation arbitraire depuis sa libération en 1991 jusqu’à son arrestation le 17 juin 2006. il a été condamné dans un premier procès à deux ans de prison ferme. Son frère SABBAR Limam avait été, lui aussi, torturé et jeté à la sortie de la ville d’El-Ayoune, le 20 juillet 2006, pour la seule et unique raison : être le frère de SABBAR Brahim.

Fille et fils de SABBAR Brahim
Afaf, Afan et Salah Eddine SABBAR
El-Ayoune occupée - Sahara Occidental
22 septembre 2006

Distress call
Of the children of SABBAR Brahim


Following the unlimited hunger strike that the sahrawi political prisoners started, among them SABBAR Brahim, since September 04, 2006, which caused many diseases destroying, gradually, the bodies weakens of those prisoners, we, daughter and sons of SABBAR Brahim, sahrawi prisoner of opinion in the terrible black prison in El-Ayoune, ex-disappeared in Kalaat M’Gouna, SABBAR Afaf (12ans), SABBAR Afan (8 years) and SABBAR Salah Eddine (4 years), launch an urgent and pressing call to all the organizations of human rights to act to save the life of our father and his comrades and to make pressure on the State of Morocco to answer their right claims.
Our father suffers from a dangerous degradation of his health, at the physical level as well as at the psychological level, following the hunger strike and the repercussion of ten years passed in the secret penitentiary of Kalaat M’gouna.
The family of SABBAR lived, at the time of his forced disappearance, terrible moments. His parents, Hamoudi and Mahjouba, were victims of psychological torture, since they were not allowed to see their son and to have his news. In the same way, his sisters, Fatimatou and Aicha had been victim of a nervous fall during a long period. His mother, during this sad and painful experience had lost the ability to talk and began again to speak only with the release of her son in 1991.
Our father was also victim of intimidation, torture and arbitrary arrest since his release in 1991 until his arrest on June 17, 2006. He was condemned in a first lawsuit to two years of firm prison. His brother SABBAR Limam, also, had been tortured and thrown outside the city of El-Ayoune, July 20, 2006, for only and single reason: to be the brother of SABBAR Brahim.

Girl and wire of SABBAR Brahim
Afaf, Afan and Salah Eddine SABBAR
El-Ayoune occupied - the Western Sahara
September 22, 2006

Mort d’un citoyen sahraoui, victime de la machine de torture sauvage marocaine

Lettre d’information


El-Ayoune
Vendredi 22 septembre 2006


Mort d’un citoyen sahraoui, victime de la machine de torture sauvage marocaine


Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, nous a quitté, Mardi 19 septembre 2006, à El-Ayoune, après des années de souffrance à cause de la torture qu’il a subit en 1993.
Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, avait été victime d’enlèvement et de disparition forcée, le 12 novembre 1993, a Smara, par l’armée royale marocaine. Laaroussi avait été gardé à Smara pendant deux jours avant d’être rendu à la gendarmerie marocaine, à El-ayoune. Il a été alors détenu dans e célèbre centre secret de détention PC CMI où il subit toute forme de torture physique et psychologique, ce qui lui a coûté la capacité de parler et de marcher. Laaroussi, a été remis en liberté le 26 janvier 1994, paralysé et incapable de parler.
Le cas du défunt avait attiré l’attention des médias et des organisations des droits de l’homme. Ainsi, il a été visité par une commission de l’Organisation Marocaine des Droits Humains, composée de son président, BENNANI Abdelaziz, BENYOUB Chaouki et KDAMA Fatoum. L’instance équité et réconciliation l’avait également visité chez lui.
Certain médias étrangers avait filmé un documentaire sur le cas de Laaroussi Mohamed Ali Elbambari.

Newsletter

El-Ayoune
Friday September 22, 2006


Death of a Sahrawi citizen, victim of the wild Moroccan machine of torture

Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, left us, Tuesday September 19, 2006, in El-Ayoune, after years of suffering because of the torture which he has undergone in 1993.
Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, had been victim of kidnapping and of forced disappearance, November 12, 1993, in Smara, by the Moroccan royal army.
Laaroussi had been kept in Smara during two days before being returned to the Moroccan gendarmerie, in El-ayoune. He was then held in the famous secret centre of detention, PC CMI, where he has undergone all forms of physical and psychological torture, which cost him the capacity to speak and to walk.
Laaroussi was released on January 26, 1994, paralysed and incompetent of speaking. His case had drawn the attention of the media and the organizations of the human rights. Thus, he was visited by a commission of the Moroccan Organization of the Human Rights, composed of its president, BENNANI Abdelaziz, and BENYOUB Chaouki and KDAMA Fatoum. The equity and reconciliation instance had also visited him at his house.
Certain foreign media had filmed documentary on the case of Laaroussi Mohamed Ali Elbambari.

dimanche, octobre 22, 2006

Appel Urgent

Devant la dégradation de l’état de santé du détenu politique sahraoui, LOUMADI Said. Ce dernier entame une grève de la faim illimitée depuis le 07 août dernier, en prison locale d’Inezgane, Maroc, qui a été dernière sa souffrance de plusieurs maladies et douleurs, surtout à l’estomac et aux intestins. Il se trouve incapable de bouger depuis le 12 septembre 2006, incapable de parler depuis le 13 septembre 2006, incapable de communiqué avec des signes et en coma total depuis le 20 septembre 2006 à l’hôpital de la ville d’Inezgane où il continu de refuser l’injection du sérum.
Devant la persistance de la direction pénitentiaire à ignorer l’état alarmant de LOUMADI Said, et à refuser de répondre à ces revendications légitimes en tant que détenu politique.
La cellule de suivi de l’état de santé des détenus politiques sahraouis en grève de la faim illimitée dans les prisons du Maroc, composée de l’Association Sahraouie (ASVDH) et le Comité de Soutien à l’Autodétermination au Sahara Occidental (CSASO), lance un appel pressant à l’opinion publique et à toutes les organisations et institutions médiatiques et des droits humains, pour intervenir dans le but de sauver la vie du détenu politique sahraoui, LOUMADI Said, ainsi que tous les détenus politiques et défenseurs des droits humains en grève de la faim illimitée dans les prisons du Maroc, à El-Auoune, Inezgane et Ait Melloul.


Cellule de suivi
Coordinateur général
Sidi Mohamed DADACH
22 septembre 2006

Mort d’un citoyen sahraoui, victime de la machine de torture sauvage marocaine

Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, nous a quitté, Mardi 19 septembre 2006, à El-Ayoune, après des années de souffrance à cause de la torture qu’il a subit en 1993.
Laaroussi Mohamed Ali oueld Elbambari, avait été victime d’enlèvement et de disparition forcée, le 12 novembre 1993, a Smara, par l’armée royale marocaine. Laaroussi avait été gardé à Smara pendant deux jours avant d’être rendu à la gendarmerie marocaine, à El-ayoune. Il a été alors détenu dans e célèbre centre secret de détention PC CMI où il subit toute forme de torture physique et psychologique, ce qui lui a coûté la capacité de parler et de marcher. Laaroussi, a été remis en liberté le 26 janvier 1994, paralysé et incapable de parler.
Le cas du défunt avait attiré l’attention des médias et des organisations des droits de l’homme. Ainsi, il a été visité par une commission de l’Organisation Marocaine des Droits Humains, composée de son président, BENNANI Abdelaziz, BENYOUB Chaouki et KDAMA Fatoum. L’instance équité et réconciliation l’avait également visité chez lui.
Certain médias étrangers avait filmé un documentaire sur le cas de Laaroussi Mohamed Ali Elbambari.
El-Ayoune
Vendredi 22 septembre 2006
Association Sahraouie des Victimes des Violations Graves des Droits Humains Commises par l'Etat Marocain

Rapport sur les dernières nouvelles

Vendredi 22 septembre 2006

Prison Noire d’El-Ayoune – Sahara Occidental :

Alors que les défenseurs des droits de l’homme et détenus politiques sahraouis continuent de refuser d’être injecté au sérum, la dégradation de leur état de santé s’accélère, surtout qu’ils souffrent de plusieurs maladies et des douleurs aigues, après presque 20 jours de la grève de la faim illimitée, et leur corps devient de plus en plus faibles et maigres.
Ces grévistes continuent de vivre sur le rythme des pertes de conscience et leurs s’étendent en attente de la mort qui es menace à toute instant.
Le défenseur des droits humains et détenus politique sahraoui, SABBAR Brahim, souffre toujours de douleurs aigues à l’estomac et de forts maux de tête. Il bouge avec grande difficulté et son corps s’affaiblit de plus en plus.
Le détenu politique sahraoui, HADDI Ahmed Mahmoud Elkainan, souffre des douleurs aigues aux reins.
Le reste des défenseurs des droits humains et détenus politiques sahraouis dans cette terrible prison ne se trouvent pas en meilleurs situation, alors que la direction pénitentiaire continue de leur nier leurs droits légitimes et ferme toute porte de dialogue sérieux et fructifiant.

Prison Locale d’Inezgane – Maroc :

Le détenus politique sahraoui, LOUMADI Said, est toujours en coma à l’hôpital de la ville d’Inezgane et continue de refuser l’injection du sérum à chaque fois qu’il reprenne conscience.
Devant ce cas alarmant, la direction pénitentiaire continue de maintenir sa position de rejet du dialogue et refuse de répondre aux droits légitimes de ce détenu qui risque la mort à tout moment.
Des informations de l’hôpital affirmes que LOUMADI Said a été menacé de kidnapping et d’être emmené vers une autre destination inconnue s’il n’accepte pas d’arrêter la grève de la faim.

Prison Centrale de Kénitra – Maroc :

Devant le refus persistant de la direction pénitentiaire à répondre aux droits des détenus politiques sahraouis, AMIDANE Saleh et LAASSIRI Salek, ont été contraint de mettre fin à leur grève de la faim après la dégradation de leur état de santé.