dimanche, octobre 22, 2006

Rapport sur les dernières nouvelles

Vendredi 22 septembre 2006

Prison Noire d’El-Ayoune – Sahara Occidental :

Alors que les défenseurs des droits de l’homme et détenus politiques sahraouis continuent de refuser d’être injecté au sérum, la dégradation de leur état de santé s’accélère, surtout qu’ils souffrent de plusieurs maladies et des douleurs aigues, après presque 20 jours de la grève de la faim illimitée, et leur corps devient de plus en plus faibles et maigres.
Ces grévistes continuent de vivre sur le rythme des pertes de conscience et leurs s’étendent en attente de la mort qui es menace à toute instant.
Le défenseur des droits humains et détenus politique sahraoui, SABBAR Brahim, souffre toujours de douleurs aigues à l’estomac et de forts maux de tête. Il bouge avec grande difficulté et son corps s’affaiblit de plus en plus.
Le détenu politique sahraoui, HADDI Ahmed Mahmoud Elkainan, souffre des douleurs aigues aux reins.
Le reste des défenseurs des droits humains et détenus politiques sahraouis dans cette terrible prison ne se trouvent pas en meilleurs situation, alors que la direction pénitentiaire continue de leur nier leurs droits légitimes et ferme toute porte de dialogue sérieux et fructifiant.

Prison Locale d’Inezgane – Maroc :

Le détenus politique sahraoui, LOUMADI Said, est toujours en coma à l’hôpital de la ville d’Inezgane et continue de refuser l’injection du sérum à chaque fois qu’il reprenne conscience.
Devant ce cas alarmant, la direction pénitentiaire continue de maintenir sa position de rejet du dialogue et refuse de répondre aux droits légitimes de ce détenu qui risque la mort à tout moment.
Des informations de l’hôpital affirmes que LOUMADI Said a été menacé de kidnapping et d’être emmené vers une autre destination inconnue s’il n’accepte pas d’arrêter la grève de la faim.

Prison Centrale de Kénitra – Maroc :

Devant le refus persistant de la direction pénitentiaire à répondre aux droits des détenus politiques sahraouis, AMIDANE Saleh et LAASSIRI Salek, ont été contraint de mettre fin à leur grève de la faim après la dégradation de leur état de santé.