lundi, novembre 02, 2009

Communiqué ASVDH




El-Aiun 17/10 /2009
Sahara occidental

Communique
Les autorités marocaines a arrêtés vers 14h Gmt le jeudi 08 octobre un groupe de militants sahraouis des droits de l'homme lors de leur arrivée à bord d'un avion qui viennes de l'aéroport Houari Boumediene d' Alger à l'aéroport Mohammed V de Casablanca / Maroc, qui était attaché encerclé par les forces de sécurité marocaine, où ils ont trouvé a leurs attente trois voitures de sécurité stationnés sur la piste du même aéroport dans lequel ils ont voyagés la fin du mois précédent le 23/09/2009 vers le même pays et précisément vers Oran. Cette arrestation qui a était supervisé par plusieurs agences de sécurité, dirigé par le service de renseignement militaire, appelée : la DGED. Selon nos sources nous avons appris leur statut de présence chez l'équipe nationale de la police judiciaire à Casablanca. Et les sept militants des droits de l'homme détenus sont :

- Mr Brahim Dahane: Président de l'Association sahraouie des victimes de graves violations des droits humains commises par l'État marocain ASVDH.
- Mme Degja Lachgar: Membre du Bureau exécutif du même association et Membre du Comité pour la défense de l'autodétermination pour le Sahara occidental CODAPSO.
- Mr Nassiri Hammadi: Membre du conseil de coordination du meme association, le secrétaire général du Comité Sahraoui pour la défense des droits de l'homme à Smara au Sahara occidental,, et Le directeur général de l'Association marocaine des droits de l'homme à Smara
- Mr Ali Salem Tamek: Vice-président de collectif des défenseurs sahraouis. De Droits de l’homme
- Mr Rashid Sghayer: Membre du Comité contre la torture à Dakhla - Sahara occidental
- Mr ETAROUZI Yahdih: Activiste des droit de l'homme et memebre de l'association marocaine des droits de l'homme a Laayoune.
- Mr Saleh Baihy: Membre du rassemblement des défenseurs sahraouis.

Nous déclarons que les autorités marocaines ont utilisé tous les moyens habituels de la propagande, afin de criminaliser ces activistes sahraouis d des droits de l'homme, dans une part avec la haute trahison, et d'autre part la collaboration avec les étrangers et c'est le fais qui menace les intérêts du pays –Maroc-

Dans le même cadre de cette campagne féroce prépayé, et dans la semaine avant l'arrestation de ces sept activistes, cinq autres militants des droits humains sahraouis ont été dépouillés de tous leurs documents et leurs téléphones mobiles au point du contrôle vers la Mauritanie et qui ont étaient détenu pendant dix heures avec interrogatoire et un mauvais traitements et à l'expulsion d'un retour à la ville de Dakhla malgré qu'ils ont tous les pièces légales et nécessaire pour ce voyage.

Et ces militants sont:

- Mr Sidi Mohamed Deddach: Président du Comité pour la défense du droit de l'autodétermination pour le peuple du Sahara Occidental CODAPSO, vainqueur du prime norvégienne Rafto 2002. Et la prime des droits de l'homme a Badajos en Espagne 2009.
- Mr Ahmed Sbaii: Membre du Conseil de coordination de l'Association sahraouie et le secrétaire général de l'Association sahraouie pour la protection des détenus.
- Mr Larbi Messaoud: Membre du rassemblement des défenseurs sahraouis.
- Mr Ibrahim-Ismaili: Membre du même rassemblement.
- Atiku Baray: Membre du Comité contre la torture à Dakhla au Sahara occidental.

Comme nous signalons que la militante des droits de l'homme Mlle Sultana Jaya membre de l'Association sahraouie, vice-président du Forum de l'avenir de la femme au sahara a été arrêter dans l'aéroport de Laayoune pendant quatre heure comme il a été signalée samedi: 11/10/2009, après qu'il voulait voyagé pour l'Espagne afin de suivre son traitement médical. Comme ils ont confisqués tous ses documents, y compris sa carte de séjour espagnol. Ainsi qu'elle a été victime d'insultes et de mauvais traitements durant l'arrestation.

Et nous tenant au public que durant cette semaine les militants sahraouis des droits de l'homme ont subis un grand harcèlement, des menaces. Et c'est le cas d'une grand nombre citoyens sahraouis dans la vile de Laayoune comme le cas Izana Amidane, Ghlana Berhah, et Salha boutenguiza, et d'autres dans les villes de Boujdour et Smara.

Et pour vous mettre sur l'image nous signalons que ceux qui sont privés de leur droit à la liberté de mouvement sont des anciennes victimes: certaines qui ont souffert de la détention de nombreuses fois comme le cas du Mr Deddach Sidi Mohamed Dadach qui a passé 23 ans entre les ailes de la peine et l'emprisonnement à vie. Et aussi des victimes d'enlèvements et de disparitions forcées comme le cas du Mme Degja Lachgar qui a été détourné en 1980 de la ville de Laayoune et aussi Mr Dahane Brahim qui a été kidnappé en 1987 de ne pas libérés en 1991. L'Association sahraouie, qui a enregistré les violations persistantes des droits de l'homme et presque quotidiennement contre les citoyens sahraouis, dans la torture, les menaces et les arrestations, les agressions et les raids des maisons et la prévention des libertés publiques et le droit à la liberté d'expression et de réunion et de manifestation pacifique et le droit à l'intégrité physique et le droit à la sécurité, la stabilité et le mouvement, est préoccupé par l'escalade du rythme des infractions ainsi l'aggravation de la situation et la souffrance humaine des citoyens Sahraouis.

Comme nous condamnons cette politique répressive commise par les autorités marocaines, et nous demandons une exigence de l'Organisation des Nations Unies et de son intervention afin de: - La libération de ces militants sahraouis des droits de l'homme qu'ils mènes une enquêter sur ce qu'ils vont subirent de torture ou de mauvais traitements dans les commissariats marocaines. - La libération des prisonniers politiques sahraouis, dont il existe des dizaines dans les prisons marocaines et certains d'entre eux sont engagés dans une grève de faim pendant sept jours de prison de Laayoune / Sahara Occidental comme une protestation contre la détérioration des conditions auxquelles ils sont confrontés.

En conclusion, l'ASVDH invite toutes les organisations internationales des droits de l'homme de réagir pour mettre un terme aux souffrances du peuple sahraoui qui s'est prolongée pendant plus de trois décennies et qu'elle mes toute responsabilité sur l'Organisation des Nations Unies et le Conseil de sécurité et son Secrétaire général et l'Envoyé personnel de ce qui pourrait être interprété comme une aggravation constante de la situation dans la région.

Laayoune - Sahara occidental
Le : 11/10/2009 Bureau exécutif de l'Association sahraouie
El-Aiun Western Sahara
19/10 / 2009



Statement

On October 8, seven Sahrawi human rights defenders were arrested by Moroccan police at the Mohamed V Airport in Casablanca, Morocco and remain in an undisclosed location The human rights defenders were returning from a trip to Algeria where they visited Sahrawi refugee camps in the southwest of the country. The group was arrested immediately after their plane landed at the airport in Casablanca. This arrest, which was overseen by several security agencies, led by the military intelligence service, called: DGED. According to our sources, , we notify their presence status in the national team of the judicial police in Casablanca.
the seven Human Rights activists held are:
- Mr Brahim Dahane: President of the Saharawi Association of victims of grave human rights violations committed by the Moroccan State ASVDH.
- Ms. Degja Lachgar: Member of the Executive Office of the same association and member of the Committee for defense self-determination for Western Sahara CODAPSO.
- Mr Hammadi Nassiri: Member of Coordination Council of the same association, the secretary general of the Saharawi Committee to Defende Human Rights in Smara - Western Sahara, president of the Moroccan Association of human rights in Smara AMDH
- Mr. Ali Salem Tamek: Vice-President of the Sahrawi Human Rights collective
- Mr Rashid Sghaier: Member of the Committee against Torture in Dakhla - Western Sahara
- Mr ETAROUZI Yahdih: human right Activist member of the AMDH
- Mr Saleh Baihy: Membre of CODESA
We declare that the Moroccan authorities have used all the usual means of propaganda to criminalize those Sahrawi human rights activists in one hand by high treason, and other by collaboration with foreigners or touching the foreign interests of state.
In the same context of this Prepaid fierce campaign a week before the arrest of seven activists ,five other Sahrawi human rights activists have been stripped of all their documents and mobile phones at the point of control with Mauritania and who were detained for ten hours with interrogation and ill treatment although they have all necessary legal documents for this trip.
These activists are:
- Mr Sidi Mohamed Deddach: Chairman of the Committee to defend the right of self-determination for the people of Western Sahara CODAPSO, winner of the Norwegian Rafto award in 2002. And winner of Human Rights award of Badajoz in Spain in 2009.
- Mr Ahmed Sbai: Member of the Coordination Council of the Sahrawi Association and Secretary General of the Sahrawi league to protect the Prisoners.
- Mr Larbi Messaoud member of the CODESA
- Mr Ibrahim-Ismaili member of the CODESA
- Atiku Baray: Member of the Committee against Torture in Dakhla -Western Sahara.

As we point out that the human rights activist Sultana khaya Member of the Sahrawi Association, vice president of Future Forum for Sahraoui Women has been arrested in Laayoune airport for four hours as it was reported Saturday 11/10/2009, after she tried to travel to Spain to monitor her medical treatment. as they confiscated all her documents, including her Spanish residence card. Thus she has been subjected to insults and ill treatment during arrest.
we are taking to the public that during this week Sahrawi activists of human rights have harassed ,threaded . In El-Aaiun, Smara and Boujdour several Sahrawi citizens were subjected to ill treatment such as the case of Izana Amidane, Ghlana Berhah and boutenguiza Salha,
to put you at the real picture we note that those deprived of their right to freedom of movement are former victims: Some who have suffered detention many times as the case of Mr Sidi Mohamed Deddach DADACH who spent 23 years in the wings of the penalty and life imprisonment.
abductions and enforced disappearances victims as the case of Ms. Degja Lachgar which was kidnapped in 1980 in the city of El-Aaiun and also Mr Brahim Dahane who was kidnapped in 1987 and not released till 1991.
The ASVDH, who recorded the persistent violations of human rights and almost daily against the Sahrawi citizens, in torture, threats and arrests, assaults , raids of houses , the prevention of public freedoms ,the right to freedom of expression , assembly and peaceful demonstration , the right to physical integrity , the right security, stability and movement, is concerned about the escalating of offenses rate which predicts worsening of the situation and push to the instability and the continuing the saharouis suffering
As we condemn this repressive policy committed by the Moroccan authorities, and we call a requirement of the United Nations and its response to:.
· The release of these human rights activists And investigate what may have been subjected torture or ill-treatment in police stations.
· The release of the Sahrawi political prisoners, of whom there are dozens in the Moroccan prisons and some of them are engaged in an open hunger strike for 12 days in the black prison as a protest against the deteriorating conditions witch they face.
Finally the ASVDH calls on all international human rights organizations working to put an end to the suffering of the Saharawi people, which dragged on for more than three decades , assume the responsibility to the United Nations , Security Council and its Secretary-General and his personal envoy, Continually worsening situation in the territory.

El-Aiun - Western Sahara
11/10/2009
Exécutif office

appel urgent


Appel Urgent

El-Aiun 17/10 /2009
Sahara occidental

L’ASVDH lance un appel urgent à tous nos ami(e)s les avocats observateurs internationaux à travers le monde pour qu’ils(elles) assistent au jugement des 07 défenseurs des droits de l’homme :Brahim Dahanne Dagja Lachgar ,Ahmed Nassiri,Ali Salem Tamek Saleh Lebaihi et Rachid Sghaer qui ont été arrêté le 08/10/2009 à la suite de leurs visite au campement des refugies Sahraouis, qui croupissent à la prison de Sale à coté du Rabat.
Nous vous invitons et a travers vous, tous vos réseaux pour qu’un plus grand nombre des avocats puissent assister à cet audience.
Nous vous communiquerons la date au moment opportun. Nous comptons toujours sur votre soutien


Urgent Appeal

El-Aiun Western Sahara
19/10 / 2009

The ASVDH launches an urgent appeal to all our friends international lawyers and observers around the world to (them) attend the trial of the 07 defenders of human rights Brahim Dahanne Dagja Lachgar ,Ahmed Nassiri,Ali Salem Tamek Saleh Lebaihi Tarouzi Yahdih et Rachid Sghaer who were arrested on 08.10.2009 after their visit to the Saharawi refugee camps languishing in Sale central prison nearly of Rabat.
We invite you and through you, all your networks so that a greater number of lawyers may attend this trial
We will give you the date when appropriate. We still count on your support

Communiqué du CA de l'ASDHOM relatif aux dernières violations des droits de l'Homme au Maroc


Communiqué du CA de l'ASDHOM relatif aux dernières violations des droits de l'Homme au Maroc

Le Conseil d’Administration de l’ASDHOM, réuni dimanche 18 octobre 2009, tient à exprimer ses inquiétudes quant à l’évolution de la situation des droits de l’Homme au Maroc.En effet, tous les indicateurs sont au rouge. Les libertés des citoyens, des militants associatifs et politiques, des journalistes et des défenseurs des droits de l’Homme sont mises à mal dès lors qu’il y a « franchissement » des sacro-saintes « lignes rouges » : la monarchie, la religion et l’intégrité territoriale.
D’abord la famille royale :
Trois journalistes, viennent d’être poursuivis et condamnés le jeudi 15 octobre à la prison ferme pour avoir traité de la santé du Roi. Le journaliste Idriss CHAHTANE, directeur de l’hebdomadaire AL-Michaâl, a été condamné à un an de prison ferme et à 10 000 Dirhams d’amende, avec mandat d’arrêt et d’incarcération immédiate. Ses deux autres collègues, Rachid MHAMDI et Mustapha HIRANE, ont été condamnés à 3 mois de prison ferme et à 5000 Dirhams d’amende.
Deux autres journalistes comparaîtront ce vendredi 23 octobre devant le tribunal pour « manquement au respect dû à la famille royale ». Le directeur du quotidien Akhbar Al-Youm, Taoufiq BOUACHRINE, et le dessinateur-caricaturiste, Khalid GUEDDAR, sont poursuivis pour un dessin publié représentant le prince Moulay Ismaïl. En dépit des excuses, présentées par le directeur de la publication qui affirme ne pas vouloir offenser et porter atteinte à l’image du prince, les 2 journalistes encourent jusqu’à 5 ans d’emprisonnement !Rappelons que le siège du journal incriminé a été mis sous scellé par le ministère de l’intérieur qui a également interdit la parution d’Akhbar Al-Youm depuis plus de vingt jours maintenant en mettant les soixante-quatre salariés sur le carreau et ce, sans aucune décision juridique.
Il y a peu de temps encore, le 1er août, le même ministère de l’intérieur a ordonné en toute illégalité la saisie de 100 000 numéros exemplaires des magazines TelQuel et de Nichane qui étaient encore sous presse et de leur destruction dans les locaux même de leur imprimerie. Les autorités marocaines leur reprochent d’avoir voulu publier, en partenariat avec le journal français le Monde un sondage d’opinion sur le bilan des dix ans de règne du Roi. Le numéro du quotidien le Monde a été interdit de vente au Maroc. Même si les résultats de ce sondage peuvent s’apparenter à un plébiscite, pour le porte parole du gouvernement : « la monarchie ne pouvait être sujette à débat, même dans le cadre d’un sondage » !
Ensuite la religion :
Au cours du mois de ramadan, six jeunes se revendiquant du mouvement MALI (Mouvement Alternatif pour les Libertés Individuelles) ont été interpellés pour le seul fait d’avoir exprimé leur souhait via le site de Facebook de se retrouver le dimanche 13 septembre 2009 avec d’autres membres du mouvement, dans une forêt aux environs de Mohammedia, pour un pique-nique. Par cette volonté de rompre le jeûne de ramadan, collectivement et dans un endroit isolé, ces jeunes citoyens ont voulu protester contre un article du code pénal (Article 222) qui punit la non observation du jeûne de ramadan au Maroc : « Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps de ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l'emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 12 à 120 dirhams.»Zineb el-Rhazoui et Ibtissame Lachgar, deux animatrices et cofondatrices du MALI, sont toujours persécutées. Elles ont été empêchées de quitter le territoire, pour assister à une rencontre-débat à Paris sur la liberté de conscience et de culte, organisée le 19 octobre par l’association «Manifeste des Libertés. » La mesure d’interdiction de sortie du territoire a été prise par le procureur et signifiée à leur avocat, Mr Jamai, alors qu’aucune poursuite judiciaire n’a été engagée contre les deux jeunes femmes et les autres membres du mouvement, interpellés le 13 septembre 2009…
Enfin l’intégrité territoriale :
Sept militants originaires du Sahara, connus pour leur engagement politique et associatif ont été interpellés le 8 octobre à leur descente d’avion à Casablanca. Ces Sahraouis revenaient d’un voyage en Algérie où ils ont effectué une visite aux camps de Tindouf. Après une semaine d’interrogatoires par les services secrets, ils ont été déférés devant le tribunal militaire de Rabat… !Les autorités reprochent aux 7 protagonistes (Ali Salem Tamek, Brahim Dahane, Ahmad Anasiri, Dagja Lachgar, Yahdih Ettarrouzi, Rachid Sghayar et Saleh Lebayhi) leurs opinions et positions politiques quant à la question du Sahara alors que leur engagement n’est un secret pour personne. Certains sont d‘anciens détenus politiques, ou victimes de la disparition forcée durant les années de plomb et/ou membres d’associations de défense des droits humains.Ces arrestations bafouent un droit élémentaire, celui de la liberté d’opinion et d’expression, tel qu’il est consacré par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, notamment dans son Article 19 qui stipule: « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.»Un tribunal militaire et la résurgence d’une campagne de lynchage médiatique font craindre le pire pour les 7 arrêtés en particulier et pour les libertés en général.
Vigilance
Le vent qui souffle sur notre pays, ravive nos douleurs et des réminiscences nous rappellent un passé, non lointain, où l’arbitraire s’est imposé au fil des jours et des mois pour déboucher sur les sinistres « années de plomb.»L’ASDHOM, fondée il y a 25 ans (1984) pour apporter sa contribution à la lutte des démocrates marocains, des familles des détenus politiques et des disparus et pour dénoncer la répression qui sévissait au Maroc, ne peut qu’exprimer :- ses inquiétudes sur le déferlement des atteintes aux droits élémentaires des citoyens marocains;- ses exigences pour que les autorités marocaines rompent avec cette logique sécuritaire et répressive basée sur des prétendues « lignes rouges » ;L’ASDHOM, appelle l’ensemble des défenseurs des droits de l’Homme et leurs organisations à une plus grande vigilance et à une unité d’action pour faire valoir notre volonté commune : Pour un véritable Etat de droit.

Paris, le 21 octobre 2009

Le Conseil d’Administration de l’ASDHOM

Visite du ministre de l'intérieur marocain, Chakib Benmoussa

CODAPSO


Laâyoune 16/10 /2009
Sahara occidental

Le ministre de l'Intérieur marocain est arrivé à la ville de Laâyoune occupée pour une visite imprévu où il a tenu une réunion sur les questions de sécurité dans la ville surtout après les événements dernières. La réunion a été assistée par le secrétaire Marocain d'Etat à l'intérieur Mr Saad Hassar ainsi des hauts responsables sécuritaires marocains et aussi des généraux dans de diverses branches sécuritaires. La ville a connu une intense et un grand siége sécurité qui c'est caractériser dans des patrouilles qui sérculaient en tenues civile et qui enquêtaient sur les causes des dernières interventions brutales que la ville de Laâyoune a connus réçament.
Dans le même contexte d'autres prisonniers politiques Sahraouis emprisonnés dans la prison noir (lakhal) continuent leur grève ouverte de faim à composition non limitée pendant 12 en raison des procédures strictes imposées par les autorités de l'occupation marocaine.
Comme nous demandons autant que comité pour la défense du droit de l'autodétermination pour le peuple du Sahara Occidental:
Quelles sont les vraies raisons de cette visite imprévue?
Que veux dire le Maroc et son gouvernement à travers cette visite?
Et que veux le Maroc en juste, spécialement après les dernières violations des droits de l'homme? Et surtout celle de la détentions des sept activistes sahraouis? Et le siège exercer contre les autres dans les villes du Sahara Occidental?

Comité pour la défense du droit à l'autodétermination pour le peuple du Sahara Occidental. CODAPSO.

(www.codapso.org)