mercredi, octobre 12, 2011

Déclaration commune pour un Sahara Occidental sans violence ni racisme




Depuis le 25 septembre 2011, des civils sahraouis de Dakhla, dans le sud du Sahara Occidental, font face à des attaques brutales et agressives de la part milices armées marocaines. Ces milices résident dans le quartier Alwakala, qui abrite des milliers de colons marocains déplacés en 1991 sur le territoire par le gouvernement marocain, pour participer au référendum prévu au Sahara Occidental.
Les vies et sécurités des Sahraouis sont en danger, leurs maisons sont pillées, les biens privés et publics sont incendiés. L'armée a bouclé la route de Dakhla, interdisant ainsi l’accès aux médias afin de cacher les crimes graves commis en toute impunité par les services de renseignement marocains et des milices armées. Cette agression marocaine est enracinée dans le racisme, et a fait des dizaines de victimes parmi les Sahraouis, qui tentent de fuir la ville pour sauver leurs vies.
Nous notons que les autorités marocaines tentent de déformer les faits sur les événements à Dakhla, comme ils l'ont fait plusieurs fois auparavant quand ils ont soutenu les milices armées dans l’attaque des civils sahraouis et de leurs propriétés.
En conséquence, les ONG et les comités des droits humains sahraouis souhaitent déclarer ce qui suit :
1. Notre solidarité absolue avec les victimes des attaques vicieuses perpétrées par les milices armées du quartier Alwakala et les agents des autorités marocaines.
2. Nos condoléances et solidarité avec la famille du Sahraoui martyr Maichane Mohamad Lamine Echiaa Lahbib, qui a été enlevé et battu à mort par les milices.
3. Nous dénonçons les tentatives des autorités marocaines de fausser la réalité de Dakhla, et de désinformer l'opinion publique locale et internationale.
4. Nous exigeons du gouvernement marocain qu’il autorise une enquête indépendante et équitable dans tous les crimes commis par les milices armées et les services secrets marocains contre les civils sahraouis de Dakhla, au Sahara Occidental.
5. Nous appelons les Nations Unies et le Conseil des droits humains de l’ONU à envoyer une commission internationale pour enquêter sur les violations graves des droits de l'homme commises par des milices armées soutenues par les autorités marocaines.
6. Nous demandons à la communauté internationale, les ONGs et toutes les voix libres d'agir immédiatement pour :
a. Le respect des droits humains au Sahara Occidental, y compris le droit du peuple Sahraoui à l'autodétermination. Le conflit politique et le siège militaire du Sahara Occidental doit prendre fin.
b. Oeuvrer pour l’établissement d’un mécanisme de l'ONU destiné à protéger les civils sahraouis et rapporter la situation des droits humains au Sahara Occidental.
c. Une réponse immédiate à la demande des civils sahraouis d'être protégé contre la violence des milices armées et la répression par l'Etat marocain.
d. Augmenter la pression sur le Maroc pour :
- Clarifier le sort des sahraouis enlevés;
- Libérer tous les prisonniers politiques sahraouis;
- Garantir les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels du peuple Sahraoui, y compris le droit à bénéficier de ses ressources naturelles.
Sahara Occidental, le 29 Septembre 2011
Signé par:
- La famille du Sahraoui martyr Said Dambar
- CODESA (Collectif des Défenseurs Sahraouis des Droits de l’Homme)
- ASVDH (Association Sahraouie des Victimes des violations graves des Droits Humains commises par l'Etat marocain)
- CODAPSO (Comité de défense de l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental)
- CSPRON (Comité Sahraoui pour Plan de Règlement de l'ONU et la protection des ressources naturelles du Sahara Occidental)
- Comité de coordination de Gdeim Izik
- Les victimes de disparitions forcées et les arrestations arbitraires au Sahara Occidental
- Comité de défense de la liberté publique et des Droits de l'Homme au Sahara Occidental
- Association sahraouie de protection des prisonniers
- Comité sahraoui pour la défense des droits de l'homme à Smara, au Sahara Occidental
- Organisation contre la torture de Dakhla, au Sahara Occidental
- Comité des familles des Sahraouis kidnappés
- FAFESA, le Forum de l'Avenir de la Femme Sahraouie au Sahara Occidental
- Comité des mères des 15 Sahraouis disparus
- Comité Sahraoui pour la Défense des Droits de l'Homme à Glaimim, Sud du Maroc
- Soleil Libre pour la Protection des Défenseurs des Droits de l'Homme au Sahara Occidental
- Centre Sahraoui de Protection de la Mémoire Collective


Traduction APSO

lundi, octobre 03, 2011

Joint-Statement for a Western Sahara without violence and racism



Since 25 September 2011, the Saharawi civilians in Dakhla, in the south of Western Sahara, are facing brutal and oppressive attacks from Moroccan armed militias. These militias reside in the Alwakala neighbourhood, home to thousands of Moroccan settlers brought into the territory by the Moroccan government in 1991, to participate in the envisioned referendum in Western Sahara.

Saharawis’ lives and physical safety are in danger, their houses raided and private and public property burned. The military has sealed off the road to Dakhla, thereby obstructing the media so as to hide the serious crimes committed with impunity by the Moroccan intelligence services and armed militias. This Moroccan aggression is rooted in racism, and has resulted in dozens of casualties among Saharawi, who try to flee the city to save their lives.

We note that the Moroccan authorities attempt to distort the facts on the events in Dakhla, as they have done many times before when they’ve also supported the armed militias in attacking Saharawi civilians and their properties.

As a result, the Saharawi Human rights NGOs and committees wish to announce the following;

1. Our absolute solidarity with the victims of the vicious attacks perpetrated by the armed militias of the Alwakala neighbourhood and the Moroccan authorities’ agents.
2. Our condolences and solidarity with the family of the Saharawi martyr Maichane Mohamad Lamine Lahbib Echiaa, who has been kidnapped and beaten to death by the militias.
3. We denounce the Moroccan authorities’ attempts to distort the Dakhla reality, and misinform the local and international public opinion.
4. We demand the Moroccan government allow an independent and fair investigation into all the crimes committed by the armed militias and the Moroccan secret services against the Saharawi civilians in Dakhla, Western Sahara.
5. We call on the United Nations and the UN Human Rights Council to send an international commission to investigate the grave violations of human rights committed by armed militias backed by the Moroccan authorities.
6. We ask the international community, NGOs and all the free voices to immediately act on the following:
a. Respect for human rights in Western Sahara, including the Saharawi people’s right to self-determination. The political conflict and the military siege in Western Sahara must end.
b. Work for a UN mechanism to protect the Saharawi civilians and report on the human rights situation in Western Sahara.
c. An immediate response to the Saharawi civilians’ demand to be protected from the armed militias and repression by the Moroccan state.
d. Increase pressure on Morocco to:
i. Clarify the fate of abducted Saharawi;
ii. Release all the Saharawi political prisoners;
iii. Guarantee civil, political, economical, social and cultural rights for the Saharawi people, including their right to benefit from their natural resources.

Western Sahara, 29 September 2011


Signed by:

- Family of the Saharawi martyr Said Dambar
- CODESA (Collective of Saharawi Human Rights Defender)
- ASVDH (Saharawi association for victims of grave human rights violations committed by the Moroccan state)
- CODAPSO (Saharawi Committee to Defend Self-Determination)
- CSPRON (Saharawi committee for UN settlement plan and protection of Natural resources of Western Sahara)
- Gdeim Izik Coordination Committee
- Victims of enforced disappearance and arbitrary arrest in the Sahara
- Committee to Defend the Public Freedom and Human Rights in Western Sahara
- Saharawi Association to Protect Prisoners
- Saharawi Committee for the Defence of Human Rights in Smara, Western Sahara
- Organisation against Torture in Dakhla, Western Sahara
- Committee of families of kidnapped Saharawi
- FAFESA, Forum of Future for the Saharawi Women in Western Sahara
- Committee of Mothers of the 15 disappeared Saharawi
- Saharawi Committee for the Defence of Human Rights in Glaimim, South Morocco
- Freedom Sun for the Protection of Human Rights Defenders in Western Sahara
- Saharawi Centre to Protect the Collective Memory

ORGANIZACIÓN SAHARAUI CONTRA LA TORTURA EN DAJLA (SAHARA OCCIDENTAL

REPRESION Y TERROR EN LA CIUDAD OCUPADA DE DAJLA

Tras el bloqueo total sobre la ciudad ocupada de Dajla (Sahara Occidental), ejercido por las unidades del ejército y las fuerzas de intervención rápida de la policía marroquí, comenzaron con las detenciones masivas contra el pueblo saharaui, irrumpiendo en sus casas, rompiendo puertas, ventanas y enseres. La población saharaui en Dajla se encuentra totalmente atemorizada. Las fuerzas de seguridad destrozan a su paso todos los bienes de los saharauis, llegando incluso a romper los cristales a los vehículos estacionados en la calle.

Durante la mañana de hoy, han continuado llegando a la ciudad, que se encuentra sitiada, refuerzos policiales y militares.

El nivel de represión ha ido en aumento, ya no sólo por la cantidad de unidades militares y policiales existentes, así como por los controles ejercidos a la entrada de la ciudad y en los barrios donde habita la población saharaui, sino por el continuo acoso y malos tratos tanto físicos como verbales que sufren de manera indiscriminada por parte las unidades de policía y el ejercito marroquí. Dos mujeres saharauis la Sra. Almastahya Buchaab y la Sra. Teslam Lafdil, han sido salvajemente golpeadas por el ejército en presencia de sus hijos.

Hoy miércoles por la mañana, las familias de los ciudadanos saharauis detenidos que se concentraron en protesta solicitando la liberación de sus familiares en el Barrio de Um Tounsi, fueron disueltas violentamente por la policía. Los familiares muestran su temor cuando acuden a preguntar por sus hijos en comisaría, ya que algunos fueron torturados, como es el caso de Sra. Hadi Ahmed Salem, cuando se interesó por el estado de su hijo Sidati Haybab Al Makhtar, resultando gravemente herida, así como otras mujeres.

Durante la tarde de ayer prosiguió la escalada de detenciones masivas en la ciudad, aunque en estos momentos, dado el estado de sitio y terror, es difícil obtener información, la policía marroquí maneja una lista de búsqueda y captura de saharauis. Poco a poco se van conociendo los nombres de los más de 45 jóvenes detenidos en la ciudad ocupada de Dajla.

Los detenidos cuyos nombres conocemos son:

1) Hafdalla Rrwabah Bayja
2) Sidati Haybab Al Makhtar
3) Dycha Ahnan
4) Omar Semlali
5) Mohamed Adowa Akmach
6) Daya Al Hanouni
7) Habad Busayf
8) Atrayfis Mohamed
9) Lafdal Mohamed Maylida
10) Hamido Musa Hamiya
11) Yahdih Busayf
12) Mohamed Sakrani Dayda
13) Kasem musa
14) Lamhaba Aabidi
15) Barekalla Mohamed
16) Mohamed Laabayd

Antes los graves hechos sucedidos hacemos un llamamiento a la comunidad internacional y solicitamos protección ante esta represión que están padeciendo los ciudadanos y ciudadanas saharauis en el Sahara Ocupado, en manos de la impunidad de las fuerzas represoras marroquíes.

28 de Septiembre de 2011
Elmami Amar Salem, Presidente de la Organización saharaui contra la tortura en dajla Sahara Occidental

L’état marocain terrorise les sahraouis a la ville de Dakhla /Sahara Occidental

02/10/2011 Lettre d'information ASVDH


El Aaiun Sahara Occidental

dimanche 2 octobre 2011
Les forces publics marocaines continuent a terrorisé la population sahraouie a la ville de Dakhla/ Sahara occidental.Et selon l’un des membres de l’Association sahraouie (ASVDH) a Dakhla, a déclaré avoir vu des patrouilles composé de voitures de police et autres appartenant aux forces armées royales armées des mitrailleuses ont attaqué les maisons des sahraouis et ontarrêté de l’intérieur des jeunes sahraouis après avoir été battus et humiliés.Le même membre de l’ASVDH a ajouté que les arrestations se poursuivent à l’instant,La police a arrêté aujourd’hui dimanche, 02/10/2011 l’activiste sahraoui Aoulad Cheikh Elmahjoub et également a été arrêté la nuit dernière le militant Sahraoui Mohamed Manolo.D’autre part le procureur du roi prés au tribunal de première instance de Dakhla a libérél’enfant mineur Omar Sidi Graimich, et a transféré un groupe de jeunes sahraouisa la prison administrative de Dakhla il comprend :1. Haya Lador2. Soueilem Chaibani Najem3. Adiyal Hannon4. Almoubarek Laghdaf5. Mohamed Kmache6 Rouibah Hafdalla7. Mohamed Salem Rgaibi8. Cheikh Kraifa9. Aziz Hafid10. Sid Laaraibi11. Mohamed Sidi Graimiche12. Mansour Sidi Graimich13. Mansour Bhai14. Hamdi Sidi GraimichDe meme Sidati Dlaimi a été transféré a la ville de El Aaiun pour comparaitre devant leprocureur général prés la Cour d’appel.

les attaques continuent contre les sahraouis a la ville de Dakhla Sahara occidental

27/09/2011 Lettre d'information ASVDH
El Aaiun Sahara OccidentalMardi 27/09/2011
Les propriétés et biens des sahraouis a la ville du Dakhla au Sahara occidentalsont toujours sous l’attaque des colons marocains, et ont déclaré à l’Association sahraouie (ASVDH) des témoins de la ville, qu’après avoir mit de feu dans les maisons des sahraouis hier ces mêmes colons marocains ont mit du feu aujourd’hui dans une école privée appartenant a un citoyen sahraoui.Pourtant les protestations ont continué jusqu’au moment dans la ville contre de telles attaques, qui affectent des Sahraouis dans leurs biens et leur vie, et comme une forme de protestation, un groupe de sahraouis s’est dirigé en exode vers le nord de la ville, mais ils ont été interdit par les autorités marocaines de quitter la ville et leur a dit que la sortie et l’entrée de la ville ont été interdites dès maintenant.L’association sahraouie (ASVDH) a pu confirmer l’arrivée a l’Hôpital civil de El Aaiun Sahara occidental de certains cas graves des victimes des affrontements de Dakhla parmi eux le jeune sahraoui Hamma ould sidati ould Elmehdi.Le Willa de Dakhla qui représente le gouvernement marocain a émis aujourd’hui une déclarions travers laquelle a déclaré la mort de sept personne depuis le déclanchements des évènements, mais l’association sahraouie(ASVDH) n’a pas pu assurer ou identifier les noms des victimes sauf le nom de jeune sahraoui Maichan Chia a cause du siège qui impose les autorités marocaines.D’autre part la ville connu depuis hier jusqu’au le moment l’arrivé intensive des militaires et policiers en camions et avions militaires, ces militaires se sont concentrés dans les quartiers peuplés par les sahraouis. Et selon les mêmes témoins le jour d’hier a été caractérisé par des tirs des balles dans l’air et que un soldat a tiré par erreur sur son copain transféré rapidement a l’Hôpital militaire de la ville.

Affrontements sanglants à la ville de Dakhla



26/09/2011 Lettre d'information ASVDH
El Aaiun Sahra OccidentalLundi 26/09/2009



La ville de Dakhla au Sahara occidental, a connu le dimanche, 25/09/201à 16 heure des affrontements entre colons marocains et autochtonesSahraouis, immédiatement après la fin d’un match de football.Selon des témoins, des jeunes Sahraouis ont été agressés par descolons marocains immédiatement après la fin du match, et devant les agentsde sécurité marocains. Un nombre important d’entre les jeunes Sahraouis ont été blessés, de différentes manières.
Après cette attaque les jeunes Sahraouis ont organisé une protestation pacifique pour condamner cette attaque brutale, et ont demandé la protection internationale, mais cette manifestation a été rapidement réprimée par les forces de sécurité marocaines.
Et les mêmes témoins ont déclaré aussi que l’intervention brutale des policiers contre la manifestation pacifique a coïncidé avec l’attaque par un groupe de colons marocains de sahraouis et de leurs biens, résultant en des pertes importantes dans les biens des sahraouis et en des victimes dans les deux parties, avec des blessures de gravité variable.
L’agence officielle marocaine (MAP) pour sa part a déclaré la mort de deux jeunes dans ces événements, mais l’Association sahraouie (ASVDH) n’a pu confirmer seulement que la mort du jeune Sahraoui Meichan Ould Mohamed Lamine Ould Chia .
Les affrontements sont toujours en cours dans la ville jusqu’à présent.

Aclaracion



27/09/2009



COMUNICADO



Ante las informaciones vertidas por los medios de comunicación en la que se cita como fuente al MAP, relativas a los 7 fallecidos durante los disturbios que están teniendo lugar en la ciudad ocupada de Dajla en el Sáhara Occidental, debemos aclarar sobre los fallecidos lo siguiente: 4 colonos marroquíes resultaron muertos en un accidente de circulación tras sustraer el vehículo a un saharaui, 1 militar marroquí perdió la vida como consecuencia del disparo por “fuego amigo” de uno de sus compañeros, 1 colono marroquí resultó muerto al ser alcanzado fortuitamente por los disparos al aire del ejército y un joven saharaui de 29 años, Maichan Mohamed Lamin Lahbib, fue asesinado por los colonos marroquíes como resultado de la paliza recibida.Los disturbios en la ciudad ocupada de Dajla continúan, si ayer fueron incendiadas casas de saharauis el barrio Salam, Rahma, 64 Dar y 45 Dar... Hace aproximadamente media hora los colonos marroquíes han incendiado una escuela privada "Escuela Alirfane" en la antigua Villa Cisneros (Dajla), propiedad del ciudadano saharaui Mohamed Bobaker, en estos momentos los colonos están atacando e incendiando la casa del ciudadano saharaui AHL DAWDI.



Elmami Amar Salem - DDHH saharaui en Dajla

Comunicado Urgente

Un joven saharaui fallece en Dahla / Sahara Occidental agredido por los colonos marroquíes apoyados por las fuerzas policiales y militares


La Organización De Defensores Saharauis 2° Generación se ha asegurado de la muerte de un joven saharaui en los ataques de colonos marroquíes incitados y apoyados por los distintos cuerpos de seguridad , inteligencia y militar .

Se trata de : Maichan Mohamed-Lamin Lahbib , nacido en 1982 en los campamentos de refugiados saharauis en Tinduf / Argelia .

La ODS 2° Generación , considera que el gobierno de Marruecos es responsable de todo lo sucedido en la ciudad de Dahla desde ayer a causa de su política sistemática basada desde la masacre de Gdeym Izik en la incitación de los colonos marroquíes contra la población saharaui , y para la cual hizo una gran campaña mediática tanto en los territorios ocupados del Sahara Occidental como en el interior de Marruecos .

Asi mismo , hace un llamamiento urgente para que la ONU , las organizaciones mas relevantes en la defensa de los derechos humanos y la opinión publica internacional cumplen con el deber hacia este pueblo indefenso .


ODS 2° Génération
Aaiun / Sahara Occidental : 26 de septiembre de 2011 .

Enfrentamientos entre colonos marroquíes y ciudadanos saharauis en la ciudad de Dahla ( Villacisneros ) / Sahara Occidental



Nota de prensa


Enfrentamientos entre colonos marroquíes y ciudadanos saharauis en la ciudad de Dahla ( Villacisneros ) / Sahara Occidental


Hemos sido informados sobre la alarmante situación en la ciudad de Dahla / Sahara Occidental . Que , según nuestras fuentes en dicha ciudad , los colonos marroquíes atacaron cerca del barrio Elwakala ( barrio construido por Marruecos para los colonos ) , a decenas de saharauis que salian del campo de futbol . A causa de este ataque fueron lesionados los siguientes saharauis :

* 1- Hama Ahmed Zain , heridas graves en la cabeza
* 2- Hamia Ahl Mbarec Nayib , herido
* 3- Hamiya Banna Buseif , herido
* 4- Sidi Alal Ahl Zriwil , heridas graves .
* 5- Sidahmed Ahl Lkori , herido

También hemos sido informados sobre dos casos de detención , se trata de : Ahmed uld Maayif , que fue detenido en las primeras horas de los enfrentamientos y Dahi Ahl Babah , herido en estado critico , fue trasladado en un coche policial hacia una dirección desconocida .
Y según nuestras fuentes en Dahla , que el ejercito marroquí intervino a partir de las 21h 00 min. de esta tarde .

La ODS 2° G , culpa al estado de Marruecos en todo lo que sucede en esta ciudad , y exige a que se garantice la seguridad personal de todos los saharauis que se encuentran bajo amenazas diarias a causa de la incitación de los colonos por las autoridades marroquíes contra la población autóctona del Sahara Occidental .

ODS 2° Generación : Aaiun Sahara Occidental
26 de septiembre de 2011

Impiden una protesta pacífica a la familia

Las autoridades marroquíes impidieron el 22 de septiembre de 2011 manifestarse pacíficamente , a la familia del mártir saharáui Saíd Dember frente a la sede de la Corte de Apelación de el Aaiún - Sáhara Occidental , tras haber transcurrido ya 09 meses de que éste fuera asesinado por la bala de un policía marroquí , según afirman los informes actuales de la citada policía.
Cuando la familia del mártir , acompañada de numerosos saharáuis se preparaban para organizar esta protesta , sobre las seis de la tarde frente a la citada sede para exigir que sean aclaradas las circunstancias que envolvieron el asesinato de Saíd Dember y que se le verifique una autopsia acompañada de un informe médico independiente y contrastado , petición a la que todavía las autoridades judiciales marroquíes se niegan , a pesar de estar ésta enmarcada en la legalidad.
Los manifestantes saharáuis,quedaron sorprendidos al ver que se les impedía desde decenas de metros el acceso a la sede de la Corte de Apelación , la cual estaba rodeada por la policía y los servicios de inteligencia marroquí acompañados de vehículos , motos y pertrechados con material antidisturbios con el fin de conculcar el derecho de expresión y de protesta pacífica de los manifestantes saharauis.
A éste cerco policial y de represión marroquí , ya estaban acostumbrados los manifestantes saharáuis desde hace bastante tiempo , lo que llevó a las autoridades marroquíes a organizar patrullas , que precedidas por vehículos de la policía y otros de las fuerzas auxiliares mas agentes de inteligencia vestidos de paisano , la mayoría de ellos a bordo de vehículos civiles o sobre motos , se dedicaran a perseguir a los manifestantes entre los diversos barrios , plazas , calles , y callejuelas , dispersándolos e intentando intimidarles.
En un contacto con La Oficina Ejecutiva de la Agrupación de los Defensores Saharauis de los Derechos Humanos CODESA, la familia del mártir saharáui Saíd Dember afirmó que no estaba sorprendida ante esta acción arbitraria de las autoridades marroquíes , como demuestra el que se les haya impedido ejercer el derecho a manifestarse delante del citado tribunal junto con personas que se les unieron en solidaridad , habíendo sido más de una vez víctimas de ataques y brutalidad sin que se abriera investigación alguna.
Añadiendo , que debido a que se les impidió la organización de esta manifestación decidió convocar en su domicilio a algunos de los manifestantes y activistas sindicales y de los derechos humanos solidarios con ésta , donde se leyó en nombre de la familia una declaración condenatoria en la que se reclamaba lo siguiente:
- Su absoluta solidaridad con todos los activistas sindicales y de los derechos humanos , y con todos los ciudadanos saharáuis privados de su derecho de expresión y de la manifestación pacífica , para exigir la totalidad de sus derechos civiles, políticos, económicos, sociales y culturales.
- Su exigencia al Estado de Marruecos , para que descubra la verdad sobre el asesinato de su hijo el mártir saharáui Saíd Dember y que asuma plenamente la responsabilidad acaecida ante este delito, que atentó contra su derecho a la vida.
- Llama al estado marroquí a que responda de forma inmediata ante las justas y legítimas demandas de la familia y sean respetados plenamente sus derechos , garantizados en los tratados y pactos internacionales de derechos humanos y que se permita que los ciudadanos saharauis , defensores de los derechos humanos y observadores internacionales , puedan asistir a todos los juicios del policía marroquí.
- Su covencimiento ante la responsabilidad de las autoridades oficiales de Marruecos, quienes fueron causantes de forma directa o indirecta de la muerte de su hijo con munición real , que es utilizada por los servicios de inteligencia últimamente contra los civiles saharauis , concretamente a partir de los sucesos del campamento de Gdeym Izik y de las manifestaciones en las ciudades de el Aaiún y Almarsa en el Sáhara Occidental.
- Haciendo un llamamiento a las organizaciones, asociaciones humanitarias , de los derechos humanos internacionales y a las conciencias vivas , para que continúen su apoyo ante éste caso y se presióne sobre el Estado marroquí para que acepte las justas y legítimas exigencias de la familia.

La Oficina Ejecutiva de la Agrupación de los Defensores
Saharauis de los Derechos Humanos CODESA
Aaiún - Sáhara Occidental - 23 de Septiembre de 2011

Presos políticos saharáuis y familiares inician



Seis estudiantes saharáuis que permanecen detenidos en la prisión local Nº 02 de Salé - Marruecos a raíz de las manifestaciones que precedieron al asesinato del estudiante saharáui Hammadi Hbad , cerca del barrio universitario Souissi en Rabat - Marruecos , declaran su entrada en una huelga de hambre preventiva de 48 horas a partir del 23 de septiembre de 2011, en solidaridad con el preso político saharáui Sheikh Banga , que se encuentra en la misma prisión, y que continúa en huelga de hambre indefinida desde el 15 de septiembre de 2011.
En este mismo contexto , un grupo de familiares de presos políticos saharáuis detenidos a raíz de los sucesos del campamento de Gdeym Izik , inician una huelga de hambre preventiva de 24 horas a partir del 24 de septiembre de 2011 , según un comunicado firmado por éstos y llegado a La Oficina Ejecutiva de la Agrupación de los Defensores Saharauis de los Derechos Humanos CODESA.
En éste , se condena la brutal agresión de que fué objeto el preso político saharáui Sheikh Banga por parte de la administración penitenciaria , bajo supervisión del director de la prisión Yunis Buazizi , quien es responsable en primer término del acoso , la provocación y el maltrato que sufren todos los presos políticos saharauis en esta prisión, y exigiendo que se investigue la deplorable situación en que se encuentran éstos y la necesidad de que sean plenamente respetados tanto ellos , como sus derechos garantizados en los convenios y pactos internacionales , en particular el derecho a tratamiento y medicación.
Según han confirmado familiares de Sheikh Banga , éste transcurre su octavo día de huelga de hambre indefinida , en protesta contra la privación de su derecho al tratamiento y medicación, ya que sufre de fatiga extrema y fuertes dolores con complicaciones debido a las enfermedades que le aquejan y que requieren tratamiento médico como son : el asma aguda y reumatismo en las articulaciones y problemas del digestivo.

La Oficina Ejecutiva de la Agrupación de los Defensores Saharauis
de los Derechos Humanos CODESAAaiún - Sáhara Occidental - 23 de Septiembre de 2011.

Intervención brutal contra una manifestación pacifica en el barrio POLCO en Aaiun ocupado del Sahara Occidental , causando decenas de heridos y una m



Comunicado



El martes 20 de septiembre de 2011 , decenas de saharauis hicieron una manifestación pacifica en el barrio Polco en Aaiun ocupado , para revindicar sus derechos en el trabajo y a una vida digna . En dicha manifestación , los manifestantes saharauis clamaron eslóganes que exigen a la comunidad internacional la protección de sus recursos naturales saqueados de forma ilegal por Marruecos y la Unión Europea . También exigieron a la ONU la aplicación de la legalidad internacional mediante la celebración de un referéndum , para que el pueblo saharaui podrá decidir su propio futuro .

Esta manifestación pacifica fue agredida por los cuerpos policiales . Dicha intervención causo una cantidad de heridos entre los manifestantes , pero el caso mas grave fue la de : Lala Mhamed Chej Busaula , nacida en 1981 en Aaiun / Sahara Occidental , casada y con hijos . Y según nos testimonio , que fue agredida por muchos policías , y recibió golpes en la nuca , por lo que perdió el conocimiento . Luego la trasladaron hacia el hospital Ben El Mahdi ; y al despertarse se quedo totalmente ciega .

El día siguiente, 21 de septiembre fue entregada a su familia en una situación totalmente infrahumana .

Por ello , la Organización de Defensores Saharauis 2° Generación ( ODS 2° G ) , declara lo siguiente :

a) su enérgica condena a este crimen cometido por el estado de Marruecos contra la ciudadana saharaui Lala Mhamed Chej Busaula ,
b) exige a Marruecos que investigue el asunto y juzgue a los responsables de este crimen ,
c) hace un llamamiento urgente a todas las ONG para prestar asistencia y asesoramiento a la victima .

ODS 2°G
Aaiun / Sahara Occidental :
23 de septiembre de 2011

INTERVENCIÓN BRUTAL DE LA POLICÍA EN LA CIUDAD DE EL AAIUN



20 septiembre 2011



La manifestación pacífica convocada por la Coordinadora de Gdeim Izik (familias de presos políticos, trabajadores de la empresa Fosbucraa, etc), el martes 20 de septiembre, en la Avda. de Smara, se saldó con decenas de heridos. Alrededor de las cinco de la tarde la policía actuó contra los ciudadanos que a penas habían comenzado su manifestación. La intervención policial, dirigida por el Pachá (autoridad civil), fue de tal magnitud que muchos de los heridos corrieron a refugiarse donde podían mientras otros eran detenidos y llevados a la la comisaría. A medida que avanzaba la noche, fueron liberados.MOHAMED RACHID, ha sido uno de ellos. Con nacionalidad española (DNI 44921362 Q), este joven saharaui, conocido por su pacífica lucha contra la ocupación marroquí, fue torturado en la calle y en el interior del furgón en el que fue trasladado a la comisaría de El Aaiun por los conocidos como “los escuadrones de la muerte”. Una vez allí, durante el interrogatorio continuaron las patadas, los golpes por todo su cuerpo, la paliza descomunal y los insultos. En el informe elaborado por la policía, el motivo de su detención era el de haber lanzado piedras contra la policía. Rachid lo niega, es una acusación falsa como todas las que fabrica el estado marroquí contra el pueblo saharaui. A las nueve de la noche fue puesto en libertad. Esta manifestación no fue la única. En el barrio Polco otro grupo de manifestantes fue agredido por la policía al poco de comenzar sus reivindicaciones pacíficas. Busola Lalla recibió un golpe tan fuerte en la cabeza que perdió el conocimiento y tuvo que ser trasladada al hospital. Su familia está muy preocupada porque su hija no les reconoce. Otra manifestación fue dispersada con hostilidad por la policía en el barrio Al Auda, al final de la Avda. Smara. Un niño de a penas tres años fue herido junto a su madre tras recibir fuertes golpes en su cuerpo.



Informan: Hmad Hammad - Vicepresidente de CODAPSO

Violenta carga policial para dispersar una manifestación pacífica



Sobre las 10 de la mañana del 20 de septiembre de 2011 , las autoridades marroquíes intervieron contundentemente contra cerca de 100 un ciudadanas-os saharáuis , que protestaban frente a la sede provincial en el barrio de Alauda del Aaiún-Sáhara Occidental.
Según uno de los participantes , esta protesta pacífica , es la respuesta ante las evasivas por parte de los funcionarios , a un conjunto de promesas a las que se comprometió la administración marroquí , y que fueron hechas a jóvenes saharáuis tras el transcurso de decenas de protestas pacíficas en las que exigían mejoras en su situación social , económica y el respeto de su derecho a la expresión y a la manifestación pacífica.
Elementos de la policía marroquí y de las fuerzas auxiliares , supervisisados por las dos autoridades responsables el jefe provincial y el del departamento de policía junto a otros responsables , intervenieron de forma ilegal contra los manifestantes saharauis (la mayoría de ellos mujeres) , que coreaban consignas de carácter social, exigiendo derecho al trabajo y para que las ayudas sean distribuidas con equidad y no bajo criterios de favoritismo , clientelismo o de relaciones personales , según informó de uno de los participantes de esta protesta pacífica.
Esta brutal intervención por parte de las autoridades marroquíes dejo tras de si los siguientes heridos:
Mineto Bellahi de 50 años de edad la cual sufrió heridas en el brazo derecho y en la espalda, siendo evacuada al hospital Hasan Ibn Al-Mahdi del Aaiún - Sáhara Occidental.
Algraigán Mustafa de 25 años , (con necesidades especiales), resultó lesionado en hombros y espalda porque elementos de la policía procedieron a arrastrarlo , cuando éste yacía inerte en el suelo , siendo evacuado al hospital Hasan Ibn Al-Mahdi del Aaiún - Sáhara Occidental.
Sidi Ali Almgezem de 32 años , con lesiones en la espalda y las piernas , siendo evacuado al hospital Hasan Ibn Al-Mahdi del Aaiún - Sáhara Occidental.

Ahmed Salem Burrukba de 25 años herido en las piernas , siendo evacuado al hospital Hasan Ibn Al-Mahdi del Aaiún - Sáhara Occidental.
Lehoimid Mustafa de 30 años , con lesiones en las piernas y el hombro.
Morshid Saadia de 48 años con lesiones en la mano y el pié , sufriendo además tambien lesiones su pequeño bebé Zaher Mustafa , (de menos de un año de edad) , que resultó con moratones en el brazo.


La Oficina Ejecutiva de la Agrupación de los Defensores Saharauis
de los Derechos Humanos CODESA
Aaiún - Sáhara Occidental - 20 de Septiembre de 2011