Campagne Internationale pour la libération de B.Sabbar et tous les prisonniers politiques sahraouis
L'Activiste et défenseur de Droits Humains BRAHIM JALIL HAMUDI TAYEB (Sabbar), plus connu comme BRAHIM SABBAR, Secrétaire Général de l'Association Sahraouie des Victimes des Violations Graves de Droits Humains Commises par l'État marocain (ASVDH), est né le 6 août 1959 à Lagsabi, est marié et père de trois fils.
Brahim Sabbar a été séquestré par les forces d'occupation marocaine, le 14 août 1981, à la ville de Dajla (ancienne Villa Cisneros), avec d'autres sahraouis dont Bulahi Sadiq, Hayi Embarec et Mohamed Salem Mojtar. Ce défenseur des Droits Humains est resté pré de 10 années emprisonné, sans charge à son encontre, ni aucun jugement, dans différents centres secrets marocains de détention, parmi lesquels le tristement célèbre centre de Kalaat Maguna. Libéré le 22 juin 1991, avec autres 321 sahraouis, tous disparus jusqu'à cette date. Les autorités marocaines n'ont jamais donné une explication officielle des motifs leur détention et de leur disparition forcée.
Après sa libération, Brahim Sabbar a adhéré, à partir de 1994, au mouvement revendicatif appelé " Comité de Coordination de Victimes de Disparitions Forcées", considéré comme l'embryon du mouvement avantage garde des droits humains dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental.
Depuis lors, il a joué un rôle important dans la dénonciation et la recherche des violations graves des droits humains, perpétrées depuis 1975 contre la population civile sahraouie par les forces d'occupation marocaines dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental.
Il a contribué à la divulgation de l'Intifada de 1999 et à la dénonciation de la répression sanglante menée par les forces occupantes, en prenant part à diverses manifestations et 'sin in' avec les étudiants sahraouis à Rabat, pour la libération de toutes les personnes arbitrairement et injustement arrêtées.
Il a pris part à diverses rencontres internationales de Droits Humains organisés par l'Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) et la Fédération Internationale de Droits Humains (FIDH), ainsi que dans différentes journées de formation, comme la session de formation en Droit Pénal International, organisé par la FIDH, à Casablanca en 2001, en représentation du Comité de Coordination de Victimes Disparitions Forcées et Détentions Arbitraires.
Il a tenu des rencontres avec diverses personnalités dans le cadre de Droits Humains, parmi elles Monsieur Eric Sottas, Directeur d'OMCT et M. Pierre Sané, quand il occupait le poste de Secrétaire Général d'Amnistie Internationale.
Brahim Sabbar a pris part, avec des militants sahraouis et marocains, à la création du "Forum Vérité et Justice", en étant choisi membre de son Conseil National. De même, il a été l’un des fondateurs de l'Association Sahraouie de Victimes des Graves Violations de Droits Humains Commises par l'État marocain (ASVDH), et élu comme son Secrétaire Général.
En 2001, Brahim Sabbar a fait partie des 36 défenseurs des Droits Humains marocains et sahraouis, condamnés à trois mois de prison pour prendre part à l'organisation d'une manifestation pacifique à Rabat, capital du Maroc, le 9 décembre 2000, dans lequel ils réclamaient la fin de l'impunité des auteurs des atteintes des droits humains au Maroc et au Sahara Occidental.
Durant l'année 2005, Brahim Sabbar a été arrêté par les forces d'occupation marocaines à plusieurs reprises et a été mis sous garde pour être interrogé et postérieurement être libéré, pour son action en défense des droits humains et pour sa participation des manifestations pacifiques contre l'administration marocaine dans le Sahara Occidental. Depuis l'année 2000, il est interdit d’obtention de passeport.
Sabbar, a été, et fait l'objet de ces actions répressives pour son action d’investigation et de divulgation informative relative aux violations de droits humains au Sahara Occidental, et aussi pour défendre publiquement le droit à l’autodétermination du Peuple Sahraoui.
Avec AHMED SBAI et de KAINNAN, il a été arrêté le 17 juin 2006 dans un poste de contrôle de la police marocaine située à l'entrée de la ville de El Aaiún, au Sahara Occidental, quand ils retournaient en voiture depuis la proche localité de Bojador, où ils avaient supervisé la création d'un bureau de leur Association.
Peu avant, en mai 2006, son Association avait publié un rapport de 121 pages dans lequel on détaillait des dizaines de dénonciations de détentions arbitraires, tortures et mauvais traitements perpétrées par les forces de sécurité marocaines, durant les derniers mois, l’encontre de la population civile sahraoui.
Brahim Sabbar, a récemment pris part avec d'autres prisonniers sahraouis défenseurs de droits humains dans les prisons marocaines, à plusieurs grèves de faim pour protester contre les atteintes auxquelles ils sont soumis.
En juin 2006, les tribunaux d'occupation marocains l'ont condamnée à deux années de prison, en l'accusant agression et désobéissance à l’encontre d’un agent de la police marocaine pendant leur détention, accusations qui ont été nié par Sabbar. Celui-ci a allégué qu'il avait été victime tortures et mauvais traitements en présence d’autres témoins. Postérieurement, Sabbar a été soumis à un second jugement dans lequel il a été condamné à année et six mois, soit un total trois années et six mois de prison durant les deux phases. Les deux jugements ont eu lieu sans garantie de procédure, sans permettre un libre exercice du droit de défense, sans aucun preuve d’inculpation, et sans que les tribunaux d'occupation qui l'ont jugé aient aucun pouvoir juridique sur lui.
Actuellement Brahim Sabbar est privé de liberté et en accomplissant les condamnations imposées par les tribunaux d'occupation marocains à la "Prison Noire" à El Aaiún, en souffrant de grèves maladies sans recevoir aucun type d’attention ni aide médicale. (Sa tension artérielle est supérieure à 18/22, souffre des maladies digestives, bouleversements de vision, entre d'autres épreuves).
Brahim Sabbar est membre de plusieurs organisations nationales et internationales de défense des Droits Humains, entre elles :
- Le Comité Sahraoui pour l'Autodétermination du Peuple Sahraoui (CODAPSO), fondé par le Prix Rafto, Sidi Mohamed Daddach.
- Le Bureau International pour le Respect des Droits Humains (BIRDHSO).
- Front Line.
- Le Comité d'Appui à la Campagne Internationale pour la Défense des Activistes de Droits Humains dans le Sahara Occidental, où a été choisi premier assistant de son président.
- Section El Aaiún de l'Association Marocaine de Droits Humains.
Brahim Sabbar a contribué à l'élaboration de plusieurs Mémorandum et Rapports sur la situation des droits humains dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental, dont le dernier d’eux est publié par l'ASVDH en 2006 sur l'Intifada déclenchée en mai de 2005.
Brahim Sabbar a participé dans diverses rencontres significatives pour la conscientisation de la Communauté Internationale par la grave situation de violation des Droits Humains qui règne dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental, parmi d’autres :
- Rencontre avec la Délégation ad hoc du Parlement Européen présidée par l'Eurodéputé Catherine Lalumière, en mars 2002.
- Rencontre avec la Mission d'Information Mandaté par le Haut Commissariat de Droits de l’Homme des Nations Unies, en mai 2006.
- Rencontres avec plusieurs ambassades et consulats crédités à Rabat. Brahim
Sabbar a s’est distingué par de nombreuses entrevues avec des moyens de communication écrits et radiophoniques de divers pays, très particulièrement le Maroc, la France, l'Espagne, le Danemark, la Hollande, la Suisse, l'Algérie et le Sahara Occidental.
Depuis mai 2005 on assiste à la recrudescence de violence à l’encontre de la population sahraouie dans les Territoires du Sahara Occidental, illégalement occupés par le Maroc. Ainsi de centaines de citoyens sahraouis et activistes de DDHH ont été et sont séquestrés, torturés, interrogés, et emprisonnés illégalement. D’autres personnes sont assassinées. Cette répression survient suite à leur participation aux manifestations pacifiques qui revendiquent le Droit du Peuple Sahraoui à l'Autodétermination.
Devant ces graves violations de droits humains perpétrées par le régime marocain contre la population civile sahraouie et leurs conséquences sur son intégrité physique individuelle et collective, nous EXIGEONS
- La libération immédiate de BRAHIM SABBAR, Secrétaire Général de l'Association Sahraoui de Victimes de Violations Graves de Droits Humains Commises par l'État marocain.
- La libération immédiate de tous les prisonniers politiques Sahraouis, l'éclaircissement du sort des disparus, la fin des persécutions et des harcèlements à l’encontre des défenseurs de Droits Humains Sahraouis, et le jugement des responsables de ces atteintes.
- Le retrait de toutes les unités d’oppressions déployées dans les rues des villes Sahraouis occupées.
- La liberté d’accès et circulation dans le territoire aux observateurs internationaux et aux moyens d'information.
- L’accomplissement du Maroc de la légalité internationale sur le territoire du Sahara Occidental.
Comité de Coordination
Tlf : + 34 928240884 Fax : + 34 928248659
Email:cppsaharaui@gmail.com
On accompagne la Lettre dirigée au gouvernement marocain à envoyer aux directions indiquées :
Sa Majesté le Roi Mohammed VI Ibn au Hassan, Roi du Maroc, Palais Royal, Rabat, Maroc, Fax : + 212.37.73.07.72
M. Abbas le Fassi, Premier Ministre, Bureau du Premier Ministre et Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Palais Royal, Rabat, Maroc, + Fax : 212.37.76.99.95/91.95/77.68.37
M. Adelouahed Radi, Ministre de Justice, Ministère de la Justice, Place Mamounia, Rabat, Maroc, Fax : + 212.37.72.37.10/73.07.72/73.89.40
M. Chakib Ben Moussa, Ministre d'Affaires intérieures, Quartier Administratif, Rabat, Maroc, Fax : 212.37.76.20.56
M. Fassi le Fahri, Ministre d'Extérieurs et de Coopération, Avenue F Roosevelt, Rabat, Maroc. Fax : + 212.37.76.55.08 /.46 79. E-mail : mail@maec.gov.ma
Conseil Consultatif des Droits Humains (CCDH), Satisfait donne Chouhada, B.P. 1341, Rabat, Maroc. Fax : + 212 37.72.68.56. E-mail : ccdh@ccdh.org.ma
Mission permanente du royaume de Maroc dans les Nations Unies à Genève, Chemin François-Lehmann 1å, Mariez postale 244,.1218 Grand-Saconnex, Suisse, E-mail : mission.maroc@ties.itu.int, fax : + 41.22.791.81.80
Mission diplomatique du royaume de Maroc à Bruxelles, 2 avenue F.D. Roosevelt, 1050 Bruxelles, Belgique, Fax : + 32.2.626.34.34
MODÊLE DE LETTRE ADRESSÉE AU GOUVERNEMENT MAROCAIN ---------------------------------------
Je suis avec profonde préoccupation la dégradante situation des droits l’homme que vit la population sahraoui sous occupation marocaine suite au système répressif implanté dans le territoire du Sahara Occidental par le déploiement de multiples unités visant à maltraiter, séquestrer et torturer les manifestants pacifiques des sahraouis, et aux persécutions et aux harcèlements aux défenseurs de droits humains, en empêchant l'exercice de leurs droits fondamentaux, et la libre expression de ses droits légitimes à l'autodétermination.
Je suis aussi préoccupé par la situation alarmante que vit le prisonnier politique BRAHIM SABBAR, Secrétaire Général de l'Association ASVDH et les dizaines de prisonniers politiques sahraouis dans les prisons de El Aaiún, Ait Meloul, Tiznit, Inzegan, Taroudant, Salé et Kenitra. Ces prisonniers ont été torturés, interrogés, soumis à des jugements sans garanties et condamné de manière illégale, ont été internationalement reconnus comme prisonniers d'opinion.
Devant cette grave situation des atteintes et violations de ses droits fondamentaux contre les Conventions Internements et le Droit International Humanitaire, j'EXIGE :
La Libération immédiate et inconditionnelle de BRAHIM SABBAR Et TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES SAHARAUIS.
Nom et Prénoms :......................................................................
Localité :..................................................................................... .
Pays :...........................................................................................
Signature:...................................Date :...........................................
Brahim Sabbar a été séquestré par les forces d'occupation marocaine, le 14 août 1981, à la ville de Dajla (ancienne Villa Cisneros), avec d'autres sahraouis dont Bulahi Sadiq, Hayi Embarec et Mohamed Salem Mojtar. Ce défenseur des Droits Humains est resté pré de 10 années emprisonné, sans charge à son encontre, ni aucun jugement, dans différents centres secrets marocains de détention, parmi lesquels le tristement célèbre centre de Kalaat Maguna. Libéré le 22 juin 1991, avec autres 321 sahraouis, tous disparus jusqu'à cette date. Les autorités marocaines n'ont jamais donné une explication officielle des motifs leur détention et de leur disparition forcée.
Après sa libération, Brahim Sabbar a adhéré, à partir de 1994, au mouvement revendicatif appelé " Comité de Coordination de Victimes de Disparitions Forcées", considéré comme l'embryon du mouvement avantage garde des droits humains dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental.
Depuis lors, il a joué un rôle important dans la dénonciation et la recherche des violations graves des droits humains, perpétrées depuis 1975 contre la population civile sahraouie par les forces d'occupation marocaines dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental.
Il a contribué à la divulgation de l'Intifada de 1999 et à la dénonciation de la répression sanglante menée par les forces occupantes, en prenant part à diverses manifestations et 'sin in' avec les étudiants sahraouis à Rabat, pour la libération de toutes les personnes arbitrairement et injustement arrêtées.
Il a pris part à diverses rencontres internationales de Droits Humains organisés par l'Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) et la Fédération Internationale de Droits Humains (FIDH), ainsi que dans différentes journées de formation, comme la session de formation en Droit Pénal International, organisé par la FIDH, à Casablanca en 2001, en représentation du Comité de Coordination de Victimes Disparitions Forcées et Détentions Arbitraires.
Il a tenu des rencontres avec diverses personnalités dans le cadre de Droits Humains, parmi elles Monsieur Eric Sottas, Directeur d'OMCT et M. Pierre Sané, quand il occupait le poste de Secrétaire Général d'Amnistie Internationale.
Brahim Sabbar a pris part, avec des militants sahraouis et marocains, à la création du "Forum Vérité et Justice", en étant choisi membre de son Conseil National. De même, il a été l’un des fondateurs de l'Association Sahraouie de Victimes des Graves Violations de Droits Humains Commises par l'État marocain (ASVDH), et élu comme son Secrétaire Général.
En 2001, Brahim Sabbar a fait partie des 36 défenseurs des Droits Humains marocains et sahraouis, condamnés à trois mois de prison pour prendre part à l'organisation d'une manifestation pacifique à Rabat, capital du Maroc, le 9 décembre 2000, dans lequel ils réclamaient la fin de l'impunité des auteurs des atteintes des droits humains au Maroc et au Sahara Occidental.
Durant l'année 2005, Brahim Sabbar a été arrêté par les forces d'occupation marocaines à plusieurs reprises et a été mis sous garde pour être interrogé et postérieurement être libéré, pour son action en défense des droits humains et pour sa participation des manifestations pacifiques contre l'administration marocaine dans le Sahara Occidental. Depuis l'année 2000, il est interdit d’obtention de passeport.
Sabbar, a été, et fait l'objet de ces actions répressives pour son action d’investigation et de divulgation informative relative aux violations de droits humains au Sahara Occidental, et aussi pour défendre publiquement le droit à l’autodétermination du Peuple Sahraoui.
Avec AHMED SBAI et de KAINNAN, il a été arrêté le 17 juin 2006 dans un poste de contrôle de la police marocaine située à l'entrée de la ville de El Aaiún, au Sahara Occidental, quand ils retournaient en voiture depuis la proche localité de Bojador, où ils avaient supervisé la création d'un bureau de leur Association.
Peu avant, en mai 2006, son Association avait publié un rapport de 121 pages dans lequel on détaillait des dizaines de dénonciations de détentions arbitraires, tortures et mauvais traitements perpétrées par les forces de sécurité marocaines, durant les derniers mois, l’encontre de la population civile sahraoui.
Brahim Sabbar, a récemment pris part avec d'autres prisonniers sahraouis défenseurs de droits humains dans les prisons marocaines, à plusieurs grèves de faim pour protester contre les atteintes auxquelles ils sont soumis.
En juin 2006, les tribunaux d'occupation marocains l'ont condamnée à deux années de prison, en l'accusant agression et désobéissance à l’encontre d’un agent de la police marocaine pendant leur détention, accusations qui ont été nié par Sabbar. Celui-ci a allégué qu'il avait été victime tortures et mauvais traitements en présence d’autres témoins. Postérieurement, Sabbar a été soumis à un second jugement dans lequel il a été condamné à année et six mois, soit un total trois années et six mois de prison durant les deux phases. Les deux jugements ont eu lieu sans garantie de procédure, sans permettre un libre exercice du droit de défense, sans aucun preuve d’inculpation, et sans que les tribunaux d'occupation qui l'ont jugé aient aucun pouvoir juridique sur lui.
Actuellement Brahim Sabbar est privé de liberté et en accomplissant les condamnations imposées par les tribunaux d'occupation marocains à la "Prison Noire" à El Aaiún, en souffrant de grèves maladies sans recevoir aucun type d’attention ni aide médicale. (Sa tension artérielle est supérieure à 18/22, souffre des maladies digestives, bouleversements de vision, entre d'autres épreuves).
Brahim Sabbar est membre de plusieurs organisations nationales et internationales de défense des Droits Humains, entre elles :
- Le Comité Sahraoui pour l'Autodétermination du Peuple Sahraoui (CODAPSO), fondé par le Prix Rafto, Sidi Mohamed Daddach.
- Le Bureau International pour le Respect des Droits Humains (BIRDHSO).
- Front Line.
- Le Comité d'Appui à la Campagne Internationale pour la Défense des Activistes de Droits Humains dans le Sahara Occidental, où a été choisi premier assistant de son président.
- Section El Aaiún de l'Association Marocaine de Droits Humains.
Brahim Sabbar a contribué à l'élaboration de plusieurs Mémorandum et Rapports sur la situation des droits humains dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental, dont le dernier d’eux est publié par l'ASVDH en 2006 sur l'Intifada déclenchée en mai de 2005.
Brahim Sabbar a participé dans diverses rencontres significatives pour la conscientisation de la Communauté Internationale par la grave situation de violation des Droits Humains qui règne dans les Territoires Occupés du Sahara Occidental, parmi d’autres :
- Rencontre avec la Délégation ad hoc du Parlement Européen présidée par l'Eurodéputé Catherine Lalumière, en mars 2002.
- Rencontre avec la Mission d'Information Mandaté par le Haut Commissariat de Droits de l’Homme des Nations Unies, en mai 2006.
- Rencontres avec plusieurs ambassades et consulats crédités à Rabat. Brahim
Sabbar a s’est distingué par de nombreuses entrevues avec des moyens de communication écrits et radiophoniques de divers pays, très particulièrement le Maroc, la France, l'Espagne, le Danemark, la Hollande, la Suisse, l'Algérie et le Sahara Occidental.
Depuis mai 2005 on assiste à la recrudescence de violence à l’encontre de la population sahraouie dans les Territoires du Sahara Occidental, illégalement occupés par le Maroc. Ainsi de centaines de citoyens sahraouis et activistes de DDHH ont été et sont séquestrés, torturés, interrogés, et emprisonnés illégalement. D’autres personnes sont assassinées. Cette répression survient suite à leur participation aux manifestations pacifiques qui revendiquent le Droit du Peuple Sahraoui à l'Autodétermination.
Devant ces graves violations de droits humains perpétrées par le régime marocain contre la population civile sahraouie et leurs conséquences sur son intégrité physique individuelle et collective, nous EXIGEONS
- La libération immédiate de BRAHIM SABBAR, Secrétaire Général de l'Association Sahraoui de Victimes de Violations Graves de Droits Humains Commises par l'État marocain.
- La libération immédiate de tous les prisonniers politiques Sahraouis, l'éclaircissement du sort des disparus, la fin des persécutions et des harcèlements à l’encontre des défenseurs de Droits Humains Sahraouis, et le jugement des responsables de ces atteintes.
- Le retrait de toutes les unités d’oppressions déployées dans les rues des villes Sahraouis occupées.
- La liberté d’accès et circulation dans le territoire aux observateurs internationaux et aux moyens d'information.
- L’accomplissement du Maroc de la légalité internationale sur le territoire du Sahara Occidental.
Comité de Coordination
Tlf : + 34 928240884 Fax : + 34 928248659
Email:cppsaharaui@gmail.com
On accompagne la Lettre dirigée au gouvernement marocain à envoyer aux directions indiquées :
Sa Majesté le Roi Mohammed VI Ibn au Hassan, Roi du Maroc, Palais Royal, Rabat, Maroc, Fax : + 212.37.73.07.72
M. Abbas le Fassi, Premier Ministre, Bureau du Premier Ministre et Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Palais Royal, Rabat, Maroc, + Fax : 212.37.76.99.95/91.95/77.68.37
M. Adelouahed Radi, Ministre de Justice, Ministère de la Justice, Place Mamounia, Rabat, Maroc, Fax : + 212.37.72.37.10/73.07.72/73.89.40
M. Chakib Ben Moussa, Ministre d'Affaires intérieures, Quartier Administratif, Rabat, Maroc, Fax : 212.37.76.20.56
M. Fassi le Fahri, Ministre d'Extérieurs et de Coopération, Avenue F Roosevelt, Rabat, Maroc. Fax : + 212.37.76.55.08 /.46 79. E-mail : mail@maec.gov.ma
Conseil Consultatif des Droits Humains (CCDH), Satisfait donne Chouhada, B.P. 1341, Rabat, Maroc. Fax : + 212 37.72.68.56. E-mail : ccdh@ccdh.org.ma
Mission permanente du royaume de Maroc dans les Nations Unies à Genève, Chemin François-Lehmann 1å, Mariez postale 244,.1218 Grand-Saconnex, Suisse, E-mail : mission.maroc@ties.itu.int, fax : + 41.22.791.81.80
Mission diplomatique du royaume de Maroc à Bruxelles, 2 avenue F.D. Roosevelt, 1050 Bruxelles, Belgique, Fax : + 32.2.626.34.34
MODÊLE DE LETTRE ADRESSÉE AU GOUVERNEMENT MAROCAIN ---------------------------------------
Je suis avec profonde préoccupation la dégradante situation des droits l’homme que vit la population sahraoui sous occupation marocaine suite au système répressif implanté dans le territoire du Sahara Occidental par le déploiement de multiples unités visant à maltraiter, séquestrer et torturer les manifestants pacifiques des sahraouis, et aux persécutions et aux harcèlements aux défenseurs de droits humains, en empêchant l'exercice de leurs droits fondamentaux, et la libre expression de ses droits légitimes à l'autodétermination.
Je suis aussi préoccupé par la situation alarmante que vit le prisonnier politique BRAHIM SABBAR, Secrétaire Général de l'Association ASVDH et les dizaines de prisonniers politiques sahraouis dans les prisons de El Aaiún, Ait Meloul, Tiznit, Inzegan, Taroudant, Salé et Kenitra. Ces prisonniers ont été torturés, interrogés, soumis à des jugements sans garanties et condamné de manière illégale, ont été internationalement reconnus comme prisonniers d'opinion.
Devant cette grave situation des atteintes et violations de ses droits fondamentaux contre les Conventions Internements et le Droit International Humanitaire, j'EXIGE :
La Libération immédiate et inconditionnelle de BRAHIM SABBAR Et TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES SAHARAUIS.
Nom et Prénoms :......................................................................
Localité :..................................................................................... .
Pays :...........................................................................................
Signature:...................................Date :...........................................
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