Grève de la faim de Said El Baillal
le prisonnier politique sahraoui et l'activiste des droit de l’homme, membre du comité sahraoui pour l'autodétermination au Sahara Occidental Said el baillal a mené trois grèves de faim monitoires pour réaliser ses revendications légitimes. et il mènera une grève de faim ouverte.
Dans une déclaration publiée à partir de la prison Said el baillal a déclaré:
Sa détermination à poursuivre toutes les formes de lutte pacifique jusqu'à l'acceptation de ses revendications légitimes.
charger les autorités marocaines de la responsabilité de sa santé et de tous les dommages psychologiques causés par les complications et les risques de la grève.
L'appel à toutes les instances et les organisations des droits de l'homme et toutes les forces démocratiques et la conscience vivante de lui soutenir pour exercer une pression sur l'Etat marocain à fin de respecter leurs engagements.
Dans une déclaration publiée à partir de la prison Said el baillal a déclaré:
Sa détermination à poursuivre toutes les formes de lutte pacifique jusqu'à l'acceptation de ses revendications légitimes.
charger les autorités marocaines de la responsabilité de sa santé et de tous les dommages psychologiques causés par les complications et les risques de la grève.
L'appel à toutes les instances et les organisations des droits de l'homme et toutes les forces démocratiques et la conscience vivante de lui soutenir pour exercer une pression sur l'Etat marocain à fin de respecter leurs engagements.
RAPPORT :
Le détenu politique sahraoui et l’activiste des droits de l’hommes membre de la comité sahraoui pour l’autodétermination au Sahara Occidentale CODAPSO Said El Baillal a mené trois grèves de faim (la première a eu lieu le 29 janvier 2008 et a duré 24 heures, et la 2ème a eu lieu le 1er Février 2008 et a duré 48 heures la troisième le 5 Février a duré de 72 heures.) comme une action de protestation contre la négligemment de l’administration du prison de la ville marocaine de Salé de ses revendications légitimes pour :
· Stopper les pratiques provocatrices de l’administration (du prison), ses oppressions fréquentes, et les mal traitements commis contre sa famille chaque fois qu’ils lui rendent visite.
· Lui régaler d’une chambre privée et isolée des autres prisonniers de droit public pour qu’il puisse poursuivre ses études tant qu’il un étudiant de Doctorat en sciences politiques.
· Lui régaler du plein droit de correspondance et d’établir un contact avec le monde extérieur.
· Lui régler du droit de services médicaux comme ayant des maladies au niveau d’estomac, jointures, et de son dos, et comme étant déjà opéré au niveau de son intestin.
· Lui régaler du soin intellectuel et de toutes formes de nutrition saine.
Ces revendications sont garanties, a lui comme étant un détenu politique, par les chartes et pactes internationaux, ainsi que le règlement type pour le traitement des détenus, y compris la loi marocaine régissant les prisons. Said El Baillal a soumis des écrits à l’administration de la prison, aussi bien au département des prisons et le ministère de justice mais en vain.
D’autre part, sa famille a écrit à la fois le ministère de la Justice et la Direction générale des prisons et du procureur général du roi et le Conseil consultatif pour les droits de l'homme et le Conseil des députés, dans une tentative de rencontrer le directeur de la prison pour lui soumettre leur contestation, ce dernier a refusé la réception de la famille de Said El Baillal, ce qui est une violation flagrante des droits du détenu.
Les étudiants sahraouis à Rabat
Le 08-02-2008
Le détenu politique sahraoui et l’activiste des droits de l’hommes membre de la comité sahraoui pour l’autodétermination au Sahara Occidentale CODAPSO Said El Baillal a mené trois grèves de faim (la première a eu lieu le 29 janvier 2008 et a duré 24 heures, et la 2ème a eu lieu le 1er Février 2008 et a duré 48 heures la troisième le 5 Février a duré de 72 heures.) comme une action de protestation contre la négligemment de l’administration du prison de la ville marocaine de Salé de ses revendications légitimes pour :
· Stopper les pratiques provocatrices de l’administration (du prison), ses oppressions fréquentes, et les mal traitements commis contre sa famille chaque fois qu’ils lui rendent visite.
· Lui régaler d’une chambre privée et isolée des autres prisonniers de droit public pour qu’il puisse poursuivre ses études tant qu’il un étudiant de Doctorat en sciences politiques.
· Lui régaler du plein droit de correspondance et d’établir un contact avec le monde extérieur.
· Lui régler du droit de services médicaux comme ayant des maladies au niveau d’estomac, jointures, et de son dos, et comme étant déjà opéré au niveau de son intestin.
· Lui régaler du soin intellectuel et de toutes formes de nutrition saine.
Ces revendications sont garanties, a lui comme étant un détenu politique, par les chartes et pactes internationaux, ainsi que le règlement type pour le traitement des détenus, y compris la loi marocaine régissant les prisons. Said El Baillal a soumis des écrits à l’administration de la prison, aussi bien au département des prisons et le ministère de justice mais en vain.
D’autre part, sa famille a écrit à la fois le ministère de la Justice et la Direction générale des prisons et du procureur général du roi et le Conseil consultatif pour les droits de l'homme et le Conseil des députés, dans une tentative de rencontrer le directeur de la prison pour lui soumettre leur contestation, ce dernier a refusé la réception de la famille de Said El Baillal, ce qui est une violation flagrante des droits du détenu.
Les étudiants sahraouis à Rabat
Le 08-02-2008
Déclaration
Suite aux circonstances difficiles dont je souffre à la prison locale de la ville marocaine de Salé et qui ne sont pas conformes au minimum des principes de traitements typiques des prisonniers accrédités par les Nations Unies et par les documents légaux en relation avec les droits de l’homme, le droit comparé et les critères reconnus par le communié internationale et relatives à la protection des prisonniers,
Et encore en inconsistance avec toutes les dispositions de la loi marocaine organisant les prisons 23/98,
Surtout l’article 29 qui stipule que le sexe du détenue, la lieu de résidence de sa famille, son état mentale, et ses qualifications doivent être prises en considérations lors de la répartition des détenus à l’intérieur du prison,
L’article 74 donnant une attention spécial pour la maintenance et l’amélioration des relations entre le détenu et ses relatives,
L’article 75 confirmant le droit du détenu d’accueillir les membres de sa famille et encore permettant à n’importe quelqu’un de visiter le détenu sous la condition de préserver l’ordre public et la sécurité. Et ce que j’en déshérite encore, et également la visite directe d’autres personnes (en donnant la permission uniquement aux membres de ma famille les plus proches et qui malheureusement vivent très loin du prison---au Sahara Occidentale),
L’article 75 stipules aussi que l’autorisation à des visites doit avoir lieu dans un local privé et ce qui ne m’a été pas offert,
L’article 92/97/98 concernant les correspondances,
L’article 113 obligeant la non détention pour des raisons de santé et de sécurité, en prenant en considération qu’étant un détenue politique on m’a mis dans la même cellule avec les autres criminels du doit public,
En plus des deux articles 98 et 99 relatifs aux réclamations,
Vu le non respect de l’administration de la prison des dispositions précisées par la loi 23/98 mentionnée là-dessus, je me suis opté pour la correspondance des autorités judiciaires marocaines et le département des prisons mais sans aucune réaction. Et c’est pour cela que j’étais obligé de m’engager dans différentes grèves de la faim d’avertissement pour sensibiliser le public local et international par ma situation, en tant qu’un détenu politique, et pour confirmer mes revendications légitimes qui sont été négligées aussi à leur tour de rôle,
Sous la politique de la négligence commise par l’administration de la prison local (ville de Salé au Maroc) de mes demandes et après avoir essayé toutes les moyens nécessaires, le seul moyen qui me reste pour les réaliser est celui d’entrer dans un nouveau stade de lutte,
-je déclare au public local et international que je vais entrer dans une grève de la faim ouverte et illimitée à commencer le mardi le 21 du Février courant (2008).
-je responsabilise l’Etat marocaine de toutes les répercussions et séquelles qui vont se résulter de cette grève.
- je demande la réalisation de mes demandes légitimes qui s’accordent avec le droit et les chartes internationales, et avec ma situation comme étant un détenu politique.
- je déclare mon soutien et solidarité avec tous les détenus politiques Saharaouis dans les prisons marocaines.
- j’annonce ma ténacité du droit non-discutable du peuple Saharaoui d’autodétermination.
-je fais appel à toutes les institutions et corps estudiantines, politiques, et humanitaires, et à toutes les consciences scrupuleuses pour me supporter afin de pouvoir réaliser mes réclamations.
Par le détenu politique : Said El Baillal
Suite aux circonstances difficiles dont je souffre à la prison locale de la ville marocaine de Salé et qui ne sont pas conformes au minimum des principes de traitements typiques des prisonniers accrédités par les Nations Unies et par les documents légaux en relation avec les droits de l’homme, le droit comparé et les critères reconnus par le communié internationale et relatives à la protection des prisonniers,
Et encore en inconsistance avec toutes les dispositions de la loi marocaine organisant les prisons 23/98,
Surtout l’article 29 qui stipule que le sexe du détenue, la lieu de résidence de sa famille, son état mentale, et ses qualifications doivent être prises en considérations lors de la répartition des détenus à l’intérieur du prison,
L’article 74 donnant une attention spécial pour la maintenance et l’amélioration des relations entre le détenu et ses relatives,
L’article 75 confirmant le droit du détenu d’accueillir les membres de sa famille et encore permettant à n’importe quelqu’un de visiter le détenu sous la condition de préserver l’ordre public et la sécurité. Et ce que j’en déshérite encore, et également la visite directe d’autres personnes (en donnant la permission uniquement aux membres de ma famille les plus proches et qui malheureusement vivent très loin du prison---au Sahara Occidentale),
L’article 75 stipules aussi que l’autorisation à des visites doit avoir lieu dans un local privé et ce qui ne m’a été pas offert,
L’article 92/97/98 concernant les correspondances,
L’article 113 obligeant la non détention pour des raisons de santé et de sécurité, en prenant en considération qu’étant un détenue politique on m’a mis dans la même cellule avec les autres criminels du doit public,
En plus des deux articles 98 et 99 relatifs aux réclamations,
Vu le non respect de l’administration de la prison des dispositions précisées par la loi 23/98 mentionnée là-dessus, je me suis opté pour la correspondance des autorités judiciaires marocaines et le département des prisons mais sans aucune réaction. Et c’est pour cela que j’étais obligé de m’engager dans différentes grèves de la faim d’avertissement pour sensibiliser le public local et international par ma situation, en tant qu’un détenu politique, et pour confirmer mes revendications légitimes qui sont été négligées aussi à leur tour de rôle,
Sous la politique de la négligence commise par l’administration de la prison local (ville de Salé au Maroc) de mes demandes et après avoir essayé toutes les moyens nécessaires, le seul moyen qui me reste pour les réaliser est celui d’entrer dans un nouveau stade de lutte,
-je déclare au public local et international que je vais entrer dans une grève de la faim ouverte et illimitée à commencer le mardi le 21 du Février courant (2008).
-je responsabilise l’Etat marocaine de toutes les répercussions et séquelles qui vont se résulter de cette grève.
- je demande la réalisation de mes demandes légitimes qui s’accordent avec le droit et les chartes internationales, et avec ma situation comme étant un détenu politique.
- je déclare mon soutien et solidarité avec tous les détenus politiques Saharaouis dans les prisons marocaines.
- j’annonce ma ténacité du droit non-discutable du peuple Saharaoui d’autodétermination.
-je fais appel à toutes les institutions et corps estudiantines, politiques, et humanitaires, et à toutes les consciences scrupuleuses pour me supporter afin de pouvoir réaliser mes réclamations.
Par le détenu politique : Said El Baillal
Statement
As a consequence to the serious circumstances that I am enduring in the local prison of Sale (Morocco).
In an incompatibility with the minimal typical rules of treating prisoners which are accredited by the United Nations and with the legal documents related to human rights, compared laws, and the criteria recognised by the international community and linked to prisoner’s protection.
And also in an inconsistency with all exigencies of Moroccan law organizing prisons 23/98,
Especially the article 29 stipulating the sex of the detainee, his family residence, mental state, and his qualifications should be taken into account at the time of prisoners’ repartition inside the jail.
The Article 74 giving a special attention to maintain and improve the relationship between the detainee and his relatives,
The Article 75 confirming the right of the detainee to receive his family members as well as licensing everyone else to visit the detainee, provided that security and order will be preserved. This is what I’m still deprived of and also of the direct visit of other people (giving permission only to my close family members who unfortunately live far away from the prison).
The Article 75 stipulates also that license for visits should take place in a private location and that what I am lacking.
The Articles 92/97/98 concerning correspondences,
The Article 113 obligating the non-detention for health and security reasons, taking into consideration that I (as a political detainee) have been detained in the same prison cell with other criminals.
In addition to the tow articles 98 and 99 related to complaints,
In view of the fact that the prison administration has not abided by the obligations determined by the abovementioned law 23/98, I have proceeded to corresponding the Moroccan juridical authorities and the department of prisons with no response. That is why I was obliged to engage in many warning hunger strikes to sensitize the world, as a political detainee, to my situation and to confirm my legal claims which have been also neglected.
Under the policy of negligence towards my requests which is implemented by the administration of Salé local jail (Morocco) and after I have tried all means, the only remaining solution to achieve them is to enter into a new stage of struggle,
-I declare to the international and local public opinion that I will enter into an open hunger strike starting from Tuesday the 20th current February.
-I ask the Moroccan State to bear the possible repercussions and aftereffects of this strike hunger,
-I claim for granting my legal requests that fits the international laws and charters and my situation as being a political detainee.
-I declare my solidarity with Saharawi detainees in Moroccan prisons.
-I announce my tenacity to the non-discussed right of the Saharawi people for self-determination.
-I adjure all students, political and juristic bodies and the scrupulous conscience to support me in order to achieve my claims.
By the political detainee: Said El-Baillal
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