samedi, octobre 10, 2009

Informations Août 2009


Comite de apoyo al plan de resolucion de naciones unidas
y la proteccion de los recursos naturales en el sahara occidental

El aaiun a 30/09/2009

COMUNICADO

Despues de que haya sido suspendido en varias ocasiones ,hoy se ha celebrado el juicio a los tres activistas saharauis Barkan Mohamed - Jday Abdellahi y Dkhil Hamza conociendo los alrededores de los juzgados de primera instancia del AAIUN un dispositivo de seguridad imprecedente .
Los tres activistas fueron condenados a 1 ano de carcel para barkan mohamed y seis meses de libertad provisional para los dos restantes jday abdellahi y dkhil hamza, los tres fueron encarcelados a raiz de su participacion en las manisfestaciones pacificas que conocio el bario de mattalah en el aaiun la semana pasada , sufriendo en sus carnes todo tipo de maltrato , humillaciones ,,,,etc solo por el hecho de reivindicar su derecho y el de su pueblo por la autodeterminacion e independencia.
A este juicion asistieron los obseravadores internacionales JOSE MANUEL DE LA FUENTE – GUSTAVO A. GARCIA MARTEL – NIEVES CUBAS ARMAS – ROCIO MENDOZA SERRANO todos de nacionalidad espanola y ademas estuvieron representantes de los diferentes comites y asociaciones saharauis de defensa de los derechos humanos como CSPRON – CODAPSO – CODESA - CPPSPM y demas asi como los familiares y un nutrido grupo de activistas y ciudadanos saharauis.


Laayoune/Sahara Occidental
Le 30/ sept/2009.
Lettre d’information CODAPSO:

Procès des jeunes Sahraouis devant le tribunal de la première instance a Laayoune:
Dans la cours du première instance dans la ville de Laayoune/ Sahara Occidental, c'est déroulé le procès du jugement des militants, détenues politique Mr Berkan Mohamed, Jday Abdallah, et Sidi Mohamed alwat.
Et comme d'habitude la cours a condamné Mrs Jday Abdallah et Mr Hamza Dkhil à 6 mois de prison avec sursis (liberté conditionné et sous surveillance), et Mr Berkan Mohamed a un an de prison avec exécution. Sous la présence d'un groupe d'observateurs étrangers tel Mr José Manuelle de la fuente de Badajoz et président du L'ODH, Mme Rossillo Mendez du Séville, Mme Nieves Cubas et Mr Gustavo Garcia représentant le conseil général des avocats Espagnol. Et un grand nombre d'activistes Sahraouis Mr Hmad Hamad vice président du Codapso qu les autorités marocaine l'ont accusés du financement de ces jeunes et qu'il les donne pour leur participation la somme du 2000 dirhams marocain (200 euros), et Mr Dailal Mohamed Saleh membre de ce comité Mr Arbi massod du Codesa , Mr Sbai Ahmed de L'organisation pour la défense des prisonniers Sahraouis, Mr SIdahmed Lemjayed du Recrusos Naturales, et Mr Ismaili Brahim de la conservation du mémoire, Avec le soutien d' un conseil d'avocats. Maitres: Lahbib Khalili, Boukhaled mohamed,Bazaid Lehmad, Lili Mohamed Fadel et Mr Lemrabti Abdel Karim .ainsi les membres des familles des détenues politique et aussi un grand nombre des citoyens sahraouis, sans oublié un certain nombre des ex- détenues politique sahraouis. En mentionnant que les autorités marocaines ont usé une force excessive avec torture contre certain personne qui voulaient assister ce procès tel Mr Said Haddad qui est un handicap qui a subi des coups au niveau de son visage par de membres des service sécuritaire marocain qui a mis un grand siège sécuritaire dans, devant et autour de cet établissement judiciaire.



Lettre d’information ASVDH

El aiun, Sahara Occidental
Le, 20.09.2009

La police marocaine s’est intervenue violemment contre une manifestation pacifique déclenchée ce matain, laissant de trois personnes arrête et en blessant d'autres
Des dizaines de personnes ont tenté d'assister ce matin à environ 01.00 , dans une manifestation pacifique a l’avenue de Smara , scandé des slogans appelant a l’autodétermination avant que les forces de police dirige par l’officier Abdela-Aziz Anouch et son confrère Khalid Barakat interviennent violemment contre les manifestants causant des trois arrestations et d’autre blesses
Selon Mlle Izana Elle a passé plus de cinq heures en détention, les yeux bandée avec un chiffon puant elle a passé également a des étapes différentes de la torture comme « poulet grillé » et l'autre pour en extraire des aveux.

Deux autres jeunes Sahraouis ont également été arrêtés lors de la manifestation qui sont El-Aaroussi Darouich et Mbarek Larabas pendant que trois autre ont été blesse El-Ghalia Alaya , Badr Dine El-Haouassi et Lahbib Aris

Après l’intervention, la police marocaine a commencé une opération de peignage et imposé un blocus au quartier Ma’atala
D’autre part Les Autorités de la prison noir (carcel negra) a El-Aaiun a empêché la famille du prisonnier politique Mohammed Berkan d’ apporter des vêtements pour lui Parce que y compris des robes traditionnelle et que des ordres ont été donnés à l'administration pénitentiaire visant à interdire strictement le passage de ce type de vêtements.


El-Aaiun - Western Sahara
20.09.2009
English Newsletter



. The Moroccan police had violently intervened against a peaceful demonstration in smara avenue in El-Aain Western Sahara , leaving three people arrested and injuring others.

Dozens of Sahraouis attempted to attend this morning at about 01.00 gmt, in a peaceful demonstration in Smara avenue , chanted slogans calling for enabling the Saharawi people the exercise of their inalienable right to self-determination before police elements directed by the officer Abdel-Aziz Anouch and his colleague Khalid Barakat intervene violently against the demonstrators resulting three arrests and another wounded
According to Miss Izana She spent more than five hours in detention, her eyes bandaged with a smelling cloth, it also passed in a various stages of torture as "grilled chicken" and other to extract confessions.
Two other young Sahrawis were also arrested during that demonstration are Laroussi El-Darwish and Mbarek Larabas while three others were wounded El Ghalia Alaya, Badr Din El-Haouassi and Lahbib Aris
the Moroccan police has started a combing operation and imposed a blockade on the Ma'atala square
On the other hand the authorities of the black prison (carcel negra) in El-Aaiun prevented the family of the political prisoner Mohammed Berkan of providing clothes for him because it including traditional dresses and and that orders were given to prison authorities to strictly prohibit the passage of this type of clothing.
Lettre Lettre d’information ASVDH

El aiun, Sahara Occidental
Le, 01.09.2009

Une jeune fille Sahraoui âgée de 24 ans a été blessée hier soir par les forces marocaines lors d’une manifestation pacifique.
Mlle Salha Boutngaiza était parmi les participants de la manifestation pacifique qui a eu lieu hier lundi 31 août 2009 dans le quartier Zemla de El-Aaiun au Sahara Occidental.
Les organisateurs et les manifestants appelaient à l'indépendance du territoire.
Les forces de police marocaines sont intervenues violemment pour disperser les manifestants.
Mlle Salha a confirmé que de nombreux policiers portaient des tenues civiles. Ils étaient dirigés par l'officier Abdel-Aziz Anouch (Touhima) et par Khaled Barakat.
D'autre part, un activiste des droits de l'homme a été enlevé le même jour à El-Aaiun avant d’être emmené à l'extérieur de la ville où il a été interrogé et torturé.
Le 26 août 2009, M. El-Gasmi Lahbib, ancien prisonnier politique, venait de rentrer de la ville de Tan Tan au Sud du Maroc où il souhaitait assister au procès de l'activiste Neaama Asfari lorsqu’il a été arrêté ainsi que 11 autres militants Sahraouis des droits de l’homme. La détention qui a duré 9 h a empêché les militants d’assister au procès.

Note:
Les victimes sahraouies de violations des droits de l’homme commises par les autorités marocaines, sont de plus en plus nombreuses au Sahara Occidental.
Les milliers de plaintes déposées au cours des quatre dernières années devant les tribunaux Marocains, ne sont pas enregistrées ni traitées pour la raison officielle du manque de preuve.
Néanmoins, aucune enquête n’a jamais été diligentée pour la recherche de preuve ou la vérification de plaintes.

El-Aaiun - Western Sahara
01.09.2009
Newsletter

A Sahraoui young girl aged 24 was injured last night at the hands of the Moroccan forces during a peaceful demonstration.
Ms. Salha Boutngaiza was among the participants in the peaceful demonstration which took place on Monday, August 31, 2009 in Zemla district in El-Aaiun, Western Sahara.
The organizers and protesters were shouting slogans calling for independence of the occupied territory.
The Moroccan police intervened violently to disperse the demonstrators..
Ms. Salha confirmed that many officers wore civilian clothes. They were directed by the officer Abdel-Aziz Anouch (Touhima) and Khaled Barakat.
On the other hand, a Human Rights activist was kidnapped the same day in El-Aaiun before being taken outside the city where he was interrogated and tortured.
On August 26, 2009, Mr. El-Gasmi Lahbib, former political prisoner, was trying to enter to the town of Tan Tan in southern Morocco where he wanted to attend the trial of the Human Rights activist Neaama Asfari. He was arrested with 11 other Sahrawi human rights activists.
The detention lasted 9 hours and prevented the activists from attending the trial.
Note:
The Sahrawi victims of violations of human rights committed by the Moroccan authorities are increasing in Western Sahara.
The thousands of complaints over the last four years before Moroccan courts are not filed or processed for the main reason of the lack of evidence.
However, no investigation has ever been made nor conducted to search evidence or to verify the nature of complaints.


El DEFENSOR DE LOS DERECHOS HUMANOS DEL PUEBLO SAHARAUI, ENAAMA ASFARI ES PROCESADO EN TAN TAN (MARRUECOS), POR PORTAR UN LLAVERO CON LA BANDERA DE LA REPUBLICA SAHARAUI DEMOCRATICA, QUE PROVOCO UN INCIDENTE CON LA POLICIA. ASISTEN DOS OBSERVADORES INTERNACIONALES.

El juicio se celebra en la ciudad marroquí de Tan Tan, habiéndose suspendido por la retirada de todos los abogados de la defensa que consideran la celebración del juicio contrario al derecho. Se reanudaran las sesiones el próximo día 27 de agosto, con la presencia de Observadores Internacionales.


El 24 de Agosto, se ha comenzado en Tan Tan el juicio contra el activista Enaama Asfari, que ha congregado numerosa población en Tan Tan, entre la población saharaui y activistas de los derechos humanos de los numerosos comités que trabajan en el Sahara Occidental intentaron acceder a la sede del tribunal estaban:

Sidi Mohamed Dadach (Presidente CODAPSO)
Brahim SABBAR (secretario general de ASVDH)
Aminatou AIDAR (Presidenta de CODESA)
Ali Salem TAMEK (Miembro de CODESA)
LEMJIYED Sid Ahmed (Presidente de CSPRON – recursos naturales)
Brahim DAHAN (Presidente de ASVDH)
Soukaina JADHALOU (miembro de ASVDH et Presidenta del Forum de l’avenir pour la femme sarhaouie)
Hmad HAMMAD (miembro de CODAPSO)
Amed SBAI (secretario general de APPPSO – defensor de los presos)
NASRI Hamed (miembro de ASVDH et secretario general de CDDH de Smara)
Soultana KHAYA (miembro ASVDH)
N’Guiya BOUKHARAS (miembro CDDH à Smara)
YAHDIH TEROUZI (defensor de los derechos humanos)
Larbi MENAOUD (defensor de los derechos humanos)

Entre el tumulto, provocado por la dispersión por las fuerzas y cuerpos de seguridad de estado, de los ciudadanos congregados en las inmediaciones, pudo acceder la misión de observación a la puerta de entrada, donde se impidió su acceso, y se pretendió que no accedieran a la sala. Sólo tras fuertes discusiones, cedieron las fuerzas de seguridad y accedió a la sala, únicamente Rosario García, Aline Chanu, Hmad Hamad, Lemjiyed Sid Ahmed y Jose Manuel de la Fuente. Dentro de la sala, estaban ya los acusados, le padre, la madre, y el hermano de Enaama Asfari, y comenzó el juicio, con la asistencia de 53 personas entre el publico.

Los abogados de la defensa, que ejercen su trabajo de forma desinteresada fueron Mohamed BOUKALED (El Aaiun)
Mohamed LAHBIB ERGUIBI (El Aaiun)
Mohamed FADEL LILI (El Aaiun)
Hassan BENEMMAN (El Aaiun)
Antar EL OIWFI (Guilemine)
Chalouk ABDELLHA (Guilemine)

El desarrollo del proceso es como sigue:

Los acusados son llevados a presencia del tribunal y se llama igualmente a los policías victimas de los acusados, que intervinieron contra los acusados y que lo golpearon y detuvieron, ninguno de ellos compareció.

El acusado y activista, salido al estrado pidiendo la independencia del Sahara Occidental, y gritando el derecho de autodeterminación del pueblo saharaui, así como enseñaba la insignia de la bandera de la RASD que portaba, se dirigía al tribunal y al publico que estaba en la sala.

Las defensas de forma unánime en sus intervenciones exigieron al tribunal un juicio justo, pues la presencia de los observadores internacionales Sra. Chanu y Sr. De la Fuente, demostraban la preocupación de la comunidad internacional por este juicio político.

Pidieron vehementemente al tribunal que impidiera la celebración de un juicio injusto en condiciones de coacción y temor, y que casi todo el publico era Policía de paisano, habiendo sido reprimida violentamente las personas que se habían desplazado desde todos los lugares del Sahara Occidental para asistir al juicio contra Asfari.

El procurador del Rey manifestó que era publico el juicio y que podían entrar.

Las defensas igualmente SEÑALARON QUE LA INCOMPARECENCIA DE LOS POLICIAS DENUNCIANTES Y PRESUNTAMENTE VICTIMAS DEL SR. ASFARI, UNICOS TESTIGOS DE LO SUCEDIDO, NO ESTABAN EN LA SALA debiendo celebrarse en su ausencia pues habían sido convocados.

El tribunal deliberó y ordeno que se abrieran las puertas de la sala a quien quisiera entrar, y mandó a un ujier para que llamase fuera al publico. Fuera y por los pasillos, solo había policía por lo que accedieron mas policías a la sala.

Pretendió el tribunal que continuase el juicio pero las defensas EN BLOQUE SE RETIRARON Y ABANDONARON LA SALA ANTE LA CELEBRACION DEL JUICIO CONTRARIO AL DERECHO MARROQUI.

El tribunal decidió que debía señalarse para otro día, y así se hizo para el próximo 27 de Agosto, dejando en prisión nuevamente a Asfari, y dejando en libertad provisional a su acompañante y juzgado en el mismo proceso.
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El aaiun, Sahara Occidental,
Le 24/08/09
Lettre d'information ASVDH

L’ASVDH a appris que, son président MR Brahime Dahanne accompagné, de Mlle Sultana Khaya vice présidente du forum pour laVenir de la Femme Sahraouie, membre de l’ASVDH et l’étudiante à l’université de Marrakech Safia Hamdi, qui ont été en destination à la ville de TanTan pour assister le procès de Mr ENNaama Asfari l’activiste de droit de l’homme et co-président du CORELSO, qui a lieu le 24/08/09 au tribunal de première instance.
Ce groupe a été arrêté pendant 40 min et refouler au check point de TanTan à 04 :00 du matin par la police chapeauté par le Commissaire Mr Mustapha Kamour, connu de vrai tortionnaire lors de son travail à Laayoune. Des dizaines de plaintes ont été déposé à son encontre, restent sans suite.
Les refoules ont passé la bonne matinée à el Watia à 26 Km de TanTan. Ils ont été mal traité par la police, et le président de l’ASVDH a reçu des coups de la part du commissaire kamour Mustapha.
Vers 10 :00 du matin ils sont retournés au check point pour rentrer à Tantan où ils été arrêté une autre fois pour 20min pour les laisser accéder finalement.
Dans le même contexte l’ASVDH a appris qu’un groupe des jeunes Sahraouis voulant assister au procès de Mr Enneaama ASfari ont été arrêtés a 10 :30 au même endroit et ils sont conduit vers le commissariat de TanTan parmi eux des activistes de droit de l’homme et des ex prisonniers Sahraouis, sont : Hassanna Allaya, Lehbib Elgasmi, Hassan Dah et Elbachir Khedda .


El-Aaiun - Western Sahara
24.08.2009
Newsletter

The ASVDH was informed that its president Mr Brahim Dahan accompanied with Miss Sultana Khaya, vice president of the Forum for the Future of Saharawi Women,, a member of ASVDH,and the student at the University of Marrakech Safia Hamdi, and Mr. Sbaii Ahmed, the secretary general of the Saharan committee for the protection of the political prisoners, as they were all going were to the city of TanTan to attend the trial of Mr Asfari Ennaâma, the human rights activist and co-president of CORELSO, which took place on 24/08/09 at the court of first instance.
The group was arrested at the southern checkpoint of the city for 40 minutes before being assaulted and expelled at 4.00 GMT by police force agents headed by the torturer Mustafa Kamour known as one of the worst torturers during his work in El-Aaiun.
Dozens of complaints have been filed against him and still remain unanswered.

After all abuses suffered at the hands of the Moroccan police forces, including what happened to Mr. Brahim Dahan when he was slapped, the Moroccan authorities forced the group to go back to the city of El-Wattya 26 km west of Tan-Tan City.
At 10.00 a.m , they returned to the checkpoint to enter to Tantan. They were arrested again for 20 min before to being allowed to access the city.
In the same context, ASVDH was informed that a group of Sahrawi youngesters ,among whom human rights activists and former Sahrawi prisoners: Hassanna Allaya, Lehbib Elgasmi Hassan Dah and Elbachir Khedda. tried to attend the trial of Mr Asfari Enneaama arrested a 10: 30 a.m in but were arrested and droven to the police station in Tantan City.


COMMUNIQUE CODESA
The Sahrawi human rights defenders are still suffering different sorts of harassment , repession , arrest, torture, abduction, deprivation or dismissal of work, confiscation of passports, prohibition of assembly and deprivation of study. The Moroccan authorities exercise all this pressure on the Sahrawi defenders because of their advocation for self-determination for the Western Sahran people.
In this respect, the trial of the human rights defender, Ennaama Asfari will take place on August 24th, 2009 in Tantan, South Morocco after he participated among a group of Sahrawi human rights defenders in the Second African Cultural Festival held in Algiers from June 04th to June 20th, 2009.
The Executive Board of the Collective of Sahrawi Human Rights Defenders, CODESA,
- expresses its solidarity with the Sahrawi defender, Ennaama Asfari, his family and all the militants in The Committe of the Defence of the General Freedoms in the Western Sahara.
- denounces the police harassment and arbitrary arrests against the Sahrawi human rights defenders in the Western Sahara and their trials since May 21st, 2005.
- calls the Moroccan state to garantee fair trials for the Sahrawi defenders, Ennaama Asfari in Tantan, south Morocco, Ali Salem Ablagh, Brahim Baryaz and Said Elwaaban, in Marrakech, Morocco, and Chaikh Amidan in El Aiun, Western Sahara.
- Appeals the international human rights associations and organisations to exert enough pressure on the Moroccan state in order to respect Paris Declaration for the Prtection of Human Rights Defenders and the release of all the Sahrawi political prisoners.

The Collective of Sahrawi Human Rights Defenders, CODESA,
El Aaiun, Western Sahara
August 24th, 2009



El recibimiento popular a la activista de Derechos Humanos Sultana Jaya se salda con numerosos civiles saharauis heridos

Regresaba de España, donde recibió tratamiento médico por la pérdida de un ojo a manos de la policía marroquí en Marrakech

El Aaiun.- Durante el día de ayer, 18 de agosto, la policía marroquí “llevó a cabo una intervención brutal en los alrededores del aeropuerto de El Aaiún, capital del Sahara Occidental, par impedir el recibimiento popular que gran número de ciudadanos saharauis había preparado a la activista de Derechos Humanos Sultana Jaya”, que regresaba de España después de varios meses de tratamiento médico para las lesiones recibidas en Marrakech por las fuerzas de seguridad marroquíes el 9 de mayo de 2007 y que le provocaron la pérdida de un ojo, según comunicó el Comité para la Defensa del Derecho a la Autodeterminación para el Pueblo Saharaui (CODAPSO) en una nota remitida al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC).

La organización saharaui denuncia que “todos los accesos a la capital saharaui permanecieron bajo un estricto control policial, militar y de seguridad a lo largo del día en previsión de la llegada de Sultana” y lo mismo sucedió en Bojador, ciudad a la que pensaba trasladarse la activista de Derechos Humanos “y a lo largo de todo el trayecto que une ambos puntos”. Asimismo, “se produjeron varias cargas policiales con enorme brutalidad y se violó el domicilio de numerosos ciudadanos saharauis, especialmente, aquellos relacionados con la defensa de los Derechos Humanos en el territorio del Sahara ocupado por Marruecos”.

Entre los “numerosos heridos”, CODAPSO cita a los ciudadanos saharauis Fatma Amidan, Dhaiba Samhi, Izana Amidan, Sara Abdo, Abdelghani Kabdana, Saadani Olaya, Said Hadad y Salha Boutenguiza y denuncia que el hospital de la ciudad a la que fueron trasladados por familiares y amigos “se niega a proporcionarles certificados médicos de sus heridas para evitar que puedan llevar a los responsables ante la justicia”, indica el comunicado.

El caso de Sultana no es único. La mujer saharaui ha sido desde la ocupación marroquí del Sahara Occidental en 1975 la piedra piramidal sobre la que se ha asentado la resistencia de su pueblo. Violaciones, torturas, malos tratos, detenciones arbitrarias, abortos forzosos, asesinatos de bebés, secuestro de sus hijos o desapariciones son las armas que se despliegan contra ellas un día tras otro desde hace 33 años, tal y como confirman organizaciones internacionales de tanta credibilidad como Amnistía Internacional o Human Right Watch. Sultana es una de ellas, un caso que simboliza la tragedia de todas y cada una de las mujeres saharauis, sus madres, sus hijas y sus hermanas, una tragedia que apenas despierta el interés de la comunidad internacional y de aquellos gobiernos que se denominan democráticos.

El 9 de mayo de 2007, Sultana Jaya, una joven saharaui natural de Bojador “desterrada” por las autoridades de ocupación en el Sahara al territorio marroquí por su participación en manifestaciones pacíficas en defensa de los derechos humanos, participaba en una sentada junto con sus compañeros estudiantes de la Universidad de Marrakech. Súbitamente, centenares de unidades antidisturbios cargaban contra las pocas decenas de estudiantes saharauis que coreaban consignas y Sultana era “salvajemente golpeada”. Fruto de “la paliza” la bella joven saharaui perdía un ojo.

Sujetándolo en su propias manos, era trasladada a la comisaría de Jamaa Lafnaa. Sin recibir asistencia médica alguna, Sultana era interrogada durante horas al borde de la inconsciencia. Aún así, todavía recuerda a uno de los policías decirle a un compañero que le pegara más para que perdiera su entonces ya único ojo y le viene a su mente la imagen de los gatos de la comisaría lamiendo su sangre mientras permanecía tirada en el suelo. Hoy, recuperándose en España de las secuelas de la salvaje agresión, sólo espera volver al Sahara mientras intenta dar a conocer la situación que viven los saharauis en su propia tierra.

En noviembre de 2008, Sultana Jaya declaraba al SCSC: “Tenemos la suficiente convicción en la justicia de nuestra causa y podemos resistir cien años, la paciencia es un `defecto´ de los nómadas del desierto pero nunca nos van a doblegar”. (SCSC)

Lettre d’information ASVDH

El aiun, Sahara Occidental
Le, 17.08.2009

Le tribunal de première instance à Tan Tan sud du Maroc a reporté le jugement de M. Naama Asfari coprésident du Comité franco sahraoui pour le Respect des Libertés et des Droits humains au Sahara Occidental (CORELSO), pour le lundi prochain
Mr Asfari Naama, ex-prisonnier de conscience a confirmé que Les Autorités marocaines délibérément restrictive lui depuis son retour d'Algérie Juillet dernier, et ça ce qui confirmé par les raisons de son arrestation, vendredi dernier.
Il a ajouté qu'il avait été battu par des dizaines de policiers, qui leur a décrit comme le séparatiste, et l'agent de l'Algérie.
L'ASVDH sera publié tard un rapport détaillé sur les circonstances de l'arrestation de Mr Naama Asfari

D'autre coté un citoyen sahraoui a été grièvement" blessés au cours d'une agression perpétrée samedi par les forces de sécurité marocaines a Boujdour sud du El-Aaiun – Sahara occidental
Mr Brahim Kashi 39 ans a était proteste contre une statut de stationnement illicite d'une voiture de police a l'avenue principale de la ville de Boujdour quand il a surpris qu'une autre voiture de police a pris un stand derrière lui débarque des éléments de la sécurité qui l'ont frappé jusqu'à ce qu'il soit transféré à l'hôpital de la ville.

El-Aaiun - Western Sahara
17.08.2009
Newsletter

The Moroccan court of first instance postponed today Monday the trial of the advocate of human rights, co president of the Franco-Sahrawi committee for the Respect of Freedoms and Human Rights in Western Sahara (CORELSO) Mr. Naama Asfari, to next Monday .
Mr Naama Asfari, former prisoner of conscience has confirmed that the Moroccan authorities deliberately him since his return from Algeria last July that what confirmed by the reasons for his arrest last Friday. He added that he had been beaten by dozens of police elements , which they described him as the separatist, and the agent of Algeria.
The ASVDH will publish later a detailed report on the circumstances of the arrest of Mr Naama Asfari
On other hand a Saharawi citizen was seriously wounded Saturday during an attack by the Moroccan security forces in the city of Boujdour south of El-Aaiun - Western Sahara
Mr Brahim Kashi 39 years was protesting against an illegal status of a police car parking in the Boujdour main avenue when he was surprised that another police car took a stand behind him landed a security elements and beat him until it was transferred to the city s hospital .

Lettre d’information ASVDH

El aiun, Sahara Occidental
Le, 15.08.2009

Arrestation d'un défenseur sahraoui de droits de l'homme a Tan-Tan – sud du Maroc

Les Autorités marocaines ont arrêté jeudi soir vers 22.00 le défenseur des droits de l'homme et vice président du Comité franco sahraoui pour le Respect des Libertés et des Droits humains au Sahara occidental (CORELSO) Mr Neaama Asfari au poste de contrôle au nord de la ville de Tan Tan au sud du Maroc.
Dans un entretien téléphonique avec l'ASVDH Mme Claude Mongin L'épouse de Mr. Neaama a indiqué que des traces de coups sur son corps sont visibles et ses lunettes brisées. Et qu'il va être présenté demain devant le procureur du roi au tribunal de première instance vers 12.00 sans savoir les charges retenues contre lui.
L'ASVDH craint que l'agression contre Mr Asfari s'inscrit dans le cadre d'une revenge contre ses postions politique et ses activités au tant que militant de droits de l'homme . en particulier que le chef de la sécurité de la ville, Mustafa Kamour est un des officiers impliqué dans une série de violations contre de dizaines des citoyens Sahraouis a la ville de El-Aaiun – Sahara Occidental


El-Aaiun - Western Sahara
15.08.2009
Newsletter

Arrest of human rights defender
The Moroccan authorities have arrested Thursday evening around 22.00 the human rights defender and vice president of the French Committee for the respect of Freedom and Human Rights in the Western Sahara (CORELSO), Mr Neaama Asfari at the checkpoint north of the city of Tan Tan in south of Morocco.
In a telephone conversation with ASVDH Mrs. Claude Mongin wife of Mr. Neaama indicated that a traces of beatings on his body can be seen while his glasses broken she add that he will be presented tomorrow before of the prosecutor of the king at 12.00 o'clock without knowing or fully understanding the charges against him
The ASVDH fears that the attack against Mr Asfari is part of revenge against his political positions and his human rights activities, In particular, the security chief of the city, Mustafa Kamour is one of the officers involved in a series of violations committed against dozens of Saharans citizens in the city of El-Aaiun - Sahara Occidental