Mme. DJIMI Elghalia, vice présidente de l’ASVDH interdite de quitter le territoire
Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -
El-Ayoune, Sahara Occidental
Le 12 octobre 2007
Communiqué
Les autorités marocaines viennent de d’interdire, aujourd’hui vendredi 12 octobre, Mme. DJIMI Elghalia, vice présidente de l’ASVDH, de quitter le territoire en faisant pression sur son directeur de travail qui a refusé de lui signer son congé annuel, qui devrait commencer à partir du 15 octobre au 26 novembre 2007, et l’autorisation de quitter le territoire. Nous rappelons que Mme DJIMI avait un programme chargé avec des Organisations Internationale des Droits Humains, en Europe, dont Front Line (Irlande), section d’Amnistie Internationale (France). Durant ce programme Mme. DJIMI envisageait parler, au nom de l’ASVDH dont elle est la vice présidente, de la situation des droits de l’homme au Sahara Occidental et aussi de la situation de notre association que les autorités marocaines refusent toujours de reconnaître et dont trois de ses membres se trouvent en prison à cause de leur adhésion à l’ASVDH et à leurs activités en tant que défenseurs des droits humains
Cette décision vient juste après la participation de deux membres de l’ASVDH (Association Sahraouie des Victimes des Violations Graves des Droits Humains Commises par l’Etat Marocain) aux activités de la 6ème session du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU à Genève. Cette décision donc s’inscrit dans une politique systématique contre les défenseurs des droits humains, et surtout les membres de l’ASVDH.
Le directeur provincial de l’Agriculture à El-Ayoune, dans laquelle travaille Mme. DJIMI justifie son refus de signer le congé et l’autorisation de quitter le territoire pour des raisons de nécessiter de travail alors qu’il se trouve que depuis son retour au travail 1993, après sa libération de la disparition forcée en 1991, l’administration a toujours refuser de la charger d’aucune tache et sa présence au bureau est devenu une routine ni plus ni moins.
Cette décision est un acte répressif scandaleux à l’égard de Mm. DJIMI et une escalade d’intimidation, de restriction et d’interdiction contre l’ASVDH et tous les défenseurs sahraouis des droits humains en général.
Signé :
Le président : Brahim DAHANE
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
- A S V D H -
El-Ayoune, Sahara Occidental
Le 12 octobre 2007
Communiqué
Les autorités marocaines viennent de d’interdire, aujourd’hui vendredi 12 octobre, Mme. DJIMI Elghalia, vice présidente de l’ASVDH, de quitter le territoire en faisant pression sur son directeur de travail qui a refusé de lui signer son congé annuel, qui devrait commencer à partir du 15 octobre au 26 novembre 2007, et l’autorisation de quitter le territoire. Nous rappelons que Mme DJIMI avait un programme chargé avec des Organisations Internationale des Droits Humains, en Europe, dont Front Line (Irlande), section d’Amnistie Internationale (France). Durant ce programme Mme. DJIMI envisageait parler, au nom de l’ASVDH dont elle est la vice présidente, de la situation des droits de l’homme au Sahara Occidental et aussi de la situation de notre association que les autorités marocaines refusent toujours de reconnaître et dont trois de ses membres se trouvent en prison à cause de leur adhésion à l’ASVDH et à leurs activités en tant que défenseurs des droits humains
Cette décision vient juste après la participation de deux membres de l’ASVDH (Association Sahraouie des Victimes des Violations Graves des Droits Humains Commises par l’Etat Marocain) aux activités de la 6ème session du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU à Genève. Cette décision donc s’inscrit dans une politique systématique contre les défenseurs des droits humains, et surtout les membres de l’ASVDH.
Le directeur provincial de l’Agriculture à El-Ayoune, dans laquelle travaille Mme. DJIMI justifie son refus de signer le congé et l’autorisation de quitter le territoire pour des raisons de nécessiter de travail alors qu’il se trouve que depuis son retour au travail 1993, après sa libération de la disparition forcée en 1991, l’administration a toujours refuser de la charger d’aucune tache et sa présence au bureau est devenu une routine ni plus ni moins.
Cette décision est un acte répressif scandaleux à l’égard de Mm. DJIMI et une escalade d’intimidation, de restriction et d’interdiction contre l’ASVDH et tous les défenseurs sahraouis des droits humains en général.
Signé :
Le président : Brahim DAHANE
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