mardi, mars 20, 2007

Affrontement et répression sauvage à Dakhla

Lettre d’information

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mardi 13 mars 2007

Affrontement et répression sauvage à Dakhla

Les forces répressives marocaines, ont intervenu sauvagement, lundi 12 mars 2007, contre les des citoyens sahraouis, qui se manifestaient, devant l’hôpital Hassan II, vers 13h GMT, en solidarité avec les victimes d’autres citoyens sahraouis qui ont été victimes de la disparition et de la torture la nuit du dimanche 11 mars 2007. Les autorités marocaines, soutenant un groupe de citoyens marocains, avaient attaqué, la nuit du dimanche, trois citoyens sahraouis. Ainsi, le citoyen sahraoui, Mr. Baba Ahmed Ali Salem Barchraya, avait été arrêté par les forces sécuritaires marocaines qui l’ont torturé, alors que, les citoyens sahraouis, Mr. Echeiya Bouailla et Mr. Sidati Ould Bahi Ould Echein, ont été attaqué et agressé par des citoyens marocains. La même nuit, des citoyens marocains avaient également attaqué l’artiste mauritanienne, Dimi ment Abba, et des membres de sa troupe, ce qui poussé cette dernière à boycotter la foire que les autorités marocaines avaient organisé dans la ville de Dakhla.
Nous rappelons aussi, que la ségrégation à l’égard des citoyens sahraouis, avait dépassé les actes violents. Ainsi, le corps médical de l’hôpital Hassan II avait refusé d’accueillir les victimes de leur offrir les soins nécessaires, sous le prétexte qu’il y a des ordres suprêmes dans ce sens, ce qui a obligé certaines victimes à se diriger vers l’hôpital militaire pour se faire soigner. Cependant, ces derniers se sont refusés le droit à des certificats médicaux. De même, le député et président de la commune de Lagouira, Mr. Mohamed Boubakar, a été victime de tabassage, lui et Mr. Cheikh Banan, président de la commune d’Aousserd. En outre, l’ex-député et membre du CORCAS, Mme Hayat ment Elmokhtar, mère du défenseur des droits Humain, Mr. Baba Ahmed Ali Salem Barchraya, avait été victime d’hostilité et d’insultes et injures. A une heure tardive du soir du lundi 12 mars2007, le défenseur des droits humains, Mr. Balla Ould Bouailla, avait été retrouvé à la sortie de la ville, dans un état critique, où il avait été rejeté après été torturé dans les locaux de la police, après suite à son arrestation lors du sit-in qui a eu lieu devant l’hôpital de Dakhla.
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El-Ayoune - Western Sahara
Tuesday March 13, 2007

Confrontation and savage repression in Dakhla

The Moroccan repressive forces, intervened savagely, on Monday March 12, 2007, against citizens sahraouis, who appeared, in front of the hospital Hassan II, towards 13h GMT, in solidarity with the victims of other citizens sahraouis who were victims of disappearance and torture the night of Sunday March 11, 2007. The Moroccan authorities, supporting a group of Moroccan citizens, had attacked, the night of Sunday, three citizens sahraouis. Thus, the citizen sahraoui, Mr. Baba Ahmed Ali Salem Barchraya, had been stopped by the Moroccan sedentary forces which tortured it, whereas, the citizens sahraouis, Mr. Echeiya Bouailla and Mr. Sidati Ould Bahi Ould Echein, were attacked and attacked by Moroccan citizens. The same night, of the Moroccan citizens had also attacked the artist Mauritanian, Dimi lies Abba, and of the members of its troop, which thorough the latter to boycott the fair that the Moroccan authorities had organized in the town of Dakhla. We as point out, as the segregation with regard to the citizens sahraouis, had exceeded the acts violent one. Thus, the medical profession of the hospital Hassan II had refused to accomodate the victims to offer the care necessary to them, under the pretext that there are supreme orders in this direction, which obliged certain victims to move towards the military hospital to be made look after. However, the latter refused the right to medical certificates. In the same way, the deputy and chair commune of Lagouira, Mr. Mohamed Boubakar, was victim of tabassage, him and Mr. Sheik Banan, president of the commune of Aousserd. Moreover, the former deputy and member of the CORCAS, Mrs. Hayat lie Elmokhtar, mother of the defender of the Humain rights, Mr. Baba Ahmed Ali Salem Barchraya, had been victim of hostility and insults and insults. At one hour late of the evening of Monday March 12, 2007, the defender of the human rights, Mr. Balla Ould Bouailla, had been found at the exit of the city, in a critical state, where it had been rejected after summer tortured in the buildings of the police force, afterwards following its arrest at the time of the sit-in which took place in front of the hospital of Dakhla.

Transfert arbitraire du détenu politique sahraoui, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA

Lettre d’information ASVDH

El-Ayoune – Sahara Occidental
Vendredi 16 mars 2007

Transfert arbitraire du détenu politique sahraoui, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA

La famille du détenu politique sahraoui, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA, vient d’être informée, aujourd’hui vendredi 16 mars 2007, que son fils a été transféré, tôt ce matin, vers la prison locale de Tiznit, Maroc. La famille qui est inquiète sur le sort de son fils malade et qui devait subir une opération chirurgicale, suite à des troubles de santé résultant de la grève de la faim qu’il a entamé avec ses camarades depuis le 30 janvier 2007. De même, la famille de Mr. CHOUBEIDA, affirme avoir visité leur fils hier, jeudi 15 mars 2007, et que ce dernier ignorait tout information sur son transfère.
La transfère de Mr. CHOUBEIDA, qui est au fait une atteinte à ces droits, en tant que détenu politique, et une déportation forcée, s’ajoute à une série d’acte de vengeance qu’il a subit, allant de mauvais traitement dans la prison noire, en passant par le procès inique et finissant par sa déportation.
Nous rappelons que Mr. CHOUBEIDA a été condamné à an et demi de prison. Cette sentence a été confirmé le mardi 13 mars 2007, par la cour d’appel d’El-Ayoune, et qu’il avait annoncé, auparavant, son rejet de la nationalité marocaine. La famille du détenu politique sahraoui, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA, s’inquiète sur le sort de son fils alors qu’elle ne peut plus lui rendre visite régulièrement vu la distance entre le lieu de sa détention et la ville d’El-Ayoune. La ville de Tiznit, où est transféré Mr. CHOUBEIDA, se trouve à plus de 500 Kms d’El-Ayoune.
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El-Ayoune - Western Sahara
Friday March 16, 2007

Arbitrary transfer of the Sahrawi political prisoner, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA

The family of the Sahrawi political prisoner, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA, has been just informed, today Friday March 16, 2007, that their son was transferred, early this morning, towards the local prison of Tiznit, Morocco. The family feels anxious about the fate of their sick son, who was to undergo a surgical operation, following illness resulting from the hunger strike that he started with his comrades since January 30, 2007. In the same way, the family of Mr. CHOUBEIDA, affirms to have visited their son yesterday, Thursday March 15, 2007, and that the latter has no information on his transfer. The transfer of Mr. CHOUBEIDA, which is in fact an attack to his rights, as a political prisoner, and a forced deportation, is added to a series of acts of revenge which he has undergone, starting with the ill treatment in the black prison, passing through the unfair lawsuit and finishing by his deportation.
We point out that Mr. CHOUBEIDA was condemned to one year and half of prison. This sentence was confirmed on Tuesday March 13, 2007, by the Court of Appeal of El-Ayoune, and that he had announced, before, his rejection of the Moroccan nationality.
The family of the Sahrawi political prisoner, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA, worries on the fate of their son whereas they cannot any more visit him regularly considering the distance between the place of his detention and the town of El-Ayoune. The town of Tiznit, to where Mr. CHOUBEIDA is transferred, is at more than 500 Kms far from El-Ayoune.

Comunicado ASOCIACION SAHARAUI DE VICTIMAS DE FLAGRANTES

ASOCIACION SAHARAUI DE VICTIMAS DE FLAGRANTES
VIOLACIONES DE DERECHOS HUMANOS

COMISION DE APOYO PARA LA AUTODETERMINACION
DEL PUEBLO SAHARAUI


MANIFIESTO


La liga española de derechos humanos junto a otra asociacion que , supuestamente,tambien aboga por la defensa de los derechos humanos llamada « asociacion saharaui de derechos humanos », han publicado un manifiesto conjunto con fecha de 22 febrero de 2007 en Aaiun,
capital del Sahara Occidental , acerca de la visita efectuada por la Liga española de Derechos
Humanos a los territorios de esta zona ,en respuesta a la invitacion hecha por la supuesta
asciacion saharaui .El manifiesto ha hecho referencia, junto a otras cosas a lo siguiente :
-La visita ha comprendido encuentros con asociaciones civiles en el Sahara Occidental y representantes poliuticos y gubernamentales , asi como a las asociaciones de presos politicos
saharauis de ambas partes :Polisario y Marruecos.
Segun el manifiesto , las reivindicaciones de las victimas se limitaron a las estrictamente economicas.
Asimismo , la delegacion ha expresado su acuerdo para establecer posteriores
encuentros entre saharauis de dentro y fuera del territorio y , por ultimo, han hecho
referencia a que , durante su visita , no presenciaron ningun tipo de manifestaciones ni
disturbios de orden publicos.
Las asociaciones abajo firmantes expresan su extrañeza de la manera en que fue escrito
el manifiesto conjunto que incluye acepciones incomprensibles como : crear ambientes
de concordia o reconciliacion entre los saharauis de dentro y fuera como si el conflicto
del Sahara Occidental fuese , inicamente, entre saharauis , lo que contradice y no se aviene
a los estatutos de Naciones Unidas y del Consejo de Seguridad , ,asi como todas las instituciones juridicas y politicas , tanto regionales como internacionales.
-Tambien expresamos nuestra extrañeza por la visita de la liga española de Derechos Humanos al territorio , precisamente , en estas circunstacias ,cuando un sinfin de delegaciones
y comisiones juridicas le fueron denegadas sus visitas , por parte de las autoridades , siendo la ultima de ellas , la comision especial parlamentaria de Derechos Humanos .-
-Cual es el motivo por el que la Liga española de Derechos Humanos no se puso en contacto
con las asociaciones de DDHH locales , de las que parte de sus miembros permanecen en prision y mantienen una huelga de hambre estos dias.Todo ello ,a pesar de los multiples esfuerzos por parte de estas asociaciones en contactar con los miembros de la Liga , siendo el
ultimo , la llamada telefonica del presidente de la asociacion saharaui de los victimas de
violaciones flagrantes de Derechos Humanos al señor Miguel.
La liga española se limito al encuentro con algunas personas que habian formulado denuncias contra la asociacion marroqui de Derechos Humanos y contra el famoso
periodista Ali Lemrabet que fue condenado a diez años de inactividad por el unico hecho
de haberse atrevido a decir la verdad sobre las violaciones de Derechos Humanos perpetuadas por Marruecos en el Sahara Occidental.
-El manifiesto no hace alusion a la detencion del periodista sueco Lars Brok , cuya visita
a la zona coincidio con la de la Liga Española, el cual fue expulsado del territorio , bajo la
acusacion por parte de la fiscalia de instigador y por hacer fotos de las manifestaciones en las que varios ciudadanos saharauis fueron golpeados y vejados en las calles de Aaiun , algunos de los cuales dieron con sus huesos en la carcel.
-Las conclusiones a las que llego el manifiesto contradicen en su totalidad con los informes
de asociaciones juridicas que visitaron la zona , el ultimo de los cuales ,el informe de la
Alta Comision de Derechos Humanos

-Como asociaciones y comisiones saharauis presentes en la zona ,consideramos la labor hecha por la Liga Española en su visita a los territorios carente de toda objetividad y credibilidad y totamente parcial.Asi pues , exhortamos la Liga Española de Derechos Humanos a que reconsidere su postura y le pedimos que vuelva a visitar la zona , de nuevo,para abrir una investigacion tranparente y honrada acerca de las flagrantes violaciones que sufre la zona y al encuentro con todos los activistas de Derechos Humanos.

Firma Firma

Por parte de la comision de apoyo a ASVDH Brahim Dahane
La autodeterminaion del pueblo saharaui
Mohamed Daddach
Français

Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain

Comité Sahraoui pour le Soutien pour l’Autodétermination au Sahara occidental

DCommuniqué

La Ligue Espagnole pour des droits de l'homme et une association autre qui, censément, prétend agir pour la défense des droits de l'homme, ont appelé publié un communiqué commun le 22 février 2007 à Al-Ayoune, Sahara Occidental, au sujet de la visite conduite par la Ligue Espagnole des droits de l'homme à cette zone, en réponse à l'invitation faite par la supposée Association Sahraouie. Le communiqué signé par les deux parties a indiqué:
- La visite a inclus des réunions avec des associations de la société civile au Sahara Occidental et avec des représentants politiques et gouvernementaux aussi bien qu’avec des associations des détenus politiques de sahraouis des deux parties, le POLISARIO et le Maroc, et que les revendications des victimes se limitaient à la compensation matérielle.
- La ligue espagnole, selon le communiqué, a confirmé son consentement à l'établissement de futures réunions entre les sahraouis, à l'intérieur et en dehors du territoire, et a indiqué, enfin, que, pendant leur visite au territoire, ils n'ont vu aucune manifestation publique ou aucune autre perturbation de l’ordre public.
Les associations soussignées :
1 - Expriment leur étonnement de la manière dans laquelle le communiqué de presse a été écrit et des expressions incompréhensibles qu'elle inclut, comme: Créer une atmosphère de la réconciliation entre les sahraouis, à l'intérieur et en dehors du territoire, qui signifie que le conflit du Sahara Occidental est seulement entre les sahraouis ce qui n'est pas vrai et est en désaccord avec les résolutions des Nations Unies et le Conseil de sécurité aussi bien que des organismes politiques et des droits de l'homme régionaux et internationaux.
2 – Se demandent comment la ligue espagnole est permise de visiter le territoire à ce moment particulier, alors que les autorités marocaines interdisaient beaucoup d'organismes et commissions des droits de l'homme de visiter la région, le cas le plus récent était la Commission spéciale du Parlement européen chargée des droits de l'homme.
3 – Se demandent aussi pourquoi la ligue espagnole n'a-t-elle pas entré en contact avec les associations actives des droits humains dans la région qui ont certains de leurs membres dans les prisons marocaines et qui mènent une grève de faim ouverte de nos jours ? et ce en dépit de tous les efforts de contacter la ligue espagnole qui n’ont pas réussis, la plus récente tentative était l'appel du président de l'ASVDH à M. Miguel
4 - La ligue espagnole a rencontré seulement certains qui ont déjà entamé des procès contre l'association marocaine des droits de l'homme (AMDH) et le journaliste marocain très bien connu Mr. Ali LEMRABET, qui a été interdit de pratiquer son travail journalistique pendant dix ans parce qu'il a osé dire la vérité au sujet des violations des droits de l'homme commises par l'état marocain au Sahara Occidental
5 – Affirment que le communiqué n'a pas rapporté l'arrestation arbitraire contre le journaliste Suédois Lars BJORG, coïncidant avec la visite de la ligue espagnole, qui a été expulsée de la province et accusée par le procureur général auprès de la cour d'EL-Ayoune, pour l'incitation et le filmage des démonstrations. En outre, et pendant le même jour, plusieurs citoyens sahraouis ont été battus dans les rues d'EL-Ayoune, d'autres ont été détenus dans les commissariats de police.
6 – Affirment que les conclusions du communiqué de la ligue espagnole sont totalement incompatibles avec les rapports des organismes internationaux de droits de l'homme qui avaient visité la province ; le dernier rapport était celui du haut commissaire pour des droits de l'homme. 7 - Nous des associations et des comités situés dans les Sahara occidental considérons que le travail effectué par la ligue espagnole pendant sa visite à la région manque de la crédibilité et de l'objectivité et n'étions pas neutres. Par conséquent, nous invitons la ligue espagnole à reconsidérer le rapport publié, et nous les invitons pour visiter la province encore pour mener un transparent et la recherche impartiale sur les violations sérieuses s'est produite dans la région et pour rencontrer tous défenseurs actifs de droits de l'homme.

Signature :
Association Sahraouie
Des Victimes des Violations Graves des Droits Humains
Commises par l’Etat Marocain
Le président : Mr. Brahim DAHANE
Comité Sahraoui pour le Soutien pour l’Autodétermination au Sahara occidental
Le président : Mr. Sidi Mohamed DADACH
English

Sahrawi Association
Of the Victims of the Grave Violations
of Human Rights Committed by the Moroccan State

Sahrawi Committee for Support to Self-determination in Western Sahara


Statement

Both the Spanish League for Human Rights and another association that, supposedly, also pleads for the defence of the human rights called “Sahrawi Association of Human Rights”, issued a joint statement on February 22, 2007 in El-Ayoune, Western Sahara about the visit conducted by Spanish League of Human Rights to the territories to this zone, in answer to the invitation done by the supposed Sahrawi association, which said in the statement signed by both parties:
- The visit included meetings with associations of the civil society in Western Sahara and the political and governmental representatives as well as associations of Sahrawi political detainees of both parties, POLISARIO and Morocco, and that demands of the victims declined to material compensation.
- The Spanish League, according to the statement, confirmed its consent to the establishment of future meetings between Sahrawis, inside and outside the Territory, and pointed, at last, that, during their visit to the territory, they have not seen any public demonstrations or any other breach of security.
1 - The associations undersigned this statement express their astonishment of the way in which the press release was written and of the incomprehensible expressions which it includes, such as: Create an atmosphere of reconciliation between Sahrawis, inside and outside the Territory, which means that the Western Sahara conflict is only between Sahrawis and this is not real and do not concords with the statutes of the United Nations and the Security Council as well as all relevant regional and international human rights and political organisations.
2 - How was the Spanish League allowed to visit the territory at this particular time, while the Moroccan authorities banned many organizations and commissions of human rights to visit the region, the most recent was the Special Commission of the European Parliament in charge of human rights.
3 - Why did not the Spanish League contact the active Associations of human rightsin the region which have some of its members within the Moroccan prisons who hold an open hunger strike during these days? Despite all efforts to contact the Spanish League were unsuccessful, the most recent one was the call of the president of the ASVDH to Mr. Miguel
4 – The Spanish League met only some people who have already filed lawsuits against the Moroccan Association for Human Rights (AMDH) and the Moroccan well-known journalist Mr. Ali LEMRABET, who was sentenced to ten years prohibited the practice of journalistic work for nothing, but because he dared to tell the truth about the violations of human rights committed by the Moroccan state in Western Sahara
5 - The statement did not refer to the arbitrary arrest against the Swedish journalist. Lars BJORG, which coincided with the visit of the Spanish League, who was expelled from the province and accused by the Public Prosecution of El-Ayoune, for inciting and filming demonstrations. Also, in the same day, many Sahrawi citizens were beaten and kicked in the streets of El-Ayoune, and others were detained in the police stations.
6 - The conclusions of the statement of the Spanish League are totally incompatible with the reports of international human rights organizations which had visited the province; the last report was the one of the High Commissioner for Human Rights.
7 - We associations and committees located in Western Sahara consider that the work done by the Spanish League during its visit to the region lacks credibility and objectivity and was not neutral. Therefore, we urge the Spanish League to reconsider the issued statement, and we call upon them to visit the province again to lead a transparent and impartial investigation on the serious violations occurred in the region and to meet all the active human rights defenders.

Signature:
Sahrawi Association
Of the Victims of the Grave Violations
of Human Rights Committed by the Moroccan State
The president: Mr. Brahim DAHANE
Sahrawi Committee for Support to Self-determination in Western Sahara


The president: Mr. Sidi Mohamed DADACH

Jugement du détenu politique sahraoui Mr. Laaroussi CHOUBEIDA

Lettre d’information ASVDH

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mardi 13mars 2007

Jugement du détenu politique sahraoui Mr. Laaroussi CHOUBEIDA

La cour de deuxième instance d’El-Ayoune, a confirmé, aujourd’hui, mardi 13 mars 2007, la peine d’un an et demi, prononcée par la cour du deuxième degré à l’égard du détenu politique sahraoui, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA.
Cette même cour a décidé de poursuivre Mr. CHOUBEIDA pour outrage à la cour quand il est entré dans la cour en scandant des slogans politiques en faveur de l’indépendance du Sahara Occidental et condamnant le procès inique auquel qui ne respecte pas les critères d’un jugement équitable et juste.
English
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El-Ayoune - Western Sahara
Tuesday March 13, 2007

Judgement of the Sahrawi political prisoner Mr. Laaroussi CHOUBEIDA


The court of second authority of El-Ayoune, confirmed, today, Tuesday March 13, 2007, the sentence of one year and half, pronounced by the court of the second degree in regard to the SAhrawi political prisoner, Mr. Laaroussi CHOUBEIDA.
This same court decided to pursuit Mr. CHOUBEIDA for insult to the court when he entered the court by stressing political slogans in favour of the independence of the Western Sahara and condemning the iniquitous lawsuit which does not respect the criteria of a judgement equitable and right.

dimanche, mars 11, 2007

Communique Amnesty International

Morocco/Western Sahara: Sahrawi human rights defenders sentenced to year in prison, AMNESTY INTERNATIONAL, Public Statement AI Index: MDE 29/004/2007, 8 March 2007

Rapport Droits Humains du Département d'Etat US

US Department of StateCountry Reports on Human Rights Practices - Western Sahara - 2006Released by the Bureau of Democracy, Human Rights, and LaborMarch 6, 2007

La Fiscalía pide a Garzón que investigue a altos cargos marroquíes por genocidio


6.3.07
La Fiscalía pide a Garzón que investigue a altos cargos marroquíes por genocidio:

Informa a favor de la admisión de una querella por los delitos cometidos contra cientos de saharauis desaparecidos, la mayoría de ellos de nacionalidad española / Entre los acusados está el ex director general de la Seguridad Nacional de Rabat
EL MUNDO: MANUEL MARRACO

MADRID.- La Fiscalía ha pedido a Baltasar Garzón que investigue a 32 altos cargos marroquíes por un presunto delito de genocidio denunciado por asociaciones pro Derechos Humanos y de ayuda al pueblo saharaui. El Ministerio Público respalda la admisión a trámite de una querella «contra gobernantes y militares marroquíes por su responsabilidad en el genocidio, torturas, secuestros y desapariciones practicado por el Reino de Marruecos contra el pueblo saharaui».
La querella recayó en el Juzgado de Baltasar Garzón, que dio traslado al Ministerio Público. En diciembre, dos meses después de su presentación, el fiscal Pedro Rubira informó favorablemente a su admisión por los mismos delitos denunciados, una decisión sobre la que la Fiscalía no había informado.
El juez instructor aún no se ha pronunciado de manera definitiva, aunque las asociaciones querellantes se muestran optimistas, especialmente tras el respaldo de la Fiscalía dirigida por Javier Zaragoza. A favor también cuentan las actuaciones precedentes del magistrado en casos de delitos contra la Humanidad, y el hecho de que Garzón les haya pedido que cumplimenten diversos requisitos procesales necesarios para la admisión.
El pasado 11 de diciembre, el magistrado también les solicitó que identificasen «concretamente las imputaciones que hacen a cada uno de los querellados y presunta participación de éstos con los hechos imputados», para fijar los indicios de participación criminal contra cada uno «en este momento procesal».
Amparándose en el principio de justicia universal, el escrito fue presentado de manera conjunta por la Asociación de Familiares de Presos y Desaparecidos Saharauis, la Asociación Pro Derechos Humanos de España, la Federación Estatal de Instituciones Solidarias con el Pueblo Saharaui, la Coordinadora Estatal de Asociaciones Solidarias con el Pueblo Saharaui y la Federación de Asociaciones de Promoción de Defensa de los Derechos Humanos. Otros cuatro familiares de desaparecidos saharauis ejercen la acusación particular.
Justicia universal
La Fiscalía considera que los hechos denunciados encajan en los criterios marcados recientemente por el Tribunal Constitucional para aplicar el criterio de jurisdicción universal. Fuentes de la Audiencia resaltan que habría que admitir la querella incluso siguiendo la interpretación más restringida seguida inicialmente por el Tribunal Supremo, que exigía algún tipo de «conexión» con los intereses nacionales. En este caso, gran parte de las víctimas mencionadas disponían DNI español, lo que cumpliría con creces el requisito. Algunas de ellas llegaron a combatir contra Marruecos bajo bandera española.
Entre los 32 querellados se encuentran varios generales y figuras prominentes de la política marroquí de los últimos tres decenios. Entre ellos destaca Dris Basri, ex ministro del Interior y hombre fuerte del reinado de Hasan II. Según los querellantes, gestionaba casi en exclusiva los temas relacionados con el Sáhara Occidental. Basri fue destituido por el actual monarca, Mohamed VI, y vive exiliado en París.
También figuran como querellados Hamidou Lanigri, ex director general de la Seguridad Nacional marroquí [la Policía] y de la DST [policía política]; Yasine Mansouri, ex director general de la Dirección General de Estudios y Documentación y consejero especial del Rey de Marruecos; Abdellaj el Kadiri, ex director general de la Dirección General de Estudios y Documentación; Abdelasis Banani, general mayor de las Fuerzas Armadas Reales; Housni ben Sliman, general de la Gendarmería Real marroquí; Ben Hima, comisario de la Dirección General de la Seguridad Nacional de El Aaiún y en la actualidad comisario en Agadir; y Abdelhafid ben Hachem, ex jefe de la Dirección General de la Seguridad Nacional y, según los querellantes, brazo derecho de Dris Basri.
El escrito denuncia «el plan sistemático de eliminación del pueblo saharaui, que se realiza de forma organizada y jerarquizada por las personas denunciadas, sirviéndose de personal a su mando y de los efectivos personales militares y paramilitares».
Según el relato de las asociaciones, «desde el 31 de octubre de 1975 hasta la actualidad el Ejército marroquí ha ejercido una permanente violencia contra el pueblo saharaui, primero en una guerra de invasión que obligó a gran parte de la población saharaui, más de 40.000 personas, a huir al desierto, siendo perseguidos y bombardeados por las fuerzas invasoras con napalm, fósforo blanco y bombas de fragmentación, arrojados al vacío desde helicópteros, creando un estado de terror y persecución» en el territorio del Sáhara Occidental «que se mantiene en la actualidad».
Todo ello ha dado lugar «a la desaparición de miles de personas, de las cuales por lo menos 526 saharauis, aún hoy, permanecen en esa situación, sin que sus familiares tengan conocimiento alguno de su paradero, y negándoseles por el Estado marroquí cualquier noticia sobre ellos». La querella da el nombre y apellidos de 206 de esos desaparecidos, y pide al juez que tome declaración como testigos a algunos de sus familiares.
Los casos mostrados a la Audiencia Nacional tuvieron lugar entre 1975 y 1980, aunque según el escrito no ha dejado de producirse en ningún momento. Tras la llegada de Mohamed VI, afirman los querellantes, se produjo «un recrudecimiento del sistema represivo marroquí contra la población saharaui» para mantener «el estado de terror y de sitio implantado bajo las órdenes de Hasan II».

ÚLTIMOS ACONTECIMIENTOS EN LOS TERRITORIOS OCUPADOS DEL SÁHARA OCCIDENTAL. 06 marzo de 2007


En el día de hoy, 06 de marzo de 2007, a las ocho de la mañana, las autoridades de ocupación marroquíes, han presentando ante la sala del Tribunal Penal del Aaiún, a ocho de los presos políticos saharauis. Se trata de:

Tarrouzi Yahdih, Banga Chej, Bachir Ben Alal, Gali Zugam, Mohamed Salem Bahaha, Omar Ben Elyazid, Hayay Mohamed Maulud, Didi Abdeslam.

Los presos han aparecido en la sala, cercada por la policía y los destacamentos del GUS, coreando eslóganes como: “Referéndum ya”, “Viva el Frente POLISARIO”, “Viva Mohamed Abdelaziz”, “Fuera Marruecos”...

En un vano intento del presidente del Tribunal, que pretendió hacerles callar en varias ocasiones, los presos políticos saharauis continuaron entonando consignas hasta que se ordenó que fueran desalojados de la sala. En medio de empujones y palizas, los presos políticos fueron devueltos a la cárcel aplazándose el juicio nuevamente para el día 20 de marzo.

Las palizas continuaron dentro de los furgones de la policía en los que fueron trasladados, encerrándolos maniatados al llegar a la cárcel, durante varias horas.

En la tarde de hoy, fue presentado otro grupo de presos encabezado por Brahim Sabar, secretario general de la Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de Derechos Humanos Cometidas por el Estado marroquí, y Ahmed Sbaim, miembro de la misma asociación, junto a otros cuatro presos más que son:

Hmaidat Ahmed Salem
Gasmi Lehbib
Taoubali Hafed
Loumadi Abdeslam

éstos han sido repartidos en tres expedientes.

Primer expediente: Brahim Sabar y Ahmed Sbai
Segundo expediente: Hmaidat Ahmed Salem, Gasmi Lehbib, Taoubali Hafed

Tercer expediente: Loumadi Abdeslam

En la sala se encontraban algunos familiares de los presos, siendo el resto policías de los distintos cuerpos de seguridad marroquíes.

El resultado de este juicio es el siguiente:

Brahim Sabar y Ahmed Sbai, un año de prisión firme.
Hmaidat Ahmed Salem, Gasmi Lehbib y Taoubali Hafed, tres años de prisión firme.
Loumadi Abdeslam, su juicio ha sido aplazado para día 20 de marzo.

El despliegue policial en las calles del Aaiún, la persecución a los escolares saharauis a la salida de las instituciones escolares y la expulsión de los alumnos de los liceos por manifestarse con banderas nacionales saharauis, está arrastrando a la ciudad del Aaiún a una situación angustiosa. Esta realidad se hace extensible a todas las ciudades ocupadas del Sáhara Occidental.

Nouvelle condamnation d’un détenu politique sahraoui

Lettre d’information -2-

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 07 mars 2007

Nouvelle condamnation d’un détenu politique sahraoui
Le détenu politique sahraoui, Mr. Lamine BADA, a été condamné, aujourd’hui, mercredi 07 mars 2007, par la cour de première instance à El-Ayoune, à un an et demi de prison. Mr. BADA a été condamné auparavant à un an de prison par la même cour pour avoir scandé des slogans devant la cour.

English


Newsletter -2-

El-Ayoune - Western Sahara
Wednesday March 7, 2007

New judgment of a Sahrawi political prisoner

The Sahrawi political prisoner, Mr. Lamine BADA, was condemned, today, Wednesday March 7, 2007, by the court of first authority in El-Ayoune, to one year and half of prison. Mr. BADA was condemned before to a year of prison by the same court for having stressed slogans before the court.

Nouvelles condamnations

Lettre d’information ASVDH

El-Ayoune – Sahara Occidental
Mercredi 07 mars 2007

Lourde sentences contre les détenus politiques sahraouis à El-Ayoune

La cours de deuxième degré d’El-Ayoune, a prononcé hier, 06 mars 2007, de nouvelles lourdes et injustes sentences contre les détenus politiques et défenseurs sahraouis des droits de l’homme. Ainsi, le secrétaire général de l’asvdh, Mr. Brahim SABBAR et le membre du conseil de coordination, Mr. Ahmed SBAI, ont été condamné à un an de prison. En outre, les trois détenus politiques sahraouis, Mr. Elhafed TOUBALI, Mr. Mohamed Lehbib ELGASMI et Mr. Ahmed Salem AHMEIDAT ont été condamné à trois ans de prison. De même, cette même cour a été décidé de reporté le jugement du détenu politique sahraoui, Mr. Abdessalam LOUMADI, au 20 mars 2007.
Nous rappelons que Mr. SABBAR avait été condamné auparavant à deux ans de prison dans un premier jugement avec le détenu politique sahraoui Mr. Ahmed Mahmoud HADDI qui a été condamné à trois ans de prison.

Suspension de la grève de la faim

Les détenus politiques sahraouis en prison noire à El-Ayoune, ont décidé, dimanche 03 mars 2007, de suspendre la grève de la faim qu’ils ont entamé depuis le 30 janvier 2007 suite au mauvais traitement qu’ils ont subit dans ce même pénitencier. Ces détenus ont déclaré qu’ils resteront toujours prêts à défendre leurs droits légitimes en tant que détenus d’opinion et qu’ils reprendront leur grève si la direction pénitentiaire n’assume pas ses engagements.

Jugement des tortionnaires marocain en Espagne

Le ministère public de l’Audience nationale, la plus haute instance pénale en Espagne, a demandé au célèbre juge Baltasar Garzon d’enquêter sur les accusations de "crimes internationaux" commis par "32 dirigeants et militaires marocains" au Sahara Occidental depuis 1975, a rapporté mardi le quotidien espagnol El Mundo.

Rapport du département des affaires étrangères des Etats-Unis d’Amérique dénonce les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental

Le département des affaires étrangères des Etats-Unis d'Amérique a dénoncé les violations marocaines des droits de l'homme au Sahara Occidental dans ce territoire non autonome pendant l'an 2006, dans un rapport détaillé sur la situations des droits de l’Homme au Sahara occidental rendu public mardi. Le rapport de 9 pages publié sur le site officiel du département, relate plusieurs cas de détention, tortures, emprisonnements et mentionne des noms de prisonniers politiques et d'activistes de droits de l'homme tels que :Hammoud IGUILID, Président de la branche de l'Association marocaine des droits de l'homme, Brahim DAHANE, président d'une association sahraouie de droits humains entre autres en tant que victimes de violations et d'intimidations exercées à leur encontre par les autorités marocaines.
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El-Ayoune - Western Sahara
Wednesday March 7, 2007

Heavy sentences against the Sahrawi political prisoners in El-Ayoune
The court of second degree of El-Ayoune, pronounced yesterday, March 6, 2007, new heavy and unjust sentences against the Sahrawi political prisoners and defenders of the human rights. Thus, the secretary general of the asvdh, Mr. Brahim SABBAR and the member of the council of coordination, Mr. Ahmed SBAI, were condemned to one year of prison. Moreover, the three Sahrawi political prisoners, Mr. Elhafed TOUBALI, Mr. Mohamed Lehbib ELGASMI and Mr. Ahmed Salem AHMEIDAT were condemned to three years of prison. In the same way, this same court decided to defer the judgement of the Sahrawi political prisoner, Mr. Abdessalam LOUMADI, at March 20, 2007.
We point out that Mr. SABBAR had been condemned before to two years of prison in a first judgement with the Sahrawi political prisoner Mr. Ahmed Mahmoud HADDI who was condemned to three years of prison.

Suspension of the hunger strike
The Sahrawi political prisoners, in the black jail, in El-Ayoune, decided, Sunday March 3, 2007, to suspend the hunger strike, which they have started since January 30, 2007, following the ill treatment to which they have been subjected. Those prisoners declared that they will remain always ready to defend their legitimate rights as prisoners of opinion and that they will take again their strike if the penitentiary direction does not assume its engagements.

Judgement of the Moroccan torturers in Spain
The public ministry of the national Audience, the highest penal authority in Spain, required of the famous judge Mr. Baltasar Garzon to inquire into the charges of “international crimes” committed by “32 Moroccan leaders and military” in Sahara Occidental since 1975, Tuesday the Spanish daily newspaper El Mundo brought back.
Report of the department of the Foreign Affairs of the United States of America denounces the violations of the human rights in the Sahara OccidentalThe department of the Foreign Affairs of the United States of America denounced the Moroccan violations of the human rights in the Sahara Occidental in this Non-Self-Governing territory during the year 2006, in a report detailed on the situations of the human rights in Western Sahara returned public Tuesday. The report of 9 pages published on the official site of the department, reports several cases of detention, tortures, imprisonments and mentions names of political prisoners and human rights activists such as: Hammoud IGUILID, President of the branch of the Moroccan Association of the human rights, Brahim DAHANE, president of a Sahrawi association of human rights among others as victims of violations and intimidations exerted to their opposition by the Moroccan authorities

Violences contre des lycéens sahraouis

Le 02 mars 2007
El-Ayoune – Sahara Occidental

Lycée Lissaneddine ben Elkhattib

Des élèves marocains étudiants au lycée lissaneddine ben Elkhttib ont attaqué des élèves sahraouis au même lycée. Cet affrontement s’est produit suite à une distribution de T-Shirts portant des slogans racistes contre les sahraouis, par une femme marocaine incitée et protégée par les forces sécuritaires marocaines, et ce le vendredi 02 mars 2007. Au lieu de poursuivre la femme qui incite les élèves marocains par les slogans racistes, les forces policières marocaines ont attaqué les élèves sahraouis, qui ont organisé une manifestation pour dénoncer cet acte raciste, ce quia résulté en plusieurs victimes de différentes blessures.
Les forces policières marocaines ont encore fait preuve de raciste et de ségrégation quand elles ont accompagné les élèves marocains vers leurs maisons alors que les sahraouis ont été soumis aux différentes pratiques de racisme et torture.
Voire les photos.



Le lendemain, samedi 03 mars 2007, les élèves sahraouis au même lycée ont organisé une fois de plus une manifestation pour dénoncer cet acte de racisme mais les forces répressives marocaines surtout des agents de police habillés en civil et armés de battons et couteaux ont attaqué les manifestants ce qui a résulté en plusieurs blessés et l’arrestation d’une vingtaine d’élèves sahraouis.

Visita Zapatero a marruecos: Comunicado AI España